📰 ActualitĂ© et politique française (partie 1)

https://www.leparisien.fr/amp/societe/education-les-stylos-rouges-veulent-federer-le-mal-etre-des-profs-29-12-2018-7978014.php

les gilets jaunes
les stylos rouges
bientÎt les sextoys roses qui lutte contre la précarité des actrices pornos, une lutte noble :kaamelott6:

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Vous voulez un tennisman pour vous représenter ?

Elitiste votre profession :jlm2:

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EXCELLENTE NOUVELLE : une action en justice de la secrĂ©taire d’État Ă  l’Écologie.

Enfin des choses qui BOUGENT pour la planùte 


VoilĂ  :sac:

Ça m’a permis de savoir que Brune Ă©tait un prĂ©nom.

@Tyler ton prĂ©nom c’est Roux ?

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:hoho:

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actu2

Source: le jdd

Seems legit

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Twitter :hoho:

https://mobile.twitter.com/IsaSenecal/status/1079355546250235904

https://mobile.twitter.com/Papiillon/status/1079346690644209664

https://mobile.twitter.com/zecplusultra/status/1079372612059451392

https://mobile.twitter.com/Papiillon/status/1079374780464279553

https://mobile.twitter.com/zecplusultra/status/1079375997080911873

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Le fil m’a d’ailleurs permis de dĂ©couvrir ce monument :

Ma vie est changée à jamais :hibou:

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Donc Le Monde aussi fait parti des “vilains journalistes” ? Manque pas d’audace les LREM.

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:popcorn: :popcorn: :popcorn: AFFAIRE BENALA S02 E10 :popcorn: :popcorn: :popcorn:

Netflix peut aller se rhabiller, c’est juste invraisemblable tout ce qu’il peut dire dans cette interview :zidane:



Alexandre Benalla affirme échanger trÚs réguliÚrement avec Emmanuel Macron

31 décembre 2018 Par Fabrice Arfi

Alexandre Benalla a affirmĂ© dimanche, lors d’un entretien Ă  Mediapart, avoir Ă©changĂ© trĂšs rĂ©guliĂšrement avec Emmanuel Macron, sur des « thĂ©matiques diverses » comme les gilets jaunes, depuis sa mise Ă  l’écart l’étĂ© dernier. La prĂ©sidence de la RĂ©publique avait pourtant assurĂ© qu’elle n’entretenait « plus aucun contact » avec lui. « Ça va ĂȘtre trĂšs dur de le dĂ©mentir parce que tous ces Ă©changes sont sur mon tĂ©lĂ©phone portable » , confie l’ancien collaborateur du prĂ©sident, qu’il dĂ©crit par ailleurs comme Ă©tant entourĂ© de « technocrates » qui « appartiennent Ă  une famille pire que la mafia » .

Il est formel et dit en avoir des preuves, nombreuses. Alexandre Benalla, dont le nom est aujourd’hui synonyme d’une puis deux affaires qui empoisonnent la vie de l’ÉlysĂ©e, a affirmĂ©, dimanche 30 dĂ©cembre, lors d’un entretien avec Mediapart, avoir Ă©changĂ© trĂšs rĂ©guliĂšrement avec Emmanuel Macron depuis sa mise Ă  l’écart de la prĂ©sidence l’étĂ© dernier.

« Ça, ils ne pourront jamais le nier. Ça va ĂȘtre trĂšs dur de le dĂ©mentir parce que tous ces Ă©changes sont sur mon tĂ©lĂ©phone portable » , assure l’ancien adjoint au chef de cabinet d’Emmanuel Macron, mis en examen pour « violences volontaires » (notamment) dans l’affaire du 1er-Mai et visĂ© depuis peu par une nouvelle enquĂȘte judiciaire pour « abus de confiance » (notamment), ouverte par le parquet de Paris aprĂšs les rĂ©vĂ©lations de Mediapart sur ses passeports diplomatiques.

Emmanuel Macron et Alexandre Benalla © Reuters Emmanuel Macron et Alexandre Benalla © Reuters

La prĂ©sidence de la RĂ©publique, qui n’a pas donnĂ© suite Ă  nos sollicitations, avait pourtant assurĂ©, le 24 dĂ©cembre, au quotidien Le Monde, qu’elle n’entretenait « plus aucun contact » avec Alexandre Benalla.

