🏀 NBA 2K19 - Montreal Badgers !

[SPOW3]

Et la suite !

[Potaval]

2024 marque un tournant dans la grande ligue ! En effet, le All-Star Game verra s’opposer la Team Dončić à la Team… Sylvestre !! Cocorico ! Sacré consécration pour le slovène comme pour le français qui s’affirment comme les tout meilleurs arrières de la ligue alors que le King cède sa place de Capitaine pour la première fois depuis l’instauration de ce format au All-Star Game ! Aux côtés de notre prodige européen, R.J. Barrett est également titulaire alors que Dejounte Murray est appelé parmi les remplaçants. Comme la saison dernière, ils vont tous disputer le match sous la même bannière et vont encore le remporter ! De bien belles consécrations individuelles et collectives pour notre dynamique trio renforcé d’anciens de la maison pour ce match en la personne de Bam Adebayo et de Julius Randle !

Duel sous le maillot des étoiles pour le duo d’arrière amené à dominer la ligue les prochaines saisons ?

Un match des étoiles dans la continuité de la première partie de saison des Badgers donc, mais est-ce que la dynamique était au rendez-vous au retour de l’événement ?

Un coup d’œil immédiat sur les résultats :

Une seconde partie de saison consistante mais relativement frustrante où l’équipe a été capable de coller de vrais écarts à des adversaires d’excellent calibre comme de se prendre les pieds dans le tapis face à des oppositions relatives. Les quatre dernières semaines de compétition nous voient tout juste terminer à l’équilibre… Certes, l’on avait diminué les minutes des titulaires pour arriver en Playoffs avec le supplément d’énergie qui a bien pu nous manquer la saison dernière, mais il va falloir rentrer directement dans l’exercice pour appuyer le message d’un excellent bilan qui est encore et toujours en progression ! Reste à voir ce que les matchs couperet vont nous offrir et pour cela, coup d’œil au classement de la conférence :

Eastern Conference Standings 2023-2024 :

	Logo	Team	V-D
1		Badgers	66-16
2		Hawks	43-33
3		Sharks	48-34
4		76ers	47-35
5		Celtics	47-35
6		Bucks	45-37
7		Nets	45-37
8		Knicks	38-44
9		Cavaliers	38-44
10		Bulls	37-45
11		Colonels	36-46
12		Magic	34-48
13		Pistons	33-49
14		Hornets	32-50
15		Wizards	30-52
16		Heat	29-53
17		Raptors	28-54
18		Pacers	26-56

Avec quatre équipes qualifiées pour les Playoffs, on peut dire que notre division est bien la plus relevée de l’Est ! Alors que l’on a fait la course en tête, les Hawks, Sharks, 76ers, Celtics et les Bucks ainsi que les Nets se sont livrés une bataille homérique dans notre sillage et les six équipes se tiennent en quatre victoires ! Derrière, ce sont les Knicks qui accrochent le dernier strapontin avec leur bilan négatif à égalité avec celui des Cavaliers et en devançant les Bulls d’une courte tête ! Si les cartes ont été légèrement rebattues dans la conférence, on retrouve toujours les même équipes au fond du classement…

Pendant ce temps-là, toujours plus à l’Ouest :

Western Conference Standings 2023-2024 :

	Logo	Team	V-D
1		Rockets	58-24
2		Thunder	53-29
3		Clippers	53-29
4		Aces	51-31
5		Grizzlies	51-31
6		Pelicans	50-32
7		Suns	50-32
8		Strike	48-34
9		Timberwolves	47-35
10		Warriors	46-36
11		Spurs	43-39
12		Jazz	37-45
13		Lakers	34-48
14		Supersonics	34-48
15		Nuggets	33-49
16		Mavericks	30-52
17		Kings	26-56
18		Blazers	24-58

James Harden et Russell Westbrook portent, encore et toujours, les Rockets jusqu’au sommet de leur conférence ! Derrière, le chamboulement est total et beaucoup d’équipes en profitent pour retrouver voir même découvrir les Playoffs. C’est le cas pour les Aces, le Thunder et les Grizzlies qui rejoignent les habituels Clippers dans le haut d’une conférence où les équipes ont un bilan positif jusqu’à la 10ème place ! Ça change l’Est… Mention aux Blazzers qui passent de TOP 3 la saison dernière TOP Pick pour la prochaine Draft pendant que le King n’est pas parvenu à qualifier les Lakers pour son last ride… Petite mention pour les Supersonics qui ne terminent pas dernier de la conférence cette saison… Enfin !

