Parlons de la pluie et du beau temps (1)

:sac:

Le courant ne passait pas avec la direction?

Disons qu’ils n’ont pas jugé bon de nommer chef d’équipe un mec qui utilise toutes les failles pour bosser le moins possible, et qui passe son temps à se promener dans les locaux. :sac:

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Et qui ne ramasse pas les mouchoirs des autres :nwachukwu:

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C’est pourtant la preuve d’une grande intelligence de carrière :macron5:

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Vu qu’on est là-dessus : je ne vais finalement pas aller à l’entretien, le poste me motive moyen en fait. Et pour toutes les candidatures de stage/boulot sans réponse par le passé, très heureux de pouvoir décliner une proposition.

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Après avoir saigné une entrecôte de 350 grammes + truffade + pichet de vin et rillettes dans un troquet auvergnat, je suis présentement en train de sécher dans ma chambre d’hôtel devant C8 à mater Michel Sardou - La dernière danse.

On est bien ou quoi :neymar:

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Alors qu’il y avait un bon Steven Seagal sur CSTAR…

Je viens de switcher dessus :hillary:

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Y’en a un deuxieme :kermit:

Sinon j’aime bien l’idée qu’il puisse exister un bon Steven Seagal. :hoho:

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Façon de parler…

Je savais que ces chef d’oeuvres assouviraient tes vices :no:

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Une critique du film sur Sens Critique :

En tant que fan du Cachalot Aïkidoka, j’ai été éduqué à regarder des DTV tout pourris, à l’image crade et aux acteurs ratés, obscurs, et mauvais de surcroît.

Heureusement, le premier DTV de Steven Seagal évite les acteurs ratés.
En effet, le casting est impressionnant, on compte même 2 grands acteurs, Tom Sizemore & Dennis Hopper et l’inoubliable interprète de Zed dans Pulp Fiction, Peter Greene qui alterne entre bon film et DTV dégueulasse. Ici, on est malheureusement entre les deux, tendance DTV. L’image est crade, les écrans verts sont légions, même quand on est en voiture, le scénario est d’une indigence incroyable et les acteurs, soi-disant excellents, sont vraiment nuls, mention spéciale au sieur Hopper qui devait être quelqu’un de très endetté. La musique de Serge Colbert est risible de ridicule (le méchant étant Irlandais, on a des cœurs bizarre ressemblant de très loin à du gaélique)…

En reste un Steven Seagal plutôt calme, qui apparait grimé en chanteur de country lors d’une petite scène assez réussie, ne se battant que 10 minutes avant la fin du film, quand on sent qu’il n’y a plus d’argent dans les caisses. Le showdown final est mou, on n’y comprend rien, ce qui donne l’impression d’un film bâclé (non, sans blague), que les studios auraient gâché, selon Albert Pyun.

Un Director’s Cut est sorti sur demande par mail, où Pyun nous montrerait sa vision du film, qui ne serait pas un simple actioner, et où il n’y aurait pas tout ces flash-backs pourris. Sauf qu’Albert Pyun n’est PAS un bon réalisateur, loin de là, c’est un tâcheron. Peu ragoûtant, donc.

:hoho:

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Ça laisse songeur :hoho:

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Quand je pense que quand j’étais petit, ses deux films Piege à grande vitesse et Piège en haute mer m’avaient rendu complètement ouf.

Je le trouvais presque aussi fort que Schwarzenegger.

:sac:

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Qu’on peut être cons, enfants

C’est clair, il aurait mis une branlée à Schwarzi.

Un classique quand j’étais plus jeune. :ztfamaz:

Je l’ai revu il y a pas longtemps lors d’une chaude après-midi d’été, sur une chaîne obscure. Une grave erreur. :pls:

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Ce jeu d’acteur. Comment a-t-il pu rater l’oscar putain…

EDIT : 1993, meilleur acteur, Al Pacino dans Le Temps d’un week-end. Et Al Pacino, il se fait pas latter la gueule par Seagal peut-être ? Saloperie d’académie.

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Ok donc personne devant burger quiz… Bien bien…

La scène du gâteau :hollande:

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