L’ancien collaborateur du chef de l’État, auprĂšs duquel il a commencĂ© comme garde du corps avant de devenir un confident doublĂ© d’un conseiller informel, explique que ses rapports avec Emmanuel Macron passent essentiellement par l’application Telegram.

« Nous Ă©changeons sur des thĂ©matiques diverses. C’est souvent sur le mode “comment tu vois les choses ?” . Cela peut aussi bien concerner les gilets jaunes, des considĂ©rations sur untel ou sur untel ou sur des questions de sĂ©curitĂ©. C’est, en gros : “Comment tu sens le truc ?” » , prĂ©cise Alexandre Benalla. « C’était dĂ©jĂ  le cas avant [quand il Ă©tait encore Ă  l’ÉlysĂ©e – ndlr] » , ajoute-t-il.

Il affirme avoir Ă©changĂ© de maniĂšre rĂ©guliĂšre avec Emmanuel Macron, mais aussi d’autres membres de la prĂ©sidence, jusqu’aux rĂ©centes rĂ©vĂ©lations de Mediapart sur son utilisation d’un passeport diplomatique en dĂ©pit de son Ă©viction de l’ÉlysĂ©e. « LĂ , le lien est coupĂ© » , dit-il.

Alexandre Benalla, dont les dĂ©placements Ă  l’étranger (en Afrique ou en IsraĂ«l), le business privĂ© qu’il y a entrepris dans le domaine sĂ©curitaire et certaines de ses frĂ©quentations (comme avec l’intermĂ©diaire sarkozyste Alexandre Djouhri Ă  Londres) suscitent des interrogations, affirme par ailleurs avoir toujours rendu compte en plus haut lieu de ses faits et gestes depuis son dĂ©part forcĂ© de l’ÉlysĂ©e.

« J’explique que j’ai vu telle personne, je dĂ©taille les propos qui m’ont Ă©tĂ© rapportĂ©s et de quelle nature ils sont. AprĂšs, ils en font ce qu’ils veulent. Y compris le prĂ©sident de la RĂ©publique, qui est informĂ© en direct » , tĂ©moigne-t-il, prĂ©cisant ĂȘtre autant sollicitĂ© par le chef de l’État qu’il ne le sollicite lui-mĂȘme.

Alexandre Benalla se montre aujourd’hui surpris, voire amusĂ©, par l’embarras que son nom peut susciter au ChĂąteau. « C’est quand mĂȘme facile pour l’ÉlysĂ©e de couper le cordon avec moi s’il le voulait vraiment. Il suffit d’arrĂȘter les sollicitations ou de ne pas me rĂ©pondre. Personne ne m’a jamais rien dit » , dit-il.

A-t-il revu physiquement le prĂ©sident depuis son licenciement officiel de l’ÉlysĂ©e ? Alexandre Benalla louvoie : « Je vais encore affirmer un truc avec, en face de moi, des gens qui vous disent qu’ils sont prĂȘts Ă  mentir pour protĂ©ger le prĂ©sident », argue-t-il, faisant rĂ©fĂ©rence Ă  une dĂ©claration d’une conseillĂšre presse du prĂ©sident, Sibeth Ndiaye, qui avait assurĂ© en juillet 2017, dans un entretien Ă  L’Express : « J’assume parfaitement de mentir pour protĂ©ger le prĂ©sident. »

Assurant n’avoir jamais reçu formellement de lettre de licenciement, en dĂ©pit d’un entretien prĂ©alable aprĂšs les rĂ©vĂ©lations du Monde sur les violences du 1er mai, Alexandre Benalla dit ne pas se considĂ©rer pour autant comme Ă©tant toujours en mission pour l’ÉlysĂ©e : « Non, je suis un Ă©lĂ©ment extĂ©rieur qui veut du bien au mec [Macron – ndlr] qui lui a fait confiance. Aujourd’hui, ça peut paraĂźtre un peu dingue, j’aurais pu claquer la porte et passer Ă  autre chose. Mais on continue Ă  me solliciter, alors je continue Ă  rĂ©pondre. Je garde des liens. Cela dĂ©range un certain nombre de personnes, qui sont puissantes et qui font comme si le prĂ©sident Ă©tait sous curatelle. Ils lui font faire des conneries phĂ©nomĂ©nales. »

Aujourd’hui, Alexandre Benalla, 27 ans, ne retient plus ses coups contre le plus proche entourage du chef de l’État, un univers qu’il dĂ©crit comme peuplĂ© de « technocrates » qui « appartiennent Ă  une famille pire que la mafia, oĂč tout le monde se tient, oĂč tout le monde doit sa carriĂšre Ă  l’autre » .

