Et c’est des épisodes comme ça presque tout le temps. (J’en rajoute un peu, mais pas tant)
Si vous aimez les podcasts historiques, j’écoute Real Dictators (en anglais par contre) qui parlent de la vie et la prise de pouvoir des dictateurs de l’Histoire.
Pour moi qui suis très limité en culture générale sur les pays étrangers, c’est instructifs. J’ai écouté les séries sur Kim Jong-il, Joseph Staline, Mao Zedong, Papa Doc, General Tojo (pas un dictateur mais ils l’ont intégré quand même) et la première sur Hitler (les années avant sa prise de pouvoir).
La narration de Paul McGann est plaisante, c’est un acteur réputé, il a été un Doctor de Dr Who, il était dans Luther plus récemment. L’accompagnement sonore aide à nous mettre dans l’ambiance, sans être envahissant. En gros c’est très soigné, très pro.
Je ne saurais pas juger la fiabilité de toutes les infos, mais ils se montrent prudent sur certaines parties, ça aide à avoir un minimum confiance.
Au début on a l’impression que c’est centré sur les communistes exclusivement, mais ça s’équilibre un peu ensuite. J’ai trouvé la couverture assez gentille avec les américains qui ont financé Papa Doc par contre, on sent qu’il ne veut pas trop froisser l’autre côté de l’Atlantique. Mais ça reste de l’ordre du détail.
Les épisodes de Real Dictators sur Franco sont intéressants car je dois admettre que j’en savais très peu sur lui.
Comme souvent l’arrivée au pouvoir est une sorte de chance et d’opportunité parfaitement saisie. C’est la partie après la seconde guerre mondiale qui était plus surprenante en fait pour comprendre comment il a pu rester au pouvoir si longtemps, en ayant fait oublier les crimes commis, en réécrivant l’histoire et grâce à un bon arrangement avec les américains.
Après 1945, c’était marrant, il suffit de dire que t’es anti communiste et les américains te filent des gros chèque, même si tu tues plein de gens
Le quatuor magique (Rob McElhenney, Glenn Howerton, Charlie Day et Megan Ganz) qui font un podcast sur les épisodes de Sunny, mais ça va souvent ailleurs, leurs vies, la production etc.
https://www.youtube.com/channel/UCBw0bL8MtOIl1UX7db2MT3A
Les 15 premiers sans vidéo, mais ensuite avec vidéo.
J’écoute depuis le début, on sent assez vite qu’ils s’en foutent de parler des épisodes
Mais on a des bit sympas, comme l’histoire du parking, les retards ou dernièrement l’épisode qu’ils font en étant bourrés
Moguri du Cosy Corner qui présente son bébé
Depuis un demi-siècle, l’infatigable Georges Lang, 75 ans, berce les noctambules dans son émission musicale, qui fêtera ses 50 bourgies lors d’une programmation spéciale ce dimanche à minuit.
Blues, country, classiques, nouveautés… Nuit après nuit, Georges Lang cherche « l’alchimie ».
«Un jour, tu verras, je ferai de la radio. Et ça ne sera pas sur une petite station ! » Quand il se vante ainsi auprès d’un copain de l’école, Georges Lang n’est encore qu’un enfant. Il n’a pas de plan B à l’époque, et n’en aura jamais eu besoin. Cette année, cette voix emblématique souffle les 50 bougies de son émission musicale de rock, Les nocturnes, diffusée chaque week-end sur RTL. Une soirée spéciale réunit fidèles auditeurs, patrons (anciens et actuels) et messages d’artistes qu’il admire, comme Katie Melua, Ben Harper, Marcus King ou Larkin Poe. Pour montrer que « la radio ne se fait pas toute seule ». Pourtant, c’est bien en cavalier seul que l’animateur, aujourd’hui âgé de 75 ans, a fait ses armes. À Metz, où il est né, il profite adolescent des discothèques de familles américaines pour lesquelles il fait du baby-sitting. « J’écoutais des disques qui me mettaient dans un état pas possible : Coltrane, Elvis, Ray Charles ou les Platters. Je rentrais chez moi la tête pleine de sons. »
En douce, le nouveau mélomane berce ses nuits avec la radio, et notamment Pour ceux qui aiment le jazz, sur Europe 1. C’est décidé : il veut en être. Et s’il n’a pas encore la technique, il a l’envie et le culot. En 1966, le lycéen s’envole pour le Moyen-Orient. Au programme, pas de plage ni de cocktails, mais le tour de grandes villes où l’ORTF (Office de radiodiffusion-télévision française) possède des bureaux, qu’il visite. « Je touchais la radio de près ! À Beyrouth, des gens de 20 ans y travaillaient déjà. J’ai réalisé qu’une fois rentré en Europe c’est ce que j’allais faire. » L’amoureux de la musique anglo-saxonne n’a qu’une parole. Très vite, il propose au directeur des programmes de RTL une idée bien précise : une nocturne musicale.
