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Encore qu’avec le recul je me questionne. Doit-on considérer la préférence sexuelle d’un adulte pour des enfants comme une maladie ?

Je m’explique, c’est connu cela existe probablement depuis la nuit des temps. Pour preuve aux moyen-âge on ne se posait pas réellement cette question de l’âge et nombre de mariages intervenais entre des adultes dans la trentaine et des pré-ado notamment des jeunes filles. Culte de la pureté, espérance de vie réduite… Il y a probablement de multiples raisons.

Si on remonte dans le temps et dans les civilisations on en trouve des traces dans la Grèce antique et l’empire romain notamment. Sans que cela ne choque spécifiquement pour l’époque. (Si on excepte l’exode d’Athènes de nombre de scientifiques et philosophe pour pratique sexuelle « douteuse »).

De ce fait « ce trouble » comme on dit actuellement ne serait-il juste pas une préférence sexuelle lambda comme moi qui préfére les femmes (ou les lamantins hein @Julian :hoho:) ou d’autres qui préférent les hommes, d’autres le même sexe… Et juste que cette préférence est jugé inacceptable dans les moeurs modernes ?

Merci à ceux qui auront lu et voudront en discuter :sac:

Oui.

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Cela dit, ce n’est pas entièrement le cas. :sac:
C’est également, comme le signal Luiz, un trouble psychologique de la préférence sexuelle.

La question me semble bonne.

Je séparerais la pédophilie en trois choses :

  • L’attirance, qui est en soi une préférence comme les autres (même si elle rencontre fatalement bien plus d’obstacles).
  • Les pulsions, qui me semblent mériter le terme de maladie, vu la souffrance engendrée.
  • Le passage à l’acte, qui est un acte criminel, dans la mesure où il est impossible que le consentement d’un mineur soit libre.

Quoi qu’il en soit, tant qu’il n’y a pas passage à l’acte, les gens méritent bien plus de soins que de désignation à la vindicte populaire.
Peut-être que de se servir des mangas de type lolicon ou shotacon pourrait être une piste pour faire office d’exutoire.

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une maladie mentale donc :ztfsaispas:

Exactement. :homerhide:

C’est clair. Comme ils en parlent dans l’article, faire de la prévention avant l’acte serait déjà un gros pas en avant. Et sans parler des institutions, dans la famille aussi…

Le coup de la famille du mec de l’article qui ne dit rien à ce moment là :

Je me souviens de l’anniversaire de mon petit-frère, il y avait tous ses copains et leurs parents. Et mon père provoquait les gamins. Il leur a dit ‹ vous n’êtes pas cap de vous mettre cul nu pour que je fasse une photo ›. Il n’y a eu aucune réaction de la part des adultes présents.

Alors qu’ils sont tous +/- au courant des pulsions du père. :what:

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Effectivement, récit très troublant mais on se dit qu’il doit bien souffrir au quotidien le type.

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Dans sa description des faits on dirait presque un toxicomane.

C’est ça … mais toi à Lille t’es peut être plus habitué que nous. :sac:

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Tu confonds le Nord et le Pas de Calais :hoho:

Confonds pas lillois et lensois, sinon je t’appelle le stéphanois :no:

Le lamantin c’était pas mon compte :calm:

Même si ça m’avait bien fait rire à l’époque :sac:

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c’était pour le rappel comique y’a plus que toi ici qui doit être au courant ou presque :fillon1:

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Des journaux personnels d’Einstein ont été traduit et on y découvre des observations racistes, notamment envers les chinois.

Ce serait franchement dommage que ces Chinois supplantent toutes les autres races. Pour les gens comme nous, cette simple pensée est indiciblement triste.
Même les enfants sont sans âme et semblent obtus.

Ca me fait mal au cul de mettre un lien du Figaro, mais je voulais pas mettre un lien anglais

Il ne s’agit pas d’oublier les autres propos humanistes, notamment sur la fin de sa vie, mais c’est à noter quand même

Xénophobes plutôt, non ? Il n’a aucun soucis avec les Japonais.

En tout cas il avait le sens de la formule l’enculé :hoho:

je ne comprends pas quel genre d’attraction fatale les femmes chinoises possèdent qui fascine les hommes à ce point qu’ils sont incapables de se défendre contre la promesse bénie d’une progéniture.

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Autre temps, autres moeurs. Je trouve ça assez compliqué de juger ce genre de chose avec notre vision actuelle. Je pense qu’on en parlait pas beaucoup, mais le mépris envers les “chintoc” ça devait être bien répandu.

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comme tu le dis autres temps, autres mœurs, à cette époque on pensait savoir mesurer l’intelligence avec la taille du crâne. https://fr.wikipedia.org/wiki/Craniométrie

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Anthropologiquement, l’Homme est attiré par la survie de l’espèce.

Donc effectivement l’âge, l’Homme s’en fout de base. Ce sont les codes de sociétés qui ont établi un âge légal qui ne tient pas compte de ce « passif ».

Donc pour moi, c’est presque « normal » de pouvoir éprouver de l’attirance pour le sexe féminin à condition que la demoiselle soit en âge de se reproduire en somme.

En dessous, non, c’est clairement une déviance selon moi.

Bon après, c’est quand même fun d’avoir des codes sociaux et moraux qui font que désormais, on est attiré par la reproduction avec des personnes d’âges équivalent. C’est ancré, mais sans doute pas si naturel que ça.

C’est aussi pour ce genre de raison qu’on pourrait classer l’homosexualité comme une déviance, dans le sens ou ça n’as aucun intérêt anthropologiquement.
Cela dit, la société moderne à instaurer une sorte de casse de certains codes anthropologiques et la reproduction de l’espèce et sa pérennité est largement relégué en second plan.

On peut le voir aussi, en exemple, l’alimentation. Les végans sont à sens inverse de ce qu’une logique anthropologie voudrait. Car oui, la viande est intéressante dans ce processus. :sac:

C’est un sujet large, comme souvent, tout dépends du point de vue. Si on se base que sur l’anthropologie on obtient une réponse. D’un point de vue sociétal plus modernes, t’en as une autre. ^^

Attention aux mots. Déviance, c’est ce qui s’écarte de la norme sociale, donc ça n’a rien d’anthropologique ou de scientifique. L’homosexualité, de ce fait, n’est pas une déviance, alors que la pédophilie, oui.

Anthropologiquement, on ne peut pas se permettre d’employer des termes connotés, la science ne juge pas, elle montre, elle explique. Donc à la limite, on pourrait dire que l’homosexualité est un comportement sexuel minoritaire, la pédophilie aussi. Mais jamais la science ne s’occupera de dire si c’est déviant ou pas.

Et après intervient le médical, qui va essayer de dire ce qui relève de la maladie et ce qui n’en relève pas. Mais c’est encore un cas différent.

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