🎬 Critiques de films

La fille du train

Pour faire plaisir Ă  madame. J’ai oscillĂ© entre :mutombo: et :blam:

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Underworld : Blood Wars :1: :1: :1: :0: :0: :0: :0: :0: :0:

Putain c’est loin le temps ou c’etait sympa. Digne d’un tĂ©lĂ©film allemand, loups-garous en plastiques et mise en scene pourave. Que c’est nul !

Gods Of Egypt :1: :1: :1: :1: :1: :1: :1: :0: :0: :0:

NIMPORTE QUOI.
Totalement n’importe quoi, c’est JOUISSIF. Alors y a Jaime Lannister et Leonidas en fait c’est des robots en fer qui saignent de l’or et qui ont des supers organes bleus brillants, puis y a des scarabĂ©es et des serpents gĂ©ants qui tirent des chars, et puis y a une sorte de Alladdin, et puis y a un mangemonde PUTAIN C’EST NIMPORTE QUOI :hoho:

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Ma réaction suite à cette description : :hoho::hoho::hoho::hoho:

Ma réaction suite à la bande annonce : :triggered2:

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Putain je l’avais dans l’avion et j’ai prĂ©fĂ©rĂ© voir Radin :sac: FML :'(

Concussion :1: :0: :0: :0: :0:

TrĂšs dĂ©cevant pour ma part. Il y avait moyen de faire un bon gros film “coup de poing” sur ce flĂ©au du Foot US. Au final tout est miĂšvre et survolĂ© : la dĂ©chĂ©ance d’une lĂ©gende de ce sport, la dĂ©couverte de la maladie, le combat pour la faire reconnaĂźtre, et l’histoire perso du docteur qui est tellement mal amenĂ©e qu’on en a rien Ă  foutre.
Bref, le film passe totalement Ă  cĂŽtĂ© de la plaque sur ce qui est pourtant l’un des + gros scandales du sport.

Amen. La grosse claque bordel.

Blair Witch (2016) :1: :1: :1: :0: :0: :0: :0: :0: :0: :0:

Alors c’est soi-disant la suite genre c’est le petit frĂšre de la meuf du 1, mais c’est pareil en pire et en HD. Ca pompe les idĂ©es de series B pas connues et mieux foutues comme V/H/S et Grave Encounters, bref, c’est de la merde.

Putain avec vos conneries, j’ai dĂ©cidĂ© de le regarder ce soir.

Je lĂšve mon gros cul du canapĂ© Ă  l’instant pour venir vous Ă©crire que : c’est bon et c’est beau.
La musique les plans, la douceur.
Envoûtant.

ARRIVAL (Premier contact) : :1::1::1::1::1:

BalĂ©kouyes c’était nikel.

PS : je veux une maison au bord d’un lac aussi :sarko:

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Passengers :1: :1: :1: :0: :0:

C’est loin d’ĂȘtre grandiose mais cela se regarde.
Jennifer Lawrence est tellement belle, c’est clairement abusĂ©. :no:

Laurence Fishburne apparait 5 minutes et Andy García environ 5 secondes, c’est sensationnel Hollywood. :hoho:

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Mechanic: Resurrection :1: :1: :1: :0: :0:
Un film d’action basique, rien de plus.
Mais ça vaut le coup rien que pour Jessica Alba en bikini.

Batman v Superman : L’Aube de la justice :1: :1: :0: :0: :0:
Je me suis fait chier pendant le 3/4 du film.
Mais j’ai bien aimĂ© la derniĂšre partie avec les diffĂ©rents combats.

