Le plus drĂŽle dans les commentaires câest celui ci.
https://twitter.com/enuncoup/status/1297694855125250054?s=21
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Si jâai bien compris avec les propos des deux vu quâon ne vois rien avant quâelle dĂ©cide de lâafficher. Lâhomme aurait portĂ© un regard sur elle. Lui dit quâil lâa pas regardĂ© de travers, elle quâil lâa violĂ© du regard.
Ăa commence bien. Vu les rĂ©actions derriĂšre, elle a lâair pas totalement bien cablĂ©e 
Bon les rĂ©actions du gars par contre. CâĂ©tait peut ĂȘtre pas nĂ©cessaire dâĂȘtre dans lâabus aussi. Dur Ă vraiment dire quelque chose sans vidĂ©o de lâavant en fait.
En soit il a peut etre eu un comportement dĂ©placĂ© et peut etre pas. Dans tout les cas son comportement Ă elle me semble exagĂ©rĂ©. On dirait quâelle veut juste faire du buzz sur twitter quoi.
Sur la langue française elle a entiĂšrement raison. Factuellement je veux dire. Avant lâAcademie Française, le masculin ne lâemportait pas sur le fĂ©minin, lâaccord de proximitĂ© Ă©tait la norme.
Les poĂšmes de Ronsard ou de Charles dâOrlĂ©ans, non actualisĂ©s, en sont la preuve par exemple.
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MĂȘme sur le « justemente » ?
Le mot nâa jamais existĂ© mais tout comme lâAcademie Française a inventĂ© une grammaire de force, pourquoi les fĂ©ministes ne pourraient pas le faire ?
Faut bien comprendre que lâAcadĂ©mie Française a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e dans ce but de domination, que ça soit celle des hommes sur les femmes ou des nobles sur les bouseux. Donc elle nâest pas plus acceptable Ă mes yeux que lâinstitution populaire.
EDIT : encore que si, on accordait parfois les adverbes, le neutre nâexistant pas (et nâĂ©tant pas fondu dans le masculin)
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Ă ce sujet jâaime beaucoup suivre Laelia Veron sur Twitter qui poste toujours des anecdotes ou des mises Ă jour trĂšs intĂ©ressantes sur la langue.
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Un bon fils de pute
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Ce qui est hallucinant câest aussi le fait que la police lâait Ă©coutĂ©, voire mĂȘme sa compagne ou son frĂšre quand ils arrivent.
Je dis pas que ça aurait changĂ© les choses mais punaise, yâen a pas un pour racheter lâautre dans lâhistoireâŠ
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Ce qui me surprend le plus, câest quâil ne voulait pas payer les rĂ©parations, mais il sort libre aprĂšs le paiement de sa caution de 20 000 dollars. 
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AprĂšs dans lâabsolu, la caution peut avoir Ă©tĂ© versĂ©e par quelquâun dâautre de la famille.
Mais oui ça rend la situation initiale encore plus abjecte.
Le principe mĂȘme de la caution je le trouve bancale⊠Tu sais dâailleurs si ça existe ailleurs ? Et si ça marche surtout ?
Alors, lâefficacitĂ© de la caution est douteuse, il y a mĂȘme plusieurs Ă©tats amĂ©ricains oĂč elle commence Ă ĂȘtre remise en cause (Alaska et New Jersey) sauf pour les infractions les plus graves dans la mesure oĂč beaucoup estiment que la libĂ©ration provisoire dĂ©pend plus de la richesse que de la gravitĂ© de lâinfraction.
Hors des Etats-Unis, câest quelque chose quâon retrouve dans les pays anglophones, mĂȘme si certains proposent des alternatives (par exemple en Angleterre, la caution est souvent remplacĂ©e par une obligation de pointer au commissariat).
En France, câest techniquement autorisĂ© de demander une caution, mais on prĂ©fĂšre trĂšs souvent dâautres conditions pour le contrĂŽle judiciaire alternatif Ă une dĂ©tention provisoire, ce qui la rend assez rare (dâautant plus quâen droit français la dĂ©tention provisoire est censĂ©e ĂȘtre lâexception Ă la base, mĂȘme si câest de moins en moins le cas en raison des critiques que subissent les juges Ă chaque fois quâun rĂ©cidiviste se fait coincer dans une affaire mĂ©diatiqueâŠ).
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Bizarrement, il nây a pas de mobilisation des identitaires pour rĂ©clamer le nom du suspect.
Je me demande pourquoi. 
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Source: le parisien