Prenons le temps de détailler les récompenses individuelles avant de poursuivre :

Titre	Team	Player	Pos.
Most Valuable Player		Luka Dončić	SG
Rookie of the Year		Perry Mullin	SF
Sixth Man of the Year		D’Angelo Russell.	PG
Defensive Player of the Year		Giannis Antetokounmpo	SF
Most Improved Player		Scott Strawberry	SG
Coach of the Year		Jacob Underwood	-

Back to Back MVP de la saison régulière pour un Luka Dončić qui s’impose maintenant comme le mâle alpha de la ligue ! Auteur d’une excellente saison statistique en progression par rapport au précédent exercice (27.4 points ; 8.5 rebonds ; 7.7 passes ; 1.6 interception ; 0.6 contre ; 0.530 %T ; 0.914 %LF ; 0.450 %3PTS) , le prodige slovène de 25 ans a parfaitement rebondi après les cruelles finales de la saison passée et envoi un message au reste de la ligue : je mènerai moi-même cette franchise au titre ! Par ailleurs, Coach Underwood ramène encore le titre de Coach de l’année à la faveur de notre Bilan alors que Jens Meier termine second au classement du Rookie of the year. Globalement, on retrouve pas mal de Badgers dans les différentes équipes de cette saison :

1st All-NBA Team :

Pos.	Team	Player
PG		Lonzo Ball
SG		Luka Dončić
SF		Giannis Antetokounmpo
PF		Zion Williamson
C		Deandre Ayton

2nd All-NBA Team :

Pos.	Team	Player
PG		Russell Westbrook
SG		Thierry Silvestre
SF		Wendell Carter Jr.
PF		Marvin Bagley III
C		Demarcus Cousins

3rd All-NBA Team :

Pos.	Team	Player
PG		Dejounte Murray
SG		Trae Young
SF		LeBron James
PF		Julius Randle
C		Nikola Jokic

1st All-Defensive Team :

Pos.	Team	Player
PG		Dejounte Murray
SG		Lonzo Ball
SF		Giannis Antetokounmpo
PF		Zion Williamson
C		Deandre Ayton

2nd All-Defensive Team :

Pos.	Team	Player
PG		Ben Simmons
SG		Thierry Silvestre
SF		R.J. Barrett
PF		Jaren Jackson Jr.
C		Matyas Kaffka

1st All-Rookie Team :

Pos.	Team	Player
PG		Joshua Hart
SG		Blake Morris Sr.
SF		Daniel Douglas
PF		Jens Meier
C		Floyd Irving

2nd All-Rookie Team :

Pos.	Team	Player
PG		Brook Atkins
SG		Darrel Teague
SF		Donta Colombus
PF		Willie McKenzie
C		Bojan Jovanovic

Troisième saison de suite dans une First All-NBA Team considérablement rajeunie pour Luka Doncic, mais quoi de plus normal pour le MVP de la saison régulière ? Non loin on retrouve Dejounte Murray dans la Third All-NBA Team ainsi que dans l First All-Defensive Team. R.J. Barrett et Matyas Kaffka prennent place dans la Second All-Defensive Team alors que Jens Meier occupe le poste 4 dans la All-Rookie Team. Les changements commencent à être plus nombreux dans ces récompenses avec beaucoup de « jeunes » joueurs qui entrent dans leur prime et viennent bousculer les habitudes pour imposer, enfin, un peu de renouvellement dans la grande ligue !