Kong : Skull Island :1: :1: :1: :0: :0: :0: :0: :0: :0: :0:

J’avais fait une critique sur SC, je vous la mets ici du coup :no: et c’est sans spoils Ă©videmment

Ah sacrĂ© Kong ! Te revoilĂ  aprĂšs huit films, douze ans aprĂšs le King Kong de Peter Jackson (2005) et trois ans avant ton affrontement avec le roi des monstres pour Godzilla vs. Kong (2020) qui clĂŽturera le cycle MonsterVerse de la Warner/Toho. Mais alors, que vaut cette nouvelle monture rĂ©alisĂ©e par le « nouveau venu » Jordan Vogt-Roberts (seulement son troisiĂšme film, son deuxiĂšme de fiction) et Ă©crit par Max Borenstein (Godzilla (Gareth Edwards, 2014)) et Dan Gilroy, oui oui, le rĂ©alisateur de Nightcrawler (2014) et le frĂšre de Tony. Pas grand-chose malheureusement. Le souci principal du film, c’est qu’il semble ĂȘtre tout sauf un King Kong
 en fait, Kong : Skull Island a davantage de liens avec The Lost World de Harry O. Hoyt (1925) qu’avec le King Kong d’Ernest B. Schoedsack et Merian C. Cooper (1933) ! Cela peut ĂȘtre un parti pris, cela peut ĂȘtre une stratĂ©gie commerciale dans l’optique du gigantesque combat prĂ©vu avec Godzilla, Kong ne peut pas mourir Ă  New York. Oui, je conçois, mais cela ne fonctionne pas.

Situant l’action du film aux tournants des annĂ©es 1970, dans le contexte (post-)vietnamien que nous connaissons si bien : l’ombre d’Apocalypse Now (Francis Ford Coppola, 1979) plane d’ailleurs sur tout le film autant au niveau des tons orangĂ©s, que des plans d’hĂ©licoptĂšre ou des rĂ©fĂ©rences au napalm, malheureusement, ça sera tout. Quid de la question militaire ? De la violence ? De la guerre ? De l’impĂ©rialisme amĂ©ricain ? De l’Homme ? Aucune de ces questions n’est mĂȘme effleurĂ©e dans l’Ɠuvre. Or, c’est avant tout une critique de ce monde que reprĂ©sentent ces monstres, aurions-nous eu Godzilla (Ishiro Honda, 1954) sans Hiroshima et Nagasaki ? Le King Kong premier du nom aurait-il vu le jour sans la crise Ă©conomique et le contexte social amĂ©ricain (avec une Ă©norme peur de l’Autre) ? Évidemment que non. C’est pourquoi il est regrettable de voir ce cĂŽtĂ© discursif complĂštement mis de cĂŽtĂ© et Ă©vacuĂ© dans Kong : Skull Island. Et pour cause, les dialogues sont complĂštement vides, risibles et clichĂ©s. Quand le Colonel Preston Packard (Samuel L. Jackson) Ă©voque les militaires, c’est Ă©videmment pour les dĂ©fendre, ils font le sale boulot que personne ne veut faire, mais qui doit ĂȘtre fait pour sauver la nation, le monde. Un discours complĂštement rabĂąchĂ© et inoffensif pour le spectateur averti. Mais, c’est une ligne de dialogue Ă  laquelle nous sommes habituĂ©s dans les blockbusters : couvrir le militarisme, l’interventionnisme et l’impĂ©rialisme amĂ©ricain. « Heureusement », quelques rĂ©sistants vont empĂȘcher cela. Mais lĂ  aussi, c’est complĂštement grotesque et mĂȘme prĂ©tentieux. Comment des hommes (au sens large sans distinction de sexe) peuvent penser rĂ©ellement influencer les combats des titans rythmant le film ? Comment l’Homme peut se penser l’égal de ces Dieux ? C’est d’ailleurs lĂ , l’un des choix de mise en scĂšne les plus pertinents, montrer dans de magnifiques plans d’ensemble la dĂ©mesure et le contraste entre Kong, les monstres et ces simples mortels. La composition souligne cette opposition inimaginable et irrĂ©aliste. Une opposition qui n’a pas lieu d’ĂȘtre tellement elle est « humano-centrĂ©e ». Ce n’est d’ailleurs pas anodin si ce sont les monstres de l’üle qui dictent tel un empereur romain le sort des envahisseurs (hormis lors d’une scĂšne parfaitement ridicule esquissĂ©e plutĂŽt dans cette critique). Mais, le film n’arrive pas Ă  surpasser ses dĂ©fauts bien trop prĂ©sents pour arriver Ă  effacer devant ses quelques qualitĂ©s. J’ai Ă©voquĂ© les dialogues, le manque de connaissance de l’univers de Kong, je pourrais continuer avec le rythme gĂ©nĂ©ral de l’Ɠuvre, les personnages (comment le personnage de Brie Larson peut passer son temps Ă  prendre des photographies dans un tel environnement ?) ou encore avec des situations qui prĂȘtent plus aux rires jaunes qu’à un quelconque sĂ©rieux (le coup du masque Ă  gaz et du katana par exemple, ou encore la scĂšne des deux grenades). Aussi, l’humour vendu dans la bande-annonce se retrouve balayĂ© du film pour y ĂȘtre injectĂ© de façon complĂštement involontaire.

