đŸ“ș News et discussions

Source: le parisien

Fini la saison 2 d’OVNI(s). Toujours incroyable. MalgrĂ© une histoire et un univers qui ne m’attirent de base pas du tout, tout est parfait et fonctionne trĂšs bien, en particulier les acteurs qui sont tous incroyables. C’est toujours bien Ă©crit, visuellement beau, BO de Thylacine toujours efficace, l’intrigue est efficace
 beau boulot.

En attente d’une saison 3 ce que la fin laisse clairement sous-entendre

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Tout pareil.
Mention spĂ©ciale pour la restitution de l’époque dans les dĂ©cors, les costumes, les dialogues, ça fonctionne trĂšs bien.
Et la BO est parfaitement en phase avec le rythme, c’est particuliĂšrement agrĂ©able.
J’aime beaucoup et j’ai sautĂ© dessus Ă  la reprise de la saison 2.

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Source: les inrocks

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Séries Mania : les meilleures découvertes du festival lillois par Olivier Joyard

Retour sur une Ă©dition 2022 dominĂ©e par la nouvelle sĂ©rie de David Simon et l’incroyable biopic consacrĂ© aux premiĂšres annĂ©es de NTM, “Le monde de demain”.

Salles bondĂ©es, rencontres surbookĂ©es, forum professionnel envahi par 3000 accrĂ©ditĂ©s internationaux dĂ©masquĂ©s : la premiĂšre Ă©dition de SĂ©ries Mania aux dates printaniĂšres habituelles depuis les divers confinements, avait un air Ă  la fois Ă©trange et doux de monde d’avant. MĂȘme la bande de la prĂ©cieuse mais dĂ©pressive En ThĂ©rapie saison 2 (Ă  voir dĂšs le 31 mars sur arte.tv) a rencontrĂ© le public avec l’énergie des jours heureux, Suzanne Lindon en tĂȘte.

Le rĂ©el, lui, s’est malgrĂ© tout rappelĂ© au bon souvenir des festivalier·Úres, avec la prĂ©sidence du jury confiĂ©e Ă  l’Ukrainienne Julia Sinkevych – qui a voyagĂ© depuis Lviv et a prĂ©vu de rentrer dans son pays dĂšs ce samedi 26 mars – mais aussi dans les nombreuses sĂ©ries montrĂ©es pendant huit journĂ©es ultra remplies.
David Simon est toujours le boss

Avec deux nouveautĂ©s amĂ©ricaines en compĂ©tition, Billy The Kid de Michael Hirst (crĂ©ateur de l’intĂ©ressante Vikings) et We Own This City de David Simon et George Pelecanos, le festival lillois a situĂ© cette Ă©dition dans sa moyenne haute concernant la prĂ©sence du plus grand pays des sĂ©ries. Nous avons dĂ©jĂ  Ă©crit ici l’amour immĂ©diat portĂ© au retour Ă  Baltimore du crĂ©ateur de The Wire, qui s’intĂ©resse Ă  une affaire de violences policiĂšres et Ă  ses consĂ©quences sur toute une ville, avec un sens intact du romanesque, de la prĂ©cision des affects, et une vision politique du corps social amĂ©ricain sans Ă©quivalent. Grande sĂ©rie sur la police plutĂŽt que sĂ©rie policiĂšre, We Own This City a planĂ© au-dessus de la plupart des autres, montrant la voie d’un art sĂ©riel dĂ©nuĂ© de superflu, attachĂ© Ă  ses personnages comme Ă  des mondes en soi.

Difficile, par la suite, de s’enthousiasmer pour ses concurrentes, tant la barre a Ă©tĂ© fixĂ©e haut d’entrĂ©e, mĂȘme si quelques tentatives originales ont retenu l’attention en compĂ©tition, comme l’anglaise The Birth of Daniel F. Harris. Cette premiĂšre crĂ©ation de Pete Jackson raconte l’histoire d’un jeune homme dont le pĂšre se suicide dĂšs la premiĂšre sĂ©quence. On dĂ©couvre alors que les deux hommes ont vĂ©cu jusqu’à la majoritĂ© de l’enfant coupĂ©s du monde et des “monstres”. Un pĂšre aimant mais abusif, une mĂšre disparue, une nouvelle vie Ă  recommencer chez sa tante qui le recueille : la sĂ©rie accompagne avec empathie son personnage principal dĂ©confinĂ©, que le jeune Lewis Gribben incarne avec une sorte de rage candide, absolument parfaite. Au nord de l’Europe, on a suivi avec plaisir une autre histoire bien noire, celle de la finlandaise Transport (crĂ©Ă©e par la rĂ©alisatrice Auli Mantila) autour du rĂ©cit complexe d’un trafic d’animaux. AprĂšs la dĂ©couverte d’une puce appartenant Ă  un cheval dans un pot de viande pour bĂ©bĂ©s (bon appĂ©tit), une enquĂȘte menĂ©e par une jeune journaliste dĂ©voile un systĂšme dĂ©primant. Le ton est sobre, le regard mĂ©ticuleux sur la marche en avant irrĂ©mĂ©diable du monde libĂ©ral. Parfait pour un soir d’hiver sous Macron deuxiĂšme mandat, mĂȘme si Ă  ce jour, aucun diffuseur français ne s’est manifestĂ©.
La French Touch existe-t-elle ?