Après la gloriole des récompenses individuelles, place au sang avec la carte des Playoffs de la saison :

Premier et second de la saison régulière l’année passée, les Rockets et le Strike vont en découdre dès le premier tour ! Dans le même temps, les nouveaux venus s’affronteront entre eux pendant que le Thunder retrouvé accueillera les Suns et que les Pelicans tenteront de déjouer les pronostics en faveur des Clippers ! A l’Est, ça sent la poudre entre des équipes au bilan terriblement proches avec en point d’orgue la rivalité entre les 76ers et les Celtics. Face à des Kincks présent par défaut, on va tâcher de vite expédier la chose pour ne pas perdre des plumes et faire parler la poudre dès le tour suivant… Il faut ménager les corps tout en passant un message au reste de la concurrence !

There’s nothing you can’t do now you’re in New York!

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Cette année c’est la bonne ! Et vive le confinement !

[douante]

[Potaval]

Déjà la cinquième participation de l’équipe aux Playoffs NBA et, pour l’occasion, on retrouve la même opposition qui nous avait été offerte en 2021 avec les New York Knicks ! Pour étant, le parallèle s’arrêtera là car l’écart d’aujourd’hui semble infiniment plus abyssal que celui d’hier.

Seule équipe qualifiée avec un bilan de victoire négatif lors de cet exercice, les Knicks restent un rival de division et amèneront avec leur toute la poudre et le sel relatif à ce genre d’opposition ! Les confrontations directes appuient l’avantage du bilan collectif avec un 4-0 net et sans bavure pour Montreal sur la régulière avec un score moyen de 123-90… Autant dire que l’on est même plus favoris de la confrontation que l’on aborde avec l’avantage du terrain mais que tout le monde nous promet une véritable balade de santé !

Pourtant, il y a vraiment du talent chez Porzingis et sa bande. Le letton est flaqué de Jamal Murray et de J.P. Randolph qui s’est affirmé comme un TOP 10 de la ligue au Poste Quatre. Les New Yorkais sont identifiés comme une équipe solide au rebond et dense sous le panier avec leur paire dominante mais un peu plus en difficulté à distance… Rodney Hood et Ray Stickland peinent à amener un scoring régulier avec une adresse à trois points très fluctuante. Sans être impressionnant, le banc est respectable mais ne devrait pas nous causer des maux de tête à outrance.

Pour ce qui est de nous, on ne va pas partir dans une révolution de nos rotations. Après tout, elles nous ont permis de disposer plutôt aisément des Knicks durant la saison régulière. Le seul point de vigilance reste le poste d’Ailier Fort avec un Jens Meier en difficulté avec des douleurs dorsales récurrentes. On va légèrement diminuer ses minutes pour les répartir entre Thaddeus Young et Matyas Kaffka pendant que Rudy Gobert verra son temps de jeu augmenter au poste de pivot. Attention à ce qu’il ne soit quand même pas trop en souffrance face à un Porzingis capable de bien écarter le jeu… Les considérations tactiques derrière nous, passons directement aux confrontations :

Game 1 :

KNICKS @ BADGERS : 93 – 133

• Luka Doncic, 30 points, 8 rebonds, 9 passes, 1 contre
• Jimmy Fowlkes, 20 points, 2 rebonds
• Matyas Kaffka, 18 points, 7 rebonds, 2 passes, 2 interceptions 1 contre
• R.J. Barrett, 17 points, 7 rebonds, 3 passes, 1 interception, 1 contre

Pas le temps de niaiser cette année : l’équipe a bien compris le message et poste un premier match autoritaire aux Knicks pour montrer comment l’on entend faire tourner cette confrontation. Les New-Yorkais ne voient pas le jour et terminent la rencontre avec la tête au fond du sceau. La première manche est parfaitement négociée, plus que trois pour assoir le statut !

