Bilan Saison 4 - Partie I
###Infos pour la compréhension
Les graphiques sont issus de plot.ly. Vous pouvez accéder à la version interactive en cliquant sur l’image. A partir de là , vous pouvez masquer les points/lignes en cliquant dessus dans la légende, et zoomer/vous déplacer dans le graph en utilisant les icones en haut à droite:
La plupart des stats qui vont suivre sont calculées à partir des Power Ranking. Un petit rappel s’impose donc:
Chaque semaine, chacun des 14 joueurs a un score qui correspond à la somme de son rang dans chacune des 13 catégories. Plus le score est petit, plus l’on est performant (car on se rapproche du 1er et meilleur rang dans chaque catégorie)
Par exemple, si je suis 3ème en minutes, 5ème en fg% et 13ème en fautes techniques : 3+5+13=21. En ajoutant les 10 autres catégories, on obtient le PR (Power Ranking) pour la semaine.
Sur les 140 matchs de la saison régulière, l’équipe ayant le plus petit PR l’a emporté à 130 reprises. 93% de fiabilité donc.
Les 10 heureux perdants étant (avec leur avantage au PR entre parenthèses) :
Ralphy’s Wiggums - W14 -24
NĂ©a Cagous - W6 -22
Bibifoc Ganja Style - W12 -18
aliG Suns - W12 -16
Bibifoc Ganja Style - W8 -10
aliG Suns - W5 -9
Freezze Raptors - W7 -9
Max’s Lakers - W14 -7
Morvan Bulls - W9 -4
Morvan Bulls - W5 -3
Le PR permet en outre de calculer :
- la domination (écart entre son PR et celui de l’adversaire)
- le niveau d’un match (en additionnant son PR et celui de l’adversaire)
- la difficulté du calendrier (strengh of schedule)
- la régularité
C’est ce que nous allons voir sur la 4ème saison de la ligue !
En bas Ă gauche : nul
En haut Ă gauche : mouleux
En bas Ă droite : malchanceux
En haut Ă droite : boss
Une petite régression linéaire des familles donne les 7pts de la victoire à un PR de 83. Sur les 98 scores meilleurs (donc plus petits) que ce nombre, près de 85% ont gagné leur match-up. Les 15% restant sont expliqués par:
La ligue fonctionnant sur un système de face-à -face, le calendrier vient donc jouer un rôle sur les résultats. S’équilibre t’il sur la saison ?
La réponse : Globalement oui. Au final, entre la différence entre le calendrier le plus facile (Ralphy) et le plus difficile (Max) est de l’ordre de 10%. Est-ce suffisant pour pousser une équipe méritant les playoffs hors des 6 premiers ?
Après les fortunes diverses en début de saison, la situation s’est figée après une dizaine de semaines : 6 places pour 8. Après la All-Star Break (semaine 16), les choses semblaient réglées, mais Freezze et max ont entretenu l’espoir pour @Ralphy, qui a finalement laisser la 6ème place s’échapper.
@max n’est pas passé loin du plus gros choke de l’histoire de la fantasy en passant de premier avec 10pts d’avance à n’être qualifié que grâce à la victoire d’Aupa sur Ralphy, le tout en 3 semaines.
Au final, le PR ne ment pas : le meilleur a terminé champions, les 6 meilleurs ont terminés en playoffs
J’ai gardé le classement final comme ordre, ça permet de faire ressortir (ou non) des choses. Par exemple : les deux finalistes n’ont jamais enchainé plus de 3 victoires cette saison, soit autant combiné que…la meilleure série de @Sativa
Les statistiques dérivées des Power rankings permettent de sortir beaucoup d’infos :
- PR Moyen : Power Ranking moyen sur la saison (plus faible = meilleur)
- Régularité : Ecart-type du PR de chaque semaine (plus faible = plus régulier)
- PR Moyen de l’adversaire : Power Ranking moyen de l’adversaire affronté chaque semaine (plus faible = plus difficile)
-
Différence de PR : Différence entre PR moyen de l’adversaire - PR moyen
(plus grand = dominateur) - Points par journée : Nombre de catégories remportées chaque semaine en moyenne
- Régularité : Ecart-type du nombre de catégories remportées chaque semaine (plus faible = plus régulier)
- Points de retard en fin de saison : par rapport au leader (=“GB” sur Yahoo)
- Indice de domination : PR de l’adversaire - PR cumulé sur la saison (plus grand = dominateur)
- Domination (Top) : Plus grosse branlée donnée (PR de l’adversaire - PR)
- Domination (Bottom) : Plus grosse branlée subie (PR de l’adversaire - PR)
A suivre
Performance des joueurs : tops, flops, steals, busts, records…