Kong : Skull Island aurait pu ĂȘtre un bon divertissement avec quelques idĂ©es de mises en scĂšne intĂ©ressantes, malheureusement, le film pĂątit de trop nombreux dĂ©fauts et souffre lors de la non-prĂ©sence Ă  l’écran de son personnage principal (le primate le plus cĂ©lĂšbre du septiĂšme art) et des combats qui organisent le rĂ©cit. Des regrets ? Oui, il y avait la place pour concocter un film plus ambitieux, plus maĂźtrisĂ©, plus ancrĂ© dans son temps et posant des questions intĂ©ressantes sur la condition humaine. Heureusement pour nous, la prĂ©sence de la huitiĂšme merveille du monde Ă  l’écran fait toujours son petit effet.


EDIT :

Du coup j’en profite aussi pour mettre celle de Safety Not Guaranteed, un film sorti en 2012 et rĂ©alisĂ© par Colin Trevorrow ; sans spoils toujours :

Si l’on s’en fie au synopsis qui nous est livrĂ©, Safety Not Guaranteed n’apparaĂźt comme un film ayant un rĂ©el intĂ©rĂȘt ou ayant une quelconque ambition ou mĂȘme Ă©motion. Et pourtant, le premier film rĂ©alisĂ© par Colin Trevorrow (Jurassic World (2015), Jurassic World 2 (2018) et Star Wars IX (2019)) s’avĂšre un petit bijou plein de charmes.

Tout commence lorsque l’équipe d’un journal de Seattle dĂ©couvre une histoire assez dĂ©routante, un homme a publiĂ© une annonce pour le moins loufoque (note : qui aurait rĂ©ellement existĂ©e) : « WANTED : Someone to go back in time with me. This is not a joke. You’ll get paid after we get back. Must bring your own weapons. I have only done this once before. SAFETY NOT GUARANTEED ». Jeff (Jake Johnson), un journaliste du journal, prend avec lui Darius (Aubrey Plaza, April de Parks and Recreation) et Arnau (Karan Soni) deux stagiaires pour l’aider Ă  dĂ©couvrir qui se cache derriĂšre cette annonce. Cependant, on se rendra rapidement compte que les intĂ©rĂȘts notamment ceux de Jeff sont bien Ă©loignĂ©s du professionnel et de l’envie de dĂ©couvrir qui a rĂ©digĂ© ces quelques lignes. Il veut en effet renouer contact avec une ancienne petite-amie qui habite la ville oĂč ils vont se rendre pour « enquĂȘter ». Finalement arrivĂ© Ă  Ocean View, le trio commence par guetter la boite aux lettres dudit Kenneth (Mark Duplass). AprĂšs quelques heures d’attente, le moment fatidique arrive enfin. Darius qui veut Ă  tout prix rĂ©ussir, prend les choses en main et tente seule de dĂ©couvrir oĂč habite Kenneth en le suivant. Jeff et Arnau en sont avertis. Des stratagĂšmes sont mis en place pour entrer en contact avec cet homme. Mais, l’approche de Jeff ne rĂ©ussit pas Ă  convaincre le « voyageur du temps », c’est finalement Darius, voyant une occasion de nouer enfin une relation avec quelqu’un qui s’en charge. De par son humour, son dĂ©tachement, sa sincĂ©ritĂ©, son cĂŽtĂ© sarcastique, elle intrigue Kenneth, lui-mĂȘme intriguĂ© Ă  son tour par cette jeune femme