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Game 2 :

KNICKS @ BADGERS : 86 – 118

• Luka Doncic, 30 points, 5 rebonds, 5 passes, 1 contre
• Matyas Kaffka, 19 points, 6 rebonds, 8 passes, 1 interception, 2 contres
• Jimmy Fowlkes, 19 points, 2 rebonds, 1 passe, 1 interception
• Dejounte Murray, 16 points, 9 rebonds, 8 passes, 3 interceptions

Pas de relâchement dans cette rencontre pour une équipe toujours aussi autoritaire malgré la sortie précoce d’R.J. Barrett qui n’aura finalement subi qu’un coup. L’équipe performe dans le sillage d’un Luka toujours sublime au scoring avec une belle performance du banc.

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Game 3 :

BADGERS @ KNICKS : 117 – 90

• Luka Doncic, 34 points, 7 rebonds, 6 passes, 3 interceptions, 1 contre
• Jimmy Fowlkes, 19 points, 4 rebonds, 3 passes, 3 interceptions
• Matyas Kaffka, 18 points, 5 rebonds, 4 passes, 3 interceptions, 3 contres
• Dejounte Murray, 12 points, 4 rebonds, 10 passes, 2 interceptions, 3 contres

R.J. Barrett absent pour cette rencontre, le match commence très mal avec un premier quart temps où les New-Yorkais nous dominent 24-38 ! La petite calotte nécessaire pour vexer les hommes et les pousser à livrer une prestation défensive aboutie sur le reste du match où les Knicks ne verront plus le jour ! Luka Doncic est toujours aussi dominant alors que Jimmy Fowlkes fait un excellent début de campagne en se glissant dans les soulier de notre canadien blessé. En espérant qu’il impacte toujours autant lorsqu’il ressortira du banc !

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Game 4 :

BADGERS @ KNICKS : 134 – 118

• Dejounte Murray, 28 points, 7 rebonds, 8 passes, 2 interceptions
• Luka Doncic, 28 points, 11 rebonds, 6 passes, 5 interceptions
• R.J. Barrett, 27 points, 6 rebonds, 10 passes, 3 interceptions
• Matyas Kaffka, 13 points, 13 rebonds, 2 passes, 1 interception, 3 contres

Il en fallait un, il est arrivé : le Kristaps Porzingis Game ! Porté par un letton des grands soirs, les Kincks n’évitent toutefois pas le coup de balais face à notre trio extérieur retrouvé et dominant ! L’écart de niveau semble réellement abyssal quand l’effectif est en bonne santé et c’est avec une grande confiance que l’on se dirige vers le tour suivant.

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Game 5 :

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Game 6 :

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Game 7 :

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NBA Playoffs 2021 :

Comme attendu, ça a sorti les couteaux à l’Est : Nets & 76ers ont été jusqu’au match 7 pour remporter leurs oppositions respectives. En revanche, la claque est immense pour les hommes du Greek Freak, balayés par les Sharks d’un Trae Young proprement intenable. C’est LA surprise de ce premier tour ! A l’Ouest, domination nette des Rockets et des Clippers alors que les Aces et le Thunder se sont employés pour faire respectivement tomber les Grizzlies et les Suns. Aucune surprise dans la conférence qui verra ses demi-finales de conférence se disputer entre costauds de la saison régulière.

Nouveau rival de division pour les Badgers qui se verront opposés aux 76ers pour la première fois dans le cadre des Playoffs !

Oh brother are you gonna leave me wastin’ away, On the streets of Philadelphia.

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En espérant tenir le rythme, merci à tous pour les likes et les réactions tout du long de cette aventure ! On va le faire les mecs !

[max]

allez cette saison on y croit

Sinon comment tu as eu l’image du all star game? j’ai jamais pu voir les matchs perso

[Potaval]

Merci, on a jamais été aussi bien placé en tout cas !

