Le topic des Gros (régimes/exercices/astuces/repas à ne pas faire)

tu as peut être pris du muscle

Le pire c’est que j’ai faim, j’ai un bon diner mais j’ose pas le manger :sac:

te prive pas fais juste attention aux quantités

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Novembre 2016 : 117kg

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Février 2018 : 87kg

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Serrez les fesses, c’est possible, j’ai 34 ans hein. (J’ai plus les cheveux blonds quasiment, ça vaaaaaaa)

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:obama6:

Cependant, p’tite remarque : je ne pense pas que ce soit en serrant les fesses qu’on perde du poids.
:sac:

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Ooooooh tu sais, en serrant les fesses 400x par jour, je pense que tu muscles bien :sac:

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Cette semaine j’ai pu mettre une chemise qui ne m’allait pas en janvier. Grosse (lol) victoire.

Sur la voie de la rédemption.

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BG

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GG Gros :sac:

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Bon j’étais plus motivé depuis plus mois/semaines, sans vraiment de raison, mais sûrement dû à mes problèmes de dos, du coup j’avais totalement arrêté le régime et bouffer de la merde pendant quelques temps.

Là la motivation est de retour. J’ai de moins en moins mal au dos, et du coup ça me motive à me remettre bien. J’ai repris une bonne alimentation depuis une semaine, et j’ai racheté un vélo pour pouvoir avoir une bonne dose d’activité sportive quotidienne (cause qu’avec le taff c’est pas simple d’en avoir une plus prenante, avec mes horaires de merde). En une semaine et demi j’ai perdu quasiment 3kg.

J’ai toujours eu pour habitude de perdre vite, et prendre vite, donc je pense qu’en gardant une bonne alimentation et en faisant de l’exercice continuellement, ça devrait venir petit à petit.

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Astuce pour l’été

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-3kg en 1 mois ça fait plaisir

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Je me marie en aout 2019, objectif beau gosse pour cette date …
Actuellement 77kg sur la balance mais je ne suis pas grand 1m68.

Donc objectif -7kg minimum. Bon l’avantage c’est que je bouffe de la merde et que j’ai arrêté le sport.
Donc les premiers mois devrait me voir rapidement fondre et me motiver pour la suite.

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Perdre tous ces kilos pour vite les reprendre une fois l’anneau au doigt, c’est beau tant d’effort. :sac:

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Depuis quelques jours j’essaye de marcher plus et surtout je mange de la viande une fois par jour

Tu manges de la viande tous les jours ?

Oui mais avant c’était à tous les repas. La c’est une fois par jour

DAMN. C’est une très bonne chose d’avoir baissé, mais il faudra baisser encore un poil amha. :cowboy_hat_face:

Loin de moi l’idée de faire la moral ou quoi, mais ça me semble important de rappeler un petit truc du coup. Parce que la viande tous les jours, c’est vraiment pas bon.


Groupes d’aliments dont la consommation augmente le risque de maladies chroniques

Viande (hors volaille) et charcuterie

Dans la plupart des études épidémiologiques et dans les documents d’expertise internationaux, le terme de « viande hors volaille » c’est-à-dire les viandes de boeuf, porc, veau, mouton, agneau, chèvre et cheval est regroupée sous le terme « red meat ». Pour éviter tout risque de confusion avec le terme « viande rouge » qui en français regroupe les viandes de boeuf, mouton, agneau et cheval, le terme « viande hors volaille » est utilisé dans ce document. De la même façon il convient de préciser les limites associées au terme charcuterie. Les études épidémiologiques réalisées dans les pays anglo-saxons ne font pas référence à la seule charcuterie mais plus globalement à l’ensemble des viandes transformées. Cette appellation de « viande transformée » correspond à la viande qui a subi des procédés de transformation dans le but d’améliorer la conservation et/ou de développer les aromes, tels que la salaison, le séchage, la fermentation ou le fumage. A titre d’exemples on peut citer le jambon, les saucisses, le bacon, le corned-beef, le boeuf séché et les viandes en conserve.

