C’est super beau et c’est criant de vérité. Surtout la partie sur la monarchie républicaine (Président-Roi, qui vit dans un Palais, qui se fait annoncer…).
Le 14 juillet même est un symbole étrange de toute façon. On célèbre, à la date de la prise de la Bastille, l’unité nationale ? On fête la Terreur, les Jacobins, les Montagnards ?
Eva Joly avait déjà proposé un défilé civil, on l’avait traité d’attardée pacifiste, pourtant l’idée est bien plus belle que de se prendre pour Kim Jung Un à se pavaner devant les chars d’assaut.
Petit à petit, la thèse religieuse s’éloigne mais l’explosion que ça a généré va avoir du mal à être étouffée par la vérité. De toute façon, attendons d’en savoir plus. Pauvres gamines en tout cas.
On fête la Fédération française. On ne fête pas le 14 juillet 1789 mais le 14 juillet 1790 d’ailleurs, c’est pas pour rien. Et c’est complètement idiot vu que deux ans plus tard, la Fédération éclate, on bute le Roi et sa famille et commence la Terreur.
Du coup, je vois vraiment pas ce qu’il y a à fêter. La date du 25 février est bien plus importante et tout le monde l’a oubliée.
« Il semble que cela soit une erreur », a-t-il dit, alors que les avions de la coalition visent les jihadistes dans et autour de ce village situé à 14 km au nord de la ville de Minbej, un fief assiégé de l’EI par les forces kurdes syriennes antijihadistes.
Au risque de paraitre complètement con, je crois que non c’est pas ce que tu dis, c’est pas la prise de la bastille qu’on fête, mais on organise une teuf de la réconciliation. En gros, ça a beau être la date anniversaire, mais au lieu de se remémorer la révolution, on insiste sur l’unité de la nation ?
Rien à ajouter à ce que dit @douante. En 1790, on a choisi la date du 14 juillet 1789 pour faire défiler les différentes fédérations, mais à partir de 1880, on a décidé de fêter la Fédération (donc aucun rapport avec la Bastille).
On ne sait même plus ce qu’on célèbre, et si on le savait, on se rendrait compte très vite de l’idiotie du machin. Enfin, on peut sortir ses drapeaux et aller voir les chars, comme si on était de gentils enfants du Komsomol