Pour le All-Star j’ai fais comme je fais pour tous les autres matchs : je le joue (CPU vs CPU) et je screen avec F12

Généralement je fais ça le temps d’avoir suffisamment de screens pour illustrer la story et après je quitte pour simuler pare que les statistiques extrapolées c’est vite n’importe quoi

[max]

ah je pensais qu’on pouvait pas voir le all star qu’ils se simulait automatiquement je suis con mdr

Go Luka

[Potaval]

Après un premier tour passé avec grande maitrise, l’équipe s’avance vers un nouveau rival de division en la présence des 76ers pour envisager de disputer les finales de la conférence Est. Cet affrontement sera le premier entre les deux équipes dans le cadre des playoffs mais guère le premier de la saison pour autant…

En effet, dans le cadre des quatre confrontations de la saison régulière, le bilan est de 3-1 en faveur des Badgers pour une marque moyenne de 116-100. S’il est moins important qu’avec les Knicks, l’écart de niveau semble bien réel sur le papier. Mais on sait pertinemment que le papier ne reflète pas toujours la réalité du terrain. Surtout dans le cadre de rivalités de division disputées sur des matchs couperets !

Après deux années sans avoir disputé les Playoffs et avoir terminé à des places peu flatteuses (18ème en 2022 et 11ème en 2023), les 76ers sont de retour dans la course pour le titre à la faveur d’une équipe dominante au rebond et qui figure parmi les meilleures défenses de la ligue mais qui semble peu à l’aise dans l’exercice du trois points. Jouer au Wells Fargo Center n’a rien d’une sinécure, en témoigne la série arrachée au match 7 contre Boston au premier tour.

Ben Simmons et Joel Embiid sont toujours les têtes de gondoles d’un effectif dense mais où l’on ne retrouve pas de réelle troisième Star. Jaime Payne et Alex Cannon complètent un effectif où l’on ne retrouve pas réellement de talent émergent comme aurait pu le suggéré les hauts choix de draft des saisons passées. A défaut, le roster s’est construit par l’ajout de joueurs au niveau homogène en sortie de banc. Le banc, c’est une des forces de l’effectif car les 76ers ne baissent jamais de régime lorsque rentrent leurs remplaçants. Un fait illustré par la rotation au poste d’arrière où Marcus Smart (ancien de la maison Badgers…) et Donte DiVincenzo se partagent les minutes. L’implication totale de l’effectif risque donc d’être la clé de la réussite face à cet adversaire.

Stratégiquement, l’on s’oriente vers deux axes pour espérer remporter cette opposition : exploiter la faiblesse des 76ers à trois points et limiter Ben Simmons en attaque. Pour le premier point, l’idée est de partager les minutes de Gobert et Kaffka au poste 5 pour qu’ils soient en permanence sur le dos d’Embiid ! On s’oriente même vers des minutes avec les deux sur le terrain (Jens Meier étant toujours un peu en délicatesse avec son dos) pour complétement blinder la raquette et forcer Phily à écarter le jeu. Pour ce qui est du deuxième point, on va compter sur la paire Murray / Barrett pour se mettre en mission sur l’Australien. L’idée est d’avoir toujours l’un des deux sur le parquet quand le meneur adverse est présent mais aussi de chercher à faire en sorte que Jimmy Fowlkes ait le moins possible à jouer contre le meneur. Face à Simmons, il aura tout du mismatch à exploiter et déjà qu’il n’a rien de l’assurance tous risques en défense… Les ajustements fait mais susceptibles d’être bougés au fil de la confrontation, l’on se lance confiants mais humbles dans la bataille.

Game 1 :

76ERS @ BADGERS : 90 – 105

• Luka Doncic, 38 points, 7 rebonds, 6 passes, 1 interception, 1 contre
• R.J. Barrett, 22 points, 8 rebonds, 9 passes, 2 interceptions, 1 contre
• Matyas Kaffka, 15 points, 6 rebonds, 1 interceptions 2 contres
• Jens Meier, 9 points, 5 rebonds, 2 passes

Dans un match où le duo de star adverse a été limité à 30 points en cumulé, la décision s’est faite dans le troisième quart temps à la faveur de l’immense talent d’un Luka des grands soirs ! Les 76ers auront existé à la faveur d’un banc scorant deux fois plus que le nôtre. Avec seulement 30 points marqués dans la raquette, notre stratégie première a l’air d’avoir porté ses fruits quand les 76ers ont eu 35% de réussite à trois points sur ce match. A boire et à manger dans nos ajustements donc, mais pas de raison de révolutionner le tout pour l’instant. On to Game 2 !