Il cite nommĂ©ment le directeur de cabinet du prĂ©sident, Patrick Strzoda, et le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de l’ÉlysĂ©e, Alexis Kohler, comme « archĂ©types des gens qui ne l’aident pas et lui font prendre des mauvaises dĂ©cisions » .

« Ils sont dans le moule de ce systĂšme. Je suis dĂ©solĂ© d’utiliser des mots que l’on entend d’ordinaire dans la bouche des extrĂȘmes, mais c’est une rĂ©alitĂ© qui existe : un systĂšme technique et administratif qui dĂ©connecte une mec – Macron – qui n’est dĂ©jĂ  pas trĂšs connectĂ© mais brillant. Mais quand vous ĂȘtes entourĂ©s de gens qui vous intoxiquent en permanence, ça finit par faire faire des bĂȘtises. »

Emmanuel Macron et Alexandre Benalla © Reuters Emmanuel Macron et Alexandre Benalla © Reuters

Alexandre Benalla poursuit : « J’ai brusquĂ© quand j’étais lĂ , j’ai refusĂ© de prendre les codes et les gens autour ne comprenaient pas pourquoi le prĂ©sident m’écoutait et pourquoi ma parole pouvait avoir une sorte d’importance. Vous vous rendez compte de l’énervement de ces mĂȘmes gens quand ils dĂ©couvrent que je continue d’échanger avec le prĂ©sident. (
) Vous avez un systĂšme qui est pris en otage par une haute fonction publique qu’on appelle aussi les technocrates ou les Ă©narques, plus un certain nombre de personnes qui errent dans les couloirs et qui font de l’influence sans qu’on sache bien quels intĂ©rĂȘts ils servent si ce n’est les leurs. »

« J’ai un peu le cƓur jaune », reconnaĂźt l’ancien collaborateur Ă©lysĂ©en, en rĂ©fĂ©rence au mouvement des gilets jaunes. L’intĂ©ressĂ© dit d’ailleurs avoir Ă©tĂ© consultĂ© par Emmanuel Macron sur cette crise sociale durant le mois de dĂ©cembre. Le bruit d’une rĂ©union confidentielle Ă  l’ÉlysĂ©e le dimanche 9 dĂ©cembre, Ă  laquelle aurait assistĂ© Benalla, a mĂȘme couru Paris ces derniers jours, mais elle a Ă©tĂ© formellement dĂ©mentie Ă  Mediapart par la prĂ©sidence.

Quant Ă  Benalla, il affirme Ă  ce sujet : « Je vais dire des choses qui vont ĂȘtre niĂ©es. Je ne veux pas rentrer lĂ -dedans. Je veux garder ma crĂ©dibilitĂ©. La parole de Benalla qui a dĂ©jĂ  menti sur Djouhri, c’est une parole systĂ©matiquement mise en cause. À chaque fois que je dis quelque chose, on saisit le procureur de la RĂ©publique. Quoiqu’il se passe, Ă  la fin, il me restera l’image d’un menteur. »

Sur l’affaire des passeports diplomatiques, Alexandre Benalla rĂ©pĂšte ce qu’il a dĂ©jĂ  dĂ©clarĂ© Ă  d’autres mĂ©dias depuis les rĂ©vĂ©lations de Mediapart. À savoir : les passeports diplomatiques en sa possession rendus fin aoĂ»t Ă  la prĂ©sidence de la RĂ©publique lui ont Ă©tĂ© restituĂ©s dĂ©but octobre.