En parlant de France, l’intĂ©rĂȘt majeur de SĂ©ries Mania 2022 a Ă©tĂ© de renvoyer une image fidĂšle de la vitalitĂ© et des problĂšmes des sĂ©ries d’ici. En ouverture, DrĂŽle avait imposĂ© sa dĂ©licatesse et sa vision d’un pays oĂč l’humour et la solidaritĂ© restent possibles. En clĂŽture, ce vendredi 25 mars, Oussekine a rappelĂ© Ă  quel point les fractures hexagonales viennent de loin. Co-crĂ©Ă©e et rĂ©alisĂ©e par Antoine Chevrollier (Le Bureau des lĂ©gendes, Baron Noir), cette production Disney + s’intĂ©resse Ă  la mort de Malik Oussekine, un soir de manif en dĂ©cembre 1986, sous les coups de la police. Une affaire d’état qui a hantĂ© une gĂ©nĂ©ration. La famille Oussekine et l’impact du deuil subi restent au centre de la narration, mais toujours pour entremĂȘler l’intime, le politique et l’historique. Oussekine se promĂšne Ă  la fois dans l’appartement de ces immigré·es ordinaires touché·es par le racisme et l’injustice, dans les arcanes du gouvernement tentant d’étouffer l’affaire, et se permet quelques retours en arriĂšre explicites sur une violence française. Dans le premier Ă©pisode, des images de manifestants algĂ©riens jetĂ©s par le Pont-Neuf le 17 octobre 1961 font froid dans le dos. Cette minisĂ©rie ample et Ă©mouvante arrivera en ligne avant la fin du printemps.

Parmi les autres dĂ©couvertes françaises de SĂ©ries Mania, la plateforme FranceTV/Slash a montrĂ© qu’elle tient le flambeau des teen sĂ©ries comme on en avait rarement vues en France auparavant – elle avait dĂ©jĂ  Ă  son actif plusieurs saisons de Skam, dont la derniĂšre a Ă©tĂ© montrĂ©e ici, ainsi que Mental. Deux productions toutes fraĂźches ont dĂ©barquĂ© Ă  Lille, Ă  commencer par Reuss, co-crĂ©Ă©e par JĂ©rĂŽme Larcher et Catherine Regula, dont le point de dĂ©part hyper original excitait beaucoup : une comĂ©die musicale hip-hop menĂ©e par trois copines qui habitent une Ăźle bordĂ©e par les citĂ©s. Malheureusement, la sĂ©rie ne parvient pas vraiment Ă  tisser son ambitieuse toile autrement qu’en superposant des intentions – rĂ©cit social et adolescent, hommage Ă  la comĂ©die musicale classique – avec une approche un peu mĂ©canique. Le manque de moyens y est peut-ĂȘtre pour quelque chose. Dans un style trĂšs diffĂ©rent, plus attendu mais aussi plus abouti, Chair Tendre nous a beaucoup plu, en racontant la vie d’un·e ado intersexe qui s’intĂšgre Ă  un nouveau lycĂ©e oĂč iel cache son statut de genre tout en affrontant Ă  la maison ses parents dĂ©passĂ©s par sa crise d’ado. CrĂ©Ă©e par YaĂ«l Langmann, la sĂ©rie brille par sa façon de chercher les tremblements intĂ©rieurs de ses personnages en laissant ses deux actrices principales s’exprimer sur la longueur. AngĂšle Metzger et la rĂ©vĂ©lation SaĂŒl Benchetrit forment un duo assez irrĂ©sistible. Une douce vision de l’ñge des possibles se dessine.
Monde d’hier, monde de demain

Plus fun et plus folle, Toutouyoutou (OCS) de GĂ©raldine de Margerie et Maxime Donzel se frotte Ă  l’arrivĂ©e Ă  Blagnac dans les annĂ©es 1980 d’une Franco-AmĂ©ricaine spĂ©cialiste de l’aĂ©robic et espionne Ă  ses heures pas si perdues que ça. VĂ©ronique et Davina croisent The Americans ? Tout Ă  fait. Au-delĂ  de ses dĂ©licatesses vintage qui peuvent Ă©voquer Ovni(s) et de son humour de vannes qui rappelle que le duo de crĂ©ateur·trice se trouvait il y a quelques annĂ©es Ă  la tĂȘte d’une pastille merveilleuse pour Arte (Tutotal), il faut tout de mĂȘme tenir la distance de la fiction. Toutouyoutou y parvient la plupart du temps, mĂȘme si quelque chose nous empĂȘche de dĂ©coller complĂštement, comme si l’intrigue principale de la sĂ©rie prenait trop de place face Ă  la comĂ©die de mƓurs qui dĂ©cape. Restent des personnages singuliers et un sujet : l’émancipation des femmes de quarante ans dans un monde qui ne veut pas toujours d’elles. Sur ce point, la sĂ©rie fait vraiment fort.