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Game 2 :

76ERS @ BADGERS : 88 – 102

• Luka Doncic, 39 points, 9 rebonds, 6 passes, 4 interceptions, 1 contre
• Jimmy Fowlkes, 17 points, 6 rebonds, 2 passes, 1 interception
•Jens Meier, 11 points, 8 rebonds, 3 passes
• Matyas Kaffka, 11 points, 7 rebonds, 2 passes, 1 interception, 2 contres

24 points pour la paire Simmons – Embiid et un succès logique dans le sillage d’un Luka qui a clairement activé le mode playoffs à domicile ! La stratégie mise en place continue de payer même s’il faut rendre hommage à grosse défense des joueurs de la cité de l’amour fraternel : c’est compliqué de marquer sur ce collectif-là ! Petit focus sur Jens Meier qui, bien que diminué, fait sa série pour le moment avec un taux de réussite à trois points supérieur à 60% sur les deux matchs, forçant l’adversaire à s’écarter en défense sous peine de sanctionner de loin. De très bonne augure pour la suite quand il sera de retour à 100% ! Mais pas trop de plans sur la comète, les deux prochains matchs à l’extérieur n’auront rien d’une balade de santé…

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Game 3 :

BADGERS @ 76ERS : 112 – 98

• Luka Doncic, 29 points, 7 rebonds, 10 passes, 2 interceptions, 1 contre
• R. J. Barrett, 19 points, 5 rebonds, 7 passes, 4 interceptions, 1 contre
• Jimmy Fowlkes, 17 points, 3 rebonds, 1 passe, 1 interception
• Jens Meier, 15 points, 5 rebonds, 3 passes, 1 interception, 1 contre

Même s’ils étaient de retour sur leurs terres, Simmons et Embiid n’ont pas réussi à scorer plus de 25 points au total lors de ce match où notre stratégie continue de payer ! A la faveur d’une insolente réussite collective à trois points (50%) et d’un Luka qui n’en finit pas de justifier son titre d’MVP, l’équipe remporte donc la victoire dans une salle chauffée à blanc et n’est plus qu’à un pas de la qualification en finale de conférence. Hommage à Dejounte Murray qui n’apparait pas dans les lignes statistiques mais qui fait un boulot monstrueux avec son compère R.J. Barrett pour lockdown le meneur australien des Sixers.

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Game 4 :

BADGERS @ 76ERS : 104 – 105

• Matyas Kaffka, 22 points, 4 rebonds, 6 passes, 2 interceptions
• R.J. Barrett, 21 points, 2 rebonds, 4 passes, 5 interceptions
• Jimmy Fowlkes, 19 points, 3 rebonds, 2 passes
• Luka Doncic, 16 points, 7 rebonds, 5 passes, 1 contre

Dans le sillage des 50 points de leur duo de star, les 76ers arrachent le match sur la dernière possession et c’est amplement mérité pour cette équipe qui évite le coup de balais à la faveur de sa défense étouffante dans une salle bouillante. Avec une adresse extérieure fuyante, l’équipe n’a jamais su créer d’écart significatif et a finalement dû s’incliner sur la dernière possession. Vraiment pas immérité pour les hommes de Joel et Ben. La série n’est pas relancée pour autant et l’on a les moyens de la terminer à domicile dès le prochain match.

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Game 5 :

76ERS @ BADGERS : 92 – 107

• Luka Doncic, 36 points, 8 rebonds, 6 passes, 3 interceptions, 1 contre
• Dejounte Murray, 17 points, 5 rebonds, 9 passes, 2 interceptions, 1 contre
• Jens Meier, 12 points, 7 rebonds, 3 passe, 1 contre
• R.J. Barrett, 10 points, 9 rebonds, 10 passes, 2 interceptions

Avec un Luka en mode patron et face à un Joel Embiid dans la sauce (3/19 au tir !!!), l’équipe dispose donc des 76ers pour atteindre la finale de conférence dans une opposition globalement maitrisée. Bravo les mecs ! A nous la suite maintenant !

