Les règles environnementales de mon sens sont de deux types : les règles de construction et les règles urbanistiques.
De construction : l’enjeu environnemental est de construire des bâtiments peu énergivore pour réduire la dépendance énergétique (et réduire la facture des ménages accessoirement) et par conséquent lutter contre le réchauffement climatique.
Urbanistique : le mec veut libérer le foncier public et privé. Mais ce foncier, dans les grandes métropoles, est désormais loin des centres et des structures de transport. Construire un logement loin implique de générer du flux routier et par conséquent de générer des gaz à effet de serre en plus de vulnérabiliser les ménages pour qui le budget déplacements contrebalance souvent largement le gain opéré sur l’achat du bien.
L’autre point est la préservation des terres agricoles et la défense de la biodiversité. On urbanise désormais en périphérie sur des terres agricoles dont on a grandement besoin et on défonce le peu qui reste de biodiv à proximité des villes. Là encore ces actions engendre réchauffement climatique (moins de zones capables de restituer du frais la nuit) et perte de biodiversité (les continuités écologiques disparaissent petit à petit).
Libérer le foncier et abaisser les normes de construction serait à court terme sans doute payant mais à long terme catastrophique : on ne réduit pas notre dépendance aux énergies fossiles, on nique la biodiv, on contribue à réchauffer le climat, et on précarise des foyers qui seront un jour probablement coincés dans leur cambrousse faute de pouvoir se déplacer à cause des moyens de déplacement trop onéreux.
La facture à long terme s’annonce salé (et on comme déjà à la payer).
Puis bon, niveau franchouillard on a connu mieux que la choucroute, y a même eu une époque de l’histoire ou le couscous était plus français que la choucroute
En fait ils sont un peu cons, le couscous ça rappelle le temps béni des colonies. Ils devraient en manger plus les yeux brillant d’une nostalgie d’un passé glorieux n’est ce pas.
S’ensuivent des échanges surréalistes avec des militants, où elle argue que la pizza n’est pas non plus française alors que le couscous a été popularisé en France pendant la colonisation de l’Algérie.
Explication : ces entreprises ne paient pas la TVA mais une taxe sur les salaires. Or, le gouvernement aurait décidé de supprimer cette taxe… sur la dernière tranche de salaire, soit celle des banquiers et assureurs aux revenus les plus généreux. Coût fiscal pour l’Etat (et les contribuables) estimé par nos confrères : 300 millions d’euros*.
C’est fou.
On dirait vraiment le GOP aux US (sauf qu’on se cache un peu plus), on ne fait d’efforts que pour les riches et les copains
Je sais pas ce qui se passe chez les politiques de droite depuis quelques années à se réclamer « gaullistes », ça fait 50 ans c’est bon ho , faudrait penser à regarder devant, l’avenir
suis-je Gaulliste ?