Espagne 1 - 1 Russie 
(3-4 tab)
Ignashevich CSC (12)
Pique| Espagne |
Russie |
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|---|---|---|
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Iniesta |
1 - 0 | |
| 1 - 1 | Smolov
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Pique |
2 - 1 | |
| 2 - 2 | Ignashevich
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 Koke |
2 - 2 | |
| 2 - 3 | Golovin
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Ramos |
3 - 3 | |
| 3 - 4 | Cheryshev
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Aspas |
3 - 4 |
Opposition de styles en ce dimanche après-midi, l’Espagne a eu la maîtrise totale du ballon et du jeu mais a parfois manqué d’inspiration en phase offensive. L’Espagne avait pourtant ouvert le score, mais la Russie a réussi à obtenir un penalty. Malgré l’accélération du tempo par l’Espagne, les hôtes ont tenu jusqu’aux tirs au but. Avec du sang froid et Akinfeev, c’est la Russie qui passe en quarts.
Le match
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Espagne
Ils pensaient peut-être avoir fait le plus dur en ouvrant la marque très tôt dans le match, l’Espagne a tenté de gérer la possession comme ils le font si bien mais ils se feront piéger par une main dans la surface. Ils ont joué la première mi-temps avec le frein à main et ont accéléré de plus en plus, en seconde période comme durant la prolongation, et c’est passé très près plusieurs fois, mais ils n’ont pu faire la différence avant les tirs au but. Vont-ils regretter de ne pas avoir gardé le rythme en première période ? Les russes se livraient plus, et c’était sans doute là qu’ils avaient le coup à jouer.
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Russie
On ne va pas aller jusqu’à parler de miracle, mais avec 25% de possession, quatre fois moins de tirs que l’Espagne, le tout après avoir été mené 1-0 au bout d’une dizaine de minutes, c’était un sacré challenge. La défense russe, en particulier son gardien, a su repousser les vagues espagnoles. Quand un joueur lâchait, un autre sauvait la mise. Sans une défense aussi concentrée, la Russie n’aurait pas vu la prolongation, et encore moins les tirs au but. Offensivement, c’était un match difficile, mais sur les rares incursions, ils ont gêné les espagnols.
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