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Game 6 :

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Game 7 :

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NBA Playoffs 2024 :

Nouvelle opposition au couteau pour les Nets de Kevin Durant et Kyrie Irving qui doivent, toutefois, s’incliner face au talent à l’insolence d’un Trae Young proprement inarrêtable sur ces Playoffs. Dans son sillage, les Sharks avancent et Tampa Bay tient la première finale de sa jeune histoire. A l’Ouest, les Rockets assument toujours autant leur costume de patron en disposant sans trembler des jeunes Aces alors que les Clippers de *Zion, Leonard et George ont allé terrasser le Thunder à Chesapeake Energy Arena en prolongation lors du Game 7 ! Les deux franchises les plus dominantes de la conférence sur ces dernières années se retrouvent donc en finale alors que Thierry Silvestre a livré des phases finales qui autorisent tout l’Oklahoma à rêver de jours radieux à l’avenir…

Finale inédite pour l’Est qui opposera donc deux franchises issues de l’Expansion de 2018 ! Un vent de renouveau souffle sur la ligue…

We drunk in Tampa Bay And we gon’ hit a lick, we getting rich today !

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Encore merci à tous les mecs !

[Potaval]

Teaser pour le prochain tour les mecs :

Looks like meats back on the menu boys !

[Androquest]

Il est beau l’uniforme de Tampa

[Potaval]

Un de mes préféré dans les équipes d’expansion ! Largement inspiré des Maillots Vice de Miami mais ça le fait grave je trouve !

J’essayerai de prendre des screens des matchs contre les Aces, Colonels, Sonics et le Strike la saison prochaine pour voir comment ils étaient aussi

[Potaval]

Après avoir disposé des 76ers, l’équipe se retrouve donc à jouer la Finale de la Conférence Est pour la seconde saison de suite et avec l’avantage du terrain qui plus est ! Face à nous, les Tampa Bay Sharks -également issus de l’expansion de 2018- au profil très différent de ce qu’a pu nous opposer les joueurs de la cité de l’amour fraternel…

Les floridiens sont une équipe relativement complète et terriblement explosive en attaque dans le sillage d’un Trae Young qui est devenu le visage de la franchise ! Le meneur vient de boucler un exercice 2024 à 25.7 points, 2.2 rebonds, 6.6 passes, 1.3 interception à 0.514 au tir et à 0.444 à 3 points ! S’il fait office de point faible dans une défense qui aura navigué dans la moyenne de la ligue durant toute la saison régulière, le meneur est coutumier de gros coups de chaud à plus de 40 points où il porte son équipe vers la victoire. Les scalps des Bucks et Nets en témoignent…

Autour de l’ancien d’Oklahoma, l’effectif est dense et associe jeunesse comme expérience autour du projet de jeu porté par Coach Terrence Brooks. Quentin Grimes est le premier lieutenant de Trae Young à l’arrière et amène un scoring régulier à hauteur des 15 points comme son camarade Keon Kelly (Choix 6 de la Draft 2021 en provenance de Baylor) le fait sur son poste d’ailier ! Au poste quatre, Jordan Bell tourne en double-double points-rebonds avec une surprenante adresse extérieure développée à force de travail. Il est un excellent complet de Jones Valanciunas et Edmond Wright en rotation sur le poste cinq dans un profil de tontons à l’ancienne ! La franchise a bien travaillé pour s’offrir un banc de qualité contribuant parfaitement sur le peu de temps qui lui est offert et composé de Chandler Hutchinson, Quinn Cook, Darius Bazley et Dwight Powell. Avec ce collectif qui a bien cliqué, rien d’étonnant à voir les Sharks étrenner un bilan de 56-26 cette saison.