Il dĂ©crit la chronologie de la sorte : « Je rends une partie de mes effets personnels Ă  la suite d’un mail que j’ai reçu du gĂ©nĂ©ral Bio-Farina [commandant militaire de l’ElysĂ©e – ndlr] autour du 30 juillet, qui me demande de prendre contact avec son adjoint, un commandant. À la fin du mois d’aoĂ»t, je dĂ©pose tout, dont les passeports diplo’. Comment peuvent-ils dire que cela n’a pas existĂ© ? Au mois de septembre, on m’appelle pour me dire “Alex, on a encore un carton Ă  toi avec des affaires, il faudrait que tu les rĂ©cupĂšres” . Quand je me rends Ă  l’angle de l’avenue Gabriel et de la rue de l’ÉlysĂ©e pour rĂ©cupĂ©rer ces effets dĂ©but octobre, il y a dans un sac plastique un chĂ©quier, des clĂ©s et
 les passeports diplomatiques. »

Pourquoi cette restitution a-t-elle eu lieu dans la rue ? « Parce que je suis comme un pestifĂ©rĂ©. » Il assure que le « salariĂ© » de l’ÉlysĂ©e qui lui a restituĂ© les passeports lui aurait dĂ©clarĂ© dans le mĂȘme geste : « Tu ne fais pas de bĂȘtises avec » . Benalla : « La personne qui me les rend le fait sur instruction. Qui peut donner l’instruction ? A minima le directeur de cabinet du prĂ©sident ou au mieux le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de l’ÉlysĂ©e. » Le prĂ©sident lui-mĂȘme ? « Ça, faudra leur demander » , esquive-t-il.

Alexandre Benalla accuse le Quai d’Orsay de l’avoir laissĂ© utiliser ses passeports comme bon lui semble. « Si on ne veut pas que j’utilise ces passeports, il n’y a qu’à les dĂ©sactiver et les inscrire Ă  des fichiers. Il y a des procĂ©dures, tout de mĂȘme ! Normalement, au Quai d’Orsay, au bout de plusieurs de lettres de relance soi-disant envoyĂ©es, on s’inquiĂšte, non ? Ça ne passe pas inaperçu, deux passeports diplomatiques
 » , s’amuse l’ancien collaborateur d’Emmanuel Macron.

Il ajoute : « Il n’y a eu aucune dĂ©marche de faite pour rĂ©cupĂ©rer mes passeports parce qu’il y a eu des instructions donnĂ©es dans le sens inverse, c’est tout. Et comme ils ne savent pas rĂ©pondre aux journalistes, ils saisissent le procureur. Mais quand vous voyagez Ă  l’étranger avec un passeport diplomatique, l’ambassade de France est au courant que vous arrivez. Les services de sĂ©curitĂ© pour certains pays comme IsraĂ«l ou en Afrique sont au courant. La DGSE peut ĂȘtre au courant. »

L’ÉlysĂ©e et le Quai d’Orsay assurent depuis plusieurs jours n’avoir jamais eu vent de l’utilisation de ses passeports diplomatiques Ă  l’étranger par Alexandra Benalla. Ce dernier dit ĂȘtre entrĂ© avec « dans une dizaine de pays » depuis l’automne.

Pour lui, dans cette affaire, c’est certain : « Il y a des tĂȘtes qui vont tomber. » Mais Alexandre Benalla ne se fait pas d’illusion sur le fait que, pour l’instant, c’est la sienne qui est une nouvelle fois sur le billot judiciaire.

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Il veut partir comme un prince en emmenant quelqu’un dans sa chute :hautain: Strzoda, Koller, quelqu’un d’autre ?

Je suis curieux de savoir par qui Mediapart a eu l’info du passeport :wauquiez3:

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Deux soucis avec les gilets jaunes ces derniers temps (sans parler des Ă©carts racistes ou casses) :

  • l’anti journalisme assez primaire. OĂč tu t’en prends aux journalistes de terrains au lieu du grand patron voire des Ă©ditorialistes
  • l’anti syndicalisme. Quand les syndicats appellent Ă  manifester, personne ne suit, c’est trĂšs impopulaire, etc. J’ai quelques griefs contre la CFDT notamment, mais les accuser de ne pas faire leur boulot c’est assez dĂ©placĂ©

On est tous coupables, de ne pas avoir mieux votĂ©, de ne pas mettre en avant les vrais dĂ©bats (plutĂŽt que les dĂ©bats Ă©ternels sur l’immigration ou l’insĂ©curitĂ©), d’avoir acceptĂ© de se faire enculer depuis 30 ans et plus particuliĂšrement depuis la crise de 2007/08.

Blñmer les syndicats c’est trùs facile

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Source: le parisien

@RilletteDuQuintal ne peut pas ĂȘtre partout aussi :no:

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Soit nous sommes de piÚtres amants, soit les françaises sont insatiables. Possible aussi :calm:

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