Pour aller + loin, en dehors de la période du blocus :
25 points de passage furent aménagés à travers le Mur et représentaient 60 % du total des passages entre RDA et RFA (via Berlin-Ouest) :
13 par la route (dont le fameux Checkpoint Charlie, qui était réservé aux étrangers et aux diplomates ; ainsi que Checkpoint Bravo)
4 par voie ferrée
8 par voie d’eau
À la veille de la chute du mur en novembre 1989, 1 500 soldats et 500 civils étaient affectés à sa surveillance permanente. Les conditions d’accès à Berlin-Ouest imposées par les autorités est-allemandes furent draconiennes :
Les passages aux frontières firent l’objet de tracasseries administratives longues et fastidieuses.
Le transit aérien au-dessus du territoire de la RDA ne pouvait se faire que par l’intermédiaire de couloirs aériens partant des aéroports de Hambourg, Francfort-sur-le-Main, Munich et rejoignant celui de Tegel, le principal aéroport berlinois.
Le transit ferroviaire imposait aux trains venant de l’Ouest et circulant sur trois axes pré-définis de ne pas s’arrêter en territoire est-allemand.
Le transit routier se faisait par trois « autoroutes de transit », sur lesquelles les conducteurs occidentaux ne pouvaient s’arrêter que sur des aires de repos et des stations-services qui leur étaient spécialement réservés. Celles-ci étaient équipés de magasins d’État qui offraient des produits occidentaux payables en Deutsche Mark (ces endroits étaient donc théoriquement interdits aux Allemands de l’Est).
Les rapports entre citoyens de la RDA et les voyageurs occidentaux en transit furent prohibés. Il était donc fortement déconseillé de laisser traîner dans les lieux publics toutes sortes de publication (livres, brochures, revues, magazines, cassettes audio ou vidéo, etc.) ou d’offrir le moindre cadeau à un citoyen est-allemand.
Attends de faire un don de plaquettes poussin, avec l’aiguille qui te vibre dans la veine pour te dire “presse cette balle ducon” quand ton débit est pas assez élevé
Je (re)donne régulièrement depuis un an et demi, t’as pas ou peu de douleur, ça va dépendre de l’angle pour te piquer. Au pire des cas, t’as une gêne d’une minute ou deux dans le bras mais ça passe. Après le don, le bras peut tirer un peu, mais c’est pas trop gênant.
La dernière fois, j’ai eu un peu mal avec la prise de sang basique (il n’y a jamais de prise de sang en général, là c’est juste parce que j’avais foiré le premier test hémoglobine) que le don avec la plus grosse aiguille où ça s’est jamais passé aussi bien, aucune gênant dans le bras pendant ou après le don.
Les premières fois que j’avais donné au lycée, j’avais quelques bouffées de chaleur et je devais être un peu rouge, mais cétait plus le stress qu’autre chose. Depuis que je redonne jamais eu un soucis. Il y a deux semaines par contre, y a eu deux tuiles là où j’ai donné, l’infirmière avait piqué l’artère au lieu de la veine, le mec a eu mal et a fait un malaise 20 minutes après. Et une autre fille a fait un malaise, mais elle était sujette aux malaises vagaux, mais c’est la seule fois où j’ai été témoin d’un soucis
Comme j’avais posté une fois, ils ont une mentalité qui me plait, ils te disent de boire beaucoup, de bien manger et surtout pas de sport, ça me parle :pierremenes:
Par contre je suis recalé pour 6 mois. Mon sang n’a pas passé l’analyse hémoglobine et leur doc me conseille de ne pas revenir pendant 6 mois, le temps que le corps récupère.
@Amara J’ai l’impression que quand c’est l’EFS qui vient dans une ville, t’as de la charcut, mais dans leurs locaux, t’as de la chiasse.
Pareil, j’essaye de donner aussi souvent que possible. A part le moment où l’infirmière m’enfonce l’aiguille dans le bras, perso ça ne fait rien.
Bon par contre je me rappelle encore de la fois où j’avais donné après le 13 novembre. J’y avais été le lundi après-midi après les cours et l’entrée de l’EFS à l’hôpital Saint-Louis se trouve juste en face du Carillon et du Petit Cambodge, les deux premiers restaurants qui se sont fait canarder. Puis ensuite il y avait un monde fou pour donner son sang. Je me rappelle avoir discuté vite fait avec un touriste anglais notamment. Je suis arrivé vers 14h et j’ai été pris en charge qu’à 17h30 et quand mon tour est venu je sentais que les infirmières étaient à bout. Genre celle qui s’occupait de moi n’a même pas pris la peine de me demander bras droit ou bras gauche du coup elle est allé dans le droit. Sauf que j’avais un putain de devoir écrit à la main à rendre pour le lendemain. Bah je peux vous dire que j’en ai chié pour le terminer
@steven même si t’avais donné, il me semble que t’aurais quand même dû attendre 6 mois pour donner de nouveau