En plus en période d’essai il a pris la raison la plus idiote et qui peut vite tourner à « l’illégal », si t’as envie de les faire chier je pense que tu peux.
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J’ai appelé la DIRRECT. Je ne peux rien faire, car ça a été indiqué par mon responsable de vive voix.
Du coup, je viens de tenter un petit coup de poker. J’ai envoyé un mail à la RH en indiquant tout ça et que je trouve le procédé malhonnête. Avec un peu de chance, ils vont confirmer tout cela lors de leur réponse, et ça me fournira ma preuve.
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Effectivement, ce qui ne se prouve pas n’existe pas.
Reste qu’au fond, ce que dit @darnell est juste, c’est une discrimination, l’état de santé, qui ne peut motiver une décision, quelle qu’elle soit.
Cela étant, si tu n’arrives pas à la prouver, c’est compliquer.
Pour les stats, si t’es capable de prouver que c’est faux tu peux instiguer le doute.
Que comptes-tu faire au bout du bout? Aller aux prud’hommes? Saisir l’inspection du travail avec les preuves que tu auras récoltées?
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Je compte bien aller jusqu’au bout. Je trouve ça tellement malhonnête d’utiliser ce genre de procédé, que j’ai absolument pas envie de laisser ça. Surtout de m’inventer des arrêts de travail que je n’ai pas eu, tout ça pour me dégager.
Si mon « piège » fonctionne, je recontacte la Dirrect dans la foulée, comme il m’a dit lors de mon appel tout à l’heure. Ensuite je verrais le mieux à faire. Mais je compte pas laisser passer ça.
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Perso je les ferais bien chier jusqu’au bout. 
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Tu as bien raison.
Et c’était la DIRECCTE, c’est devenu la DREETS par chez toi.
(j’encule, bien volontiers, les mouches, mais ça permettra à qui lit de tomber facilement sur le bon service en cherchant sur internet).
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C’est vrai. Mais je dis toujours direccte, j’aime pas le changement.
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Un employeur peut mettre fin à la période sans raison. Je vois pas trop ce que tu peux contester.
Bah justement, sans motif.
Quand y’a un motif ca peut s’apparenter à une sanction si c’est pour une faute, si c’est en raison des arrêts de travail c’est une décision, mettre fin à la période d’essai, fondée sur un motif, l’état de santé, qui est interdite et discriminatoire.
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Sans raison, effectivement.
Mais quand c’est motivé par le fait que tu sois en arrêt maladie, c’est abusif et considéré comme discriminatoire.
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Après tu peux avoir le droit de demander plus d’informations dans le sens :
« Qu’est-ce qui a motivé cette décision afin que je m’améliore dans mon prochain poste ? »
Perso j’avais eu un cas un peu similaire il y a 2 ans maintenant
Nouveau job, mais pas encore de mission , pas forcement de locaux, je devais commencer un 15 janvier.
Du coup je me déplace pour les entretiens, le 30 on me dit, tu seras payé 1 mois plus tard, t’inquièteraient pas c’est juste qu’avec la trésorerie c’est pas top top.
Ensuite 3 semaines plus tard, toujours pas de mission, je décide de démissionner, la période d’essai fonctionne dans les 2 sens, mais bon ça faisait un mois, toujours pas payé… Pas top.
La on me dit pas de soucis, on t’envoie ton salaire, si tu veux on te fais même un chèque maintenant de 2K, et tchao. Je dis non, je veux tout. Et deux jours plus tard, je reçois un Courier pour me dire que j’avais séché depuis 1 mois et que j’étais viré ( alors que j’avais fait plein d’entretiens, etc).
J’avais vu un avocat, pour 3k de gain après procès ça valait pas le coup, ça allait durer plus d’un an, engendrer beaucoup de temps et de frais du coup j’avais abandonné le truc. Autant passer à autre chose, repartir du bon pied avec une société plus stable et éviter de se prendre la tête pendant des mois et se stresser pour rien.
Dans la série « les chefs se fouttent de la gueule du monde », épisode 655955123:
A la fusion des services survenue en avril avec un autre ministère, les secrétariats des ministères ont établis la liste des agents présents, etc, etc.
Bon, dans les discussions avec le ministère de l’intérieur, il a été arrêté par ce même ministère que les effectifs présents à date chez nous et les vacants sont ceux auxquels on a le droit à terme.
A la fusion, on a récupéré plus d’agent qu’on avait le droit (parce qu’on compte des gens, pas des ETP) du coup on a dépassé nos plafonds d’emploi. Autrement dit, même si on a toujours nos postes vacants, on n’a pas le droit d’accueillir d’autre agent par mutation car on est plus nombreux que ce qu’on a le droit. 
Ca c’est déjà marrant en soi.
Après, tu as la problématique des chefs locaux.
J’en ai un peu parlé plus tôt, on a une cheffe destinée à devenir cheffe au dessus.
Mais avec les mouvements gelés on a donc un poste de grand chef vacant qui ne peut être occupé même par mutation. Et ça, dans l’administration, tu peux avoir autant de poste de sous-fifre vacant que tu veux tant qu’il n’y a pas un poste de chef vacant.
Pour que cette cheffe puisse prendre le poste, il faut pouvoir l’ouvrir, y compris pour les autres régions, même si le poste est fléché (quoi? C’est hypocrite? C’est bien la première fois…).
Alors, nos chefs sont allés couinés auprès de la DRH. Banco, les postes de chefs doivent trouver des chefs pour les occuper.
Ah mais, c’est vrai, la cheffe en question n’a pas l’ancienneté requise pour le grade… Comment on va faire? 
On ouvre, exceptionnellement, le poste aux agents du grade en dessous, alors que c’est pas du tout du tout le délire de ce poste. Et, tant qu’on y est, on s’assoit sur la règle qui veut que quand on prend un poste de ce grade on change d’affectation administrative (de département ou de région).
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Un petit 49.3 et hop elle est nommée.
Bon si ça arrive à quelqu’un d’autre, je suis allé voir l’ADIL ce matin, qui m’a confirmé que la retenue de la proprio était excessive.
Pour les plus courageux, vous pouvez aller voir l’arrêt de la Cour d’appel de Poitiers du 4 février 2020 - décision 18/03367
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Reprise en temps partiel après 6 mois d’arrêt ça pique un peu.
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Le site des impôts a planté 
C’est le même prestataire que pour l’Educ’ Nat’ ?
Encore un coup des attaques russes peut être 
Dernière session de formation Maître de stage - tuteurs. Ouf.
Vivement la fin, ça n’a que trop duré.
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L’angoisse.
Tour de table bilan de la formation où chacun doit dire ce qui lui a plu et ce qu’il en a tiré…
J’ai bagouiné un truc chiant au possible. La politesse m’ayant retenu d’en dire tout le bien que j’en pensais…
Une collègue s’en est encore mieux tirée, coupures micro récurrentes. Du coup, on a rien capté et quand la formatrice lui a dit elle a répondu « j’ai terminé ». 
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