Demande accordée. Le voilà à l’antenne, de minuit à 3 heures puis jusqu’à 5 heures, formant avec son collègue Bernard Schu un duo qui veut « refaire le monde et la radio ». Dans les années 1970, les bâtiments RTL (situés à la Villa Louvigny, au Luxembourg) forment un vrai carrefour européen, où des stations allemandes, hollandaises ou françaises cohabitent. L’équipe des Nocturnes s’inspire fortement des voisins de studio anglais, formés dans les radios pirates. « Ils nous ont tout appris ! Grâce à eux, on sortait même des titres en avance sur la France, comme ceux de John Lennon ou des Who. Ils étaient plus fous que nous, avec des jingles à tomber, le sens de la formule, des fonds sonores exceptionnels… Chez eux, jamais de temps mort ! »
Pendant des années en studio, il connaît « une paix royale ». Avant un coup de massue en 2000 : le voilà licencié, menacé d’être remplacé « par la machine informatique » et des playlists créées par logiciel. Ce qui le sauve alors ? Ses auditeurs, qui crient leur colère et leur désir d’entendre à nouveau Les nocturnes. Ils confirment ainsi ce que Lang aime à dire : « La radio appartient à ceux qui l’écoutent, et non à ceux qui la font. » Vingt-trois ans plus tard, ses émissions emblématiques perdurent, malgré une réduction du temps d’antenne (une heure seulement désormais) et des déplacements de tranche (de la semaine au week-end). Mais jamais de censure. « J’ai toujours été le seul maître à bord. Personne n’est venu me dire : “Tu devrais passer telle musique”. Ça, c’est inestimable. »
Ce que les plateformes ne font pas, c’est se mettre à la place de ceux qui écoutent.
Aujourd’hui, Les nocturnes, qui diffusent du rock autant que de la country ou du blues, s’adressent à ceux qui révisent, conduisent, mais aussi « ceux qui se réfugient la nuit, qui ne sont pas à l’aise dans la société ». « Ma voix, rassurante paraît-il, a créé une communauté », affirme ce « passeur » qui ne laisse rien au hasard lorsqu’il compose seul la partition de ses émissions, diffusées en direct : « Il y a une alchimie à respecter dans les enchaînements : un équilibre entre les nouveautés, les grands classiques, les morceaux récents… Avec cela, il faut pénétrer l’intimité de l’auditeur sans le brusquer. C’est tout l’art de la radio. Ce que les plateformes ne font pas, c’est se mettre à la place de ceux qui écoutent. »
Quand il s’éloigne du micro, Georges Lang s’adonne à des hobbies surprenants, comme la collection de maisons d’oiseau fabriquées aux États-Unis, ou de petites vaches en céramique pour décorer sa maison luxembourgeoise. Que compte-t-il faire ensuite, quand l’éloignement sera permanent ? Il affirme ne pas y penser. « Tant que j’ai la confiance de RTL, je reste. Mais je m’arrêterai de moi-même, car toute ma vie a tourné autour de mon émission et il faudra un jour être raisonnable. Et adulte, à mon âge ! » Pas la rentrée prochaine en tout cas, où il sera encore à l’antenne. Offrant encore à nos oreilles sa voix rauque, profonde, qui berce somptueusement nos nuits.
https://www.youtube.com/@ballonmaincorps
Podcast avec Sébastien Bassong, Ricardo Faty et Quentin Westberg, tous issus de la génération 86 présent dans A la Clairefontaine. J’ai pas la sensation de langue de bois, des thèmes que je trouve peu abordés (argent, santé mental, formation à l’INF…), beaucoup d’anecdotes avec pas mal d’invités différents (Niang, Angoula, Bouabdellah…), des types qui ont vécus des carrières totalement différentes… Mon émission foot préféré en ce moment.
Les épisodes sont disponibles sur d’autres plateformes.
4 bouses de RMC dans le top 10
Affaires Sensibles
Un podcast qui existe depuis un certain temps mais que j’ai découvert il y a pas si longtemps (l’an passé, il me semble): Blockbusters.
Présenté par Frédérick Sigrist, humoriste et fan de pop culture. Il s’entoure d’experts, de connaisseurs ou d’acteurs du sujet qu’il va aborder pendant une heure.
Ca brasse trèèèèès large. Dernièrement, on passe des Guignols de l’info à Jul en passant par Godzilla, la trilogie du Parrain, Tom Cruise, Berserk, Takehiko Inoue, emission hommage à Akira Toriyama, Louis de Funès, Lauryn Hill, Prince of Persia, Michael Jordan, John Wick, Starmania…
J’en passe et des tas, bref, ça brasse excessivement large, et c’est ce qui est intéressant.
Ca revient donc sur le sujet pendant une heure. C’est bien rythmé, c’est ponctué de musique en rapport avec le sujet, les intervenants sont toujours de qualité (dans ceux que j’ai écouté) en tout cas ils ont une plus value sur le sujet. On va ainsi retrouver une doubleuse de Dragon ball pour l’hommage à Toriyama, etc…
Bref, je recommande. Y’en a pour tous les goûts et c’est l’occasion d’en apprendre toujours un peu plus sur un sujet qui nous intéresse a priori ou pas.
Woaw. Y’a genre 80-90% des sujets j’ai envie de cliquer dessus. Je connaissais pas du tout pourtant je suis pas étranger à France Inter.
Merci ! Ca va tourner en boucle pendant quelques semaines
Je l’ai découvert il y a 2 ou 3 mois via l’épisode Batman, et j’apprécie beaucoup aussi !