Sans que j’en attende grand chose, Army of the Dead m’avait déçu, les enjeux du film étaient vraiment foireux. Ce prequel est un peu particulier. Oubliez les zombies, hormis de très rares plans il n’y en a pas. On est plus dans un « heist movie », un film de braquage. L’idée d’avoir un heist centré sur l’ouverture de coffres (avec des effets visuels assez efficaces) était pas mal… mais le film est trop prévisible. Les personnages sont vraiment quelconques, je me suis plus accroché au charme des actrices qu’autre chose
On sourit à plusieurs reprises, on a une séquence réussie quand Sebastian est lâché et pour être honnête, je n’ai pas regardé ça en m’ennuyant salement (même si c’était une demi-heure trop long), mais c’est un peu léger.
Je suis assez d’accord, j’ai eu cette appréhension au début mais ça passe assez vite une fois que les premières clés arrivent et que toute la fratrie est impliqué.
Étrange cette bande annonce, j’ai l’impression que la série tente un virage et délaisse le côté très « sombre » de la dernière saison (que j’avais adoré de mémoire).
Le blockbuster de fin d’année de Netflix est sorti ce weekend. Je ne savais pas du tout à quoi m’attendre car je n’ai vu aucun trailer, je ne savais même pas de quoi ça parlait, c’est pour dire
Ce qui marque dans un premier temps c’est à quel point tout est forcé. Les acteurs forcent le trait, les vannes sont forcées, ça demande un petit temps d’adaptation pour être honnête. Mais il faut avouer qu’à force d’en balancer, pas mal d’entre elles font leur effet, au début on sourit pas mal, mais j’ai ri à plusieurs reprises sans problème. Et à ce jeu Ryan Reynolds est le meilleur des trois dans le domaine. Je ne les ai pas noté, mais celle de Jurassic Park par exemple doit être celle que j’ai préféré.
Le rythme est bon aussi ce qui aide à se mettre dans le film même si l’intrigue n’est pas vraiment la force première on va dire. On a notre lot de twists, de coups fourrés qu’on pourrait attendre d’un film qui parlent de voleurs de talents. Je dois avouer que la dernière surprise, je ne l’ai pas vu venir.
Visuellement c’est très inégal je trouve. Le paradoxe des films à gros budgets ces temps-ci c’est qu’on voit les moyens dans des décors, dans les passages urbains mais on voit aussi beaucoup trop de blue/green screens qui paraissent dispensables, ça donne des scènes moches par moments qui gâchent vraiment le truc à mon goût.
Au final, beaucoup repose sur Reynolds qui est dans son élément, le rythme des vannes fait oublier les petits ratés et le côté très forcé des dialogues. C’est un film popcorn, et celui-ci a le mérite de ne pas m’avoir saoulé.
J’étais un peu dans ton cas et j’avais un peu peur du casting quand on connais la propension de Reynolds et de Johnson pour improviser et abuser de la blague mais au final le trio fonctionne bien. Ça m’a bien diverti perso. Bon par contre comme les Benjamin Gates, je serais friand d’une suite