En Ă©vitant les facilitĂ©s, Colin Trevorrow et le scĂ©nariste Derek Connoly (rĂ©compensĂ© Ă  Sundance en 2012 pour le film) rĂ©ussissent Ă  Ă©viter les Ă©cueils de ce genre de film et notamment dans cet esprit « indĂ©pendant » propre au cinĂ©ma amĂ©ricain (assumĂ© Ă  raison ici). Le rythme est bien dosĂ© (normal me direz-vous pour un film d’un peu plus d’une heure vingt). Les dialogues sont toujours incisifs, jamais lĂ  pour remplir des trous, pour expliquer une situation qui pourrait l’ĂȘtre par le visuel, et donc de maniĂšre purement cinĂ©matographique. Les personnages ont tous une profondeur et une dimension intĂ©ressante. Kenneth est autant paranoĂŻaque qu’intelligent et vulnĂ©rable (Mark Duplass jouera tout le film sur cette frontiĂšre trouble et poreuse avec brio). Darius est plus que cette jeune femme sortant du systĂšme scolaire. Jeff, ce nostalgique, n’hĂ©sitera pas Ă  prendre son destin en main, se rĂ©vĂ©lant ainsi comme un personnage bien plus surprenant qu’il n’y paraĂźt en Ă©voluant tout le film. Enfin Arnau, qui est certes un peu plus en retrait et plus clichĂ© (l’AmĂ©ricain d’origine indienne), aura lui aussi des expĂ©riences qui lui changeront sa vie pour le meilleur et pour le pire. Pourtant, le film n’échappe pas Ă  quelques dĂ©fauts, la rĂ©alisation soignĂ©e n’est pas exceptionnelle pour autant, et semble assez fade Ă  certains moments, quand d’autres moments sont au contraire assez ingĂ©nieux et bien trouvĂ©s (y aurait-il une peur de prendre des risques pendant tout le film ?). Quelques Ă©lĂ©ments scĂ©naristiques semblent un peu tirĂ©s par les cheveux, c’est le cas par exemple de « l’oreille » qui n’apparaĂźt pas comme utile au dĂ©roulement du rĂ©cit, un autre Ă©lĂ©ment aurait sans doute fait l’affaire de maniĂšre beaucoup plus intĂ©ressante et pertinente. Aussi, Arnau est un personnage un peu en retrait, et l’on se demande s’il a vraiment un intĂ©rĂȘt dans le film, dans le sens oĂč sa prĂ©sence n’est pas fonciĂšrement nĂ©cessaire sans qu’elle soit, comme je l’ai Ă©voquĂ©, inutile. Aurait-il laissĂ© un vide ? Ou sa prĂ©sence est-elle nĂ©cessaire au bon fonctionnement du rĂ©cit par les relations qu’il engage avec les autres personnages ?

Si in fine, le voyage Ă  travers le temps n’est qu’un (semi-)prĂ©texte Ă  Safety Not Guaranteed, ce qui se rĂ©vĂšlera largement suffisant pour le rĂ©cit du film et les questions qu’il soulĂšve. On peut dire sans se tromper que Colin Treverrow et Derek Connoly rĂ©ussissent leur pari. Ce premier film arrive Ă  Ă©veiller des sentiments multiples, Ă  ĂȘtre plutĂŽt intelligent tout en restant un feel good movie le tout sans aucune prĂ©tention que celle de prĂ©senter une Ɠuvre bien rĂ©alisĂ©e, efficace, drĂŽle, et dense. Pas une mince affaire donc, mais avec un tel casting emmenĂ© par la toujours brillante Aubrey Plaza : safety guaranteed !