Dans le contexte français, les viandes transformées correspondent essentiellement aux charcuteries (jambon cuit ou cru, saucisses, saucisson, pâté, etc.). Ainsi, les conclusions relatives à la charcuterie sont extrapolées d’études portant sur un groupe d’aliments plus large, celui de la viande transformée. Les consommations de viande hors volaille et de viandes transformées (incluant la charcuterie) augmentent le risque de cancer colorectal avec un niveau de preuve convaincant et le risque de MCV et diabète de type 2 avec un niveau de preuve probable. En outre, la consommation de viande en général ou de viande hors volaille en particulier pourrait augmenter le risque de cancer du sein selon l’expression des récepteurs hormonaux aux oestrogènes (ER) et de cancer de la prostate, ainsi que le risque de prise de poids, avec toutefois un niveau de preuve « limité mais suggestif ». Pour les maladies pour lesquelles les niveaux de preuve sont jugés convaincants ou probables, les méta-analyses indiquent que pour chaque augmentation d’apport quotidien de viande hors volaille de 100 g, le risque de ces maladies augmente de 10 à 20 %. Pour les viandes transformées incluant la charcuterie, chaque augmentation de 50 g/j induit des augmentations de risque allant jusqu’à 50 c1/0.

Ces données indiquent qu’il est nécessaire de limiter la consommation de viande hors volaille et de charcuterie, sans pouvoir précisément proposer de quantité maximale d’apport. Néanmoins, au regard de l’augmentation du risque engendrée par la consommation de viande hors volaille, il a été jugé nécessaire d’établir une limite maximale d’apport. Pour ce faire, les études épidémiologiques sur le cancer colorectal ont été considérées individuellement : la majorité d’entre elles rapporte une augmentation statistiquement significative du risque, par rapport à la classe de référence, dès 70 à 80 g/j de consommation. Cette valeur rejoint la limite maximale de consommation individuelle de 500 g par semaine de viande hors volaille proposée par le WCRF (WCRF 2011). En ce qui concerne les viandes transformées, l’analyse des études individuelles rapporte des augmentations statistiquement significatives de risque à partir de 25 g/j. Ces augmentations étant élevées, et en l’absence de données concernant l’augmentation du risque pour des consommations plus faibles, il a été jugé nécessaire de limiter la consommation de charcuterie. Il est par ailleurs recommandé de limiter la consommation de viandes cuites à haute température (barbecue, friture, etc.) et de varier les modes de cuisson (bouillie, rôtie, etc.).

Cette analyse du risque lié à la consommation de viande hors volaille est en accord avec celle de l’INCa (Institut National du Cancer) qui conclut à une augmentation du risque de cancer colorectal associée à la consommation de viande hors volaille avec un niveau de preuve « convaincant » (INCA 2014). Elle est également proche de celle du CIRC (Centre international de recherche sur le cancer) dont le but est de classer les composés carcinogènes. Le CIRC considère que la viande hors volaille est classée comme un carcinogène probable (groupe 2A) pour l’homme. Ce classement repose sur des preuves limitées (dues notamment à l’hétérogénéité relative des résultats) provenant d’études épidémiologiques montrant des associations positives entre la consommation de viande hors volaille et le développement du cancer colorectal. Ces éléments sont soutenues par des données d’ordre mécanistique (IARC 2015). C’est-à-dire qu’une association positive a été observée entre l’exposition à la consommation de viande hors volaille et le risque de cancer colorectal mais que d’autres explications pour ces observations (techniquement désignées par les termes de hasard, de biais ou de facteurs de confusion) ne peuvent être exclues. En ce qui concerne la viande transformée, l’INCa qualifie également la relation avec le risque de cancer colorectal de convaincante. De même, le CIRC classe la viande transformée comme un carcinogène pour l’homme (groupe 1). Ce classement repose sur des preuves convaincantes du lien causal entre la consommation de viande transformée et le cancer colorectal chez l’homme. Cette évaluation se fonde généralement sur des études épidémiologiques montrant le développement du cancer chez les personnes exposées. L’augmentation du risque de cancer colorectal est estimée à 18 % pour chaque consommation par pallier de 50 g/j de viandes transformées.

La source, étude et rapport de l’ANSES :

https://www.anses.fr/fr/system/files/NUT2012SA0103Ra-1.pdf

Le truc ‹ ‹ à retenir › › :

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Perso, je virerai totalement les boissons sucrées sauf certains jus de fruits (et avec quelques ajouts, style pas de jus d’orange le ventre vide etc), mais je suis un peu extrémiste. :sac:

Même chose pour le pain, faire attention à quoi, parce que c’est salement vilain niveau sel etc.

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D’autres choses. (Toujours ANSES)

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P5 = limite (en grammes/jours) inférieure
P95 = limite (en grammes/jours) supérieure


À ne pas suivre aveuglément non plus (surtout que c’est pour un·e français·aise moyen·enne (:sunglasses:)), votre médecin est là pour aider ou pour orienter.

En résumé : arrête de manger :berlusconi:

:sac:

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