Reste la sidĂ©ration du festival, puisqu’il y en a eu une et ce n’est pas si courant, encore moins quand un projet français est concernĂ©. Le Monde de demain (Arte) crĂ©Ă©e par Katell QuillĂ©vĂ©rĂ© et HĂ©lier Cisterne, avec David ElkaĂŻm, Vincent Poymiro et la collaboration du journaliste Laurent Rigoulet, Ă©tait annoncĂ©e comme un biopic des premiĂšres annĂ©es de NTM. C’est Ă  la fois complĂštement cela et beaucoup plus : l’histoire d’un mouvement musical et culturel et d’une amitiĂ© crĂ©ative. Les six Ă©pisodes naviguent entre San Francisco, Saint-Denis et Paris, dans les pas de Bruno Lopes aka Kool Shen et Didier Morville aka Joey Starr, mais pas seulement. On y croise aussi DJ Dee Nasty et la graffeuse Lady V, leur famille, leurs proches
 C’est le tumulte d’un monde qui Ă©clot sur le bitume que saisissent QuillĂ©vĂ©rĂ© et Cisterne, co-rĂ©alisateur·trices et duo atypique de cinĂ©astes qui aiment sincĂšrement la forme-sĂ©rie. La premiĂšre s’est fait connaĂźtre notamment avec un beau drame adolescent (Suzanne), le second avait consacrĂ© son premier film Vandal au graff et participĂ© longuement Ă  la rĂ©alisation du Bureau des lĂ©gendes sous les auspices d’Éric Rochant.

Cela donne une sĂ©rie d’une fluiditĂ© imparable, claire et lisible sur la façon dont NTM est nĂ© d’abord dans la danse, mais aussi Ă  l’intĂ©rieur d’un mouvement plus large qui est celui de l’arrivĂ©e de la culture rap en France. La sĂ©rie est assez fascinante dans son refus de la fiction de banlieue habituelle et surtout trĂšs politique dans sa maniĂšre de fixer Ă  l’image les origines chuchotĂ©es d’une colĂšre contemporaine. Le plus beau Ă©tant que tout cela ne se fait pas au dĂ©triment de la pure musicalitĂ© du rĂ©cit (on pense parfois Ă  Eden, le film de Mia Hansen-LĂžve sur l’electro et Daft Punk) et d’une sensibilitĂ© extrĂȘme aux gestes, visages et corps de celles et ceux qui ont participĂ© Ă  l’épopĂ©e.

Le temps ramassĂ© de la fiction – tout dĂ©bute au milieu des eighties et se termine au premier ZĂ©nith du groupe en 1992 – ajoute une tension constante que les acteurs Melvin Boomer (Joey Starr) et Anthony Bajon (Kool Shen) portent avec un naturel merveilleux. Passionnante pour les spĂ©cialistes et les fans mais trĂšs adaptĂ©e aux nĂ©ophytes, Le Monde de demain s’impose dĂ©jĂ  comme l’un des coups de force artistique de l’annĂ©e, toutes disciplines confondues. À voir en septembre, pas avant.

Source: les inrockuptibles

Source: le parisien

J’ai vu les deux premiers Ă©pisodes de Halo.
Mieux que ce que je n’imaginais. Mais loin d’ĂȘtre super.

Saison 28/06

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Débuté Twin Peaks (5 épisodes)

Y’a un cĂŽtĂ© volontairement annĂ©es 90/tĂ©lĂ©film/intrigue feu de l’amour mais on est pris par l’histoire et le scĂ©nario.

Dale Cooper est génial

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Que j’aimerais ĂȘtre Ă  ta place et revoir ça avec un nouvel Ɠil :pleading_face::smiling_face_with_tear:

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Bha Halo est plutĂŽt cool. Voila. :homerhide:
Je ne sais pas trop pourquoi, mais je suis bien dedans. :hoho:

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En France, c’est C+ qui diffusera la sĂ©rie.

Live Action Team GIF by Xbox

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Source: télé cùble et satellite

Et je peux le rĂ©pĂ©ter s’il faut, Halo c’est pas vilain du tout.

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Les 4400


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Source: télérama

Source: le monde

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Super chaud

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