:1: :1: :1: :1: :1: :1: :1: :0: :0: :0:

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xXx - Return of Xander Cage : j’ai tenu 12 minutes et 57 secondes. :hapuppy:

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Dis m’en plus. :zemmour:

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[details=Spoiler, duh.]Que Neymar soit dans la premiĂšre scĂšne du film et empĂȘche un braquage en jonglant avec une boite en mĂ©tal avant de faire une volĂ©e dans la tronche du braqueur. OK

Qu’une bombasse fasse une roulade Ă  la con suivit d’un grand Ă©cart re-Ă  la con pour Ă©viter la fermeture d’une porte au lieu de simplement taper un petit sprint sur 5m, pourquoi pas.

Qu’un mec saute d’un immeuble de 30 Ă©tages directement dans la salle de confĂ©rence d’un autre immeuble 30 mĂštres plus bas en brisant une vitre Ă©paisse comme mon zob sans se casser les deux jambes, pas de soucis.

Que le mĂȘme mec - qui a sautĂ© d’un immeuble, rappelons-le - enchaine au moins 30 gars, dont la plupart armĂ©s, alors qu’il n’a que sa bite Ă  la main. Passons.

Que Michael THE C(o)UNT Bisping larde la tronche d’un mec avec un bouquin, ahmdullah ca va, c’est la premiĂšre scĂšne du film plus ou moins rĂ©aliste.

Qu’un petit asiat’ dĂ©colorĂ© enchaine une ligne de gymnastique au sol digne des JO dans la rue pour Ă©viter les balles de pistolet automatique d’un mec en moto - qui lui fonce dessus en mĂȘme temps - avant de finir sur un flip pour savater le pilote de ladite moto tout en prenant sa place et sans que la moto s’arrĂȘte. Ça commence dĂ©jĂ  Ă  faire beaucoup


Ce qui m’a tuĂ©, c’est Vin Diesel qui grimpe Ă  100m de hauteur sur une tour radio dans la jungle avant d’enfiler une paire de ski - encore une fois, dans la jungle - et de sauter sans parachute de cette putain de tour radio, retombant sur ces putains de ski sans soucis et sans se briser tous les os sans que ça ne choque personne.[/details]

Et tout ca en moins de 13 minutes. :vallsmad:

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JALOUSIE !

Faut sortir plus souvent de chez toi , tu verrais que c’est REALISTE !

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Le cinĂ©ma n’a pas vocation a ĂȘtre rĂ©aliste, il doit avoir une diĂ©gĂšse cohĂ©rente oui :no:.

:sac:

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X-Men: Apocalypse :1: :1: :1: :0: :0:
Mitigé, je suis essentiellement déçu par le méchant du film.

The Infiltrator :1: :1: :1: :1: :0:
TrĂšs bon. Ses couilles au vrai Robert Mazur, ça devait pas ĂȘtre simple tous les jours.

Split est trĂšs sympa.
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Split :1: :1: :1: :1: :1: :0: :0: :0: :0: :0:

Oui et non. Non parce que dĂšs le dĂ©but tout est prĂ©visible, MNS c’est censĂ© etre le roi du twist, mĂȘme tirĂ© par les tifs, mais la non. Le principe du Fusil de Tchekov c’est bien quand on te mets 1 indice, pas 14. Il retombe un peu dans ses travers, qu’il avait pourtant contournĂ©s dans l’excellent The Visit. Le pseudo twist Ă  la con de la fin, bien qu’excitant pour la suite et donc pour son prochain film, ça arrive un peu comme un cheveux sur le grec.
Oui parce que McAvoy, mĂȘme s’il en fait quand mĂȘme bien des caisses, est excellent. Et que Anna Taylor-Joy m’a excitĂ© :sac:

Et visiblement le prochain film de MNS sera bien Incassable 2 donc, avec bruce contre mcavoy. Mouais

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J’ai vu Split.
:1: :1: :1: :0: :0:

Pas dingue du tout. j’ai pas lu le bouquin. J’ai adorĂ© le dĂ©but, l’acteur est excellent ! Mais quand ça part en mode science fiction ça part complĂštement en couille
 J’adorais le rĂ©alisme et la folie de cette histoire, ils sont allĂ© trop loin en ayant eu la flemme de rendre le personnage plus complexe

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