19 ans 20 en finition 
la brute !
Saison 2021-2022
Objectifs
Premiership : Champion
Scottish Cup : Vainqueur
Betfred Cup : Vainqueur
Ligue des Champions : Quarts de finale
Prévision des médias : 1er
De gros investissements cet été, avec un objectif clair : franchir un cap au niveeau européen.
Transferts
Trois départs majeurs en janvier : Stuart Williams, de retour d’une blessure aux croisés, part se relancer en prêt à Séville, tandis qu’Adam Rock tente l’aventure à Chelsea, où il sera un élément solide de la rotation sur la deuxième partie de saison avec notamment six buts inscrits. Enfin, Alfredo Morelos repart en Allemagne. Il ne pouvait pas prétendre à une place dans le onze avec Kröner, et je préférais le voir enchaîner les matchs ailleurs. Auteur de six bons mois, il ne pourra pas empêcher la relégation de Mayence, mais sera transféré en fin de saison à Gladbach pour disputer l’EL. Un club probablement plus adapté pour lui que le Bayern. Bonus : son nouveau statut de titulaire lui a permis de retrouver sa place en équipe nationale.
Scottish Premiership
Saison tranquille en championnat, une petite défaite face au Celtic et quelques nuls nous empêchent de franchir la barre des 100 points. Le Celtic est moins impérial, tandis que la hiérarchie derrière est assez brouillonne, avec une saison ratée d’Aberdeen qui tombe au pire moment puisque cette année est la première où le troisième obtient un ticket pour la LDC. A noter qu’on termine pour la première fois en cinq ans avec la meilleure défense.
Scottish Cup
Malgré Aberdeen et le Celtic sur notre chemin, on remporte la Cup pour la troisième année consécutive.
Betfred Cup
Pas de triplé cette saison, la faute à une belle performance de Kilmarnock qui perdra en finale face à Hibernian, tombeur du Celtic dès les huitièmes de finale.
Ligue des Champions
Impressionnant. Si l’on excepte un match complètement raté au Portugal, on roule sur le groupe en s’offrant deux victoires de prestige parfaitement méritées face à Chelsea, futur vice-champion d’Angleterre bouté prématurément hors de la compétition, et un carton revanchard contre Porto.
Quel parcours. Le tirage des huitièmes est délicat puisque c’est Monaco, demi-finaliste la saison dernière et qui règne sur la L1 avec le PSG, qui nous barre le chemin. Qu’importe, une performance majuscule de notre part à l’aller (le score était encore de 3-0 à la 90è minute, avant que le match ne s’emballe dans les arrêts de jeu) nous lance parfaitement, avant de terminer le travail sur un match retour non sans frayeurs lorsque nos adversaires reviennent de 2-0 à 2-2 en début de seconde période.
Les quarts de finale sont plus cléments avec des retrouvailles face à Porto, qu’on étrille à nouveau à l’aller pour nous ouvrir les portes des demi-finales ! Demi-finales où un monstre nous attend : United, quatre fois champion d’Angleterre en cinq saisons (incluant l’actuelle), finaliste de LDC la saison dernière et double vainqueur il y a deux et quatre ans.
Le match aller est disputé, United domine légèrement et la première mi-temps est haletante : un triplé d’Alexis Sánchez pour un doublé d’Andrea Rosi qui nous maintient dans le match. Ce sera le score final, avant un retour d’anthologie où on fait plus que résister à l’ogre mancunien (15 tirs à 12, 52% de possession) : l’homme providentiel se nomme Heinz Kröner, qui nous permet de rentrer aux vestiaires en tête (1-0) avant d’inscrire un doublé en début de seconde période. La réduction du score d’Alexis Sánchez encore ne changera rien.
Incroyable. Tout nous réussit en début de match, on domine outrageusement et on marque sur nos quatre premières situations chaudes, par Kröner, Rosi, Harrison puis Barjonas d’une mine de loin. On regagne le vestiaire avec quatre buts d’avance ! Mais lorsque Kane réduit le score au retour avant que Barjonas ne rate un penalty, le doute s’installe. Heureusement, seul Pogba trouvera le chemin des filets de loin.
Les statistiques du match sont à sens unique, et sans un solide Keylor Navas, le score aurait même pu être plus lourd. Tout simplement hallucinant.
Deux défenseurs, deux milieux et un attaquant dans le top européen. Logique.
Stats
Belle saison de tout l’effectif bien évidemment, et toujours les mêmes leaders offensifs, avec une saison capitale de Rosi et Kröner.
Bilan
Incroyable. Seule minuscule ombre au tableau, la défaite en Betfred Cup face à Kilmarnock. Mais comme on dit, on s’en fout on est champions d’Europe.
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