Méfiance donc, même si les confrontations directes sur la saison sont clairement à notre avantage avec deux succès majeurs 138-102 et 127-89 ! L’inspiration tactique pour vaincre dans cette finale viendra de ces oppositions où nous avions parfaitement bien contenu les assauts de Trae Young et où nos intérieurs avaient dominé la peinture. On approche des derniers instants de la saison, aussi on resserre un peu plus la rotation en offrant plus de minutes à nos titulaires et en ajustant le personnel sur le terrain.

Dejounte Murray va donc repartir en mission défensive et se retrouvera sur le parquet pour chaque minute que le Meneur Star des Floridiens y passera. Il aura moins de problèmes physiques que face à Ben Simmons, c’est déjà çà, et a prouvé en régulière qu’il pouvait être un poison pour le meneur. De l’autre côté du terrain, il y a de forte chances pour qu’on cible Young qui n’a rien de fiable en défense pour enfoncer les Sharks et notre Meneur All-Star devra être un contributeur majeur offensivement. En parallèle, on ajuste la rotation pour faire en sorte que deux joueurs parmi Doncic, Barrett et Fowlkes se trouvent toujours ensemble dans le jeu pour contrer l’apport offensif du banc adverse. Kaffka et Gobert se doivent de dominer au rebond tout en se montrant extrêmement dissuasifs en défense face à leurs deux adversaires direct tout en prenant garde à la capacité de Jordan Bell à écarter le jeu qui pourrait presque condamner Gobzilla s’il ne punit pas les Sharks sous les cercles. Confiants dans nos joueurs, on s’attend à de très belles joutes au Air Canada Centre comme à la Triple A Arena ! Les finales NBA sont à portée de main…

Game 1 :

SHARKS @ BADGERS : 113 – 117

• Luka Doncic, 27 points, 11 rebonds, 7 passes
• Dejounte Murray, 23 points, 4 rebonds, 12 passes
• Jimmy Fowlkes, 16 points, 3 rebonds, 2 passes, 1 interception
• R.J. Barrett, 13 points, 3 rebonds, 1 contre

Match sous tension où l’équipe a entamé le dernier Quart-Temps avec un déficit de 7 points et où l’on a finalement su prendre le dessus en scorant pas moins de 40 points dans le dernier quart. Offensivement, la stratégie adoptée a été au rendez-vous alors que défensivement… Je ne pensais pas l’avoir sous-estimé et pourtant… Trae Young claque un match 44 points et 13 passes avec un Dejounte sur ses basques tout le long du match mais rien à faire. L’ancien d’Oklahoma était chaud bouillant et notre salut est passé par une défense stricte sur ses coéquipiers afin de limiter leur impact. Avec un artilleur à ce niveau dans les rangs des Sharks, la confrontation s’annonce bien plus serrée que ce que pouvait le laisser entendre les pronostics.

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Game 2 :

SHARKS @ BADGERS : 115 – 124

• Luka Doncic, 34 points, 7 rebonds, 9 passes, 2 contres
• R.J. Barrett, 20 points, 8 rebonds, 5 passes, 1 interception, 2 contres
• Dejounte Murray, 18 points, 10 rebonds, 9 passes, 4 interceptions, 2 contres
• Jimmy Fowlkes, 15 points, 4 rebonds, 5 passes

Dans un match enlevé où Luka et Trae se seront répondu coups sur coup au scoring pour planté 34 unités chacun, l’équipe a toujours mené au score et s’est montrée très sérieuse pour limiter l’apport du supporting cast d’un Trae Young relativement limité par un gros match de Dejounte Murray qui lui subtilisera 4 ballons sur la rencontre. Globalement, notre ligne arrière est au rendez-vous des deux côtés du terrain alors que nos intérieur peinent à faire de réelles différences en attaque. Jens Meier n’est pas en réussite derrière la ligne et Gobert comme Kaffka peinent à enfoncer leurs adversaires directs. Vigilance à ce sujet avant de se déplacer en Floride où décrocher une éventuelle victoire ne sera pas une partie de plaisir.

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Game 3 :

BADGERS @ SHARKS : 120 – 126

• Luka Doncic, 26 points, 6 rebonds, 9 passes, 1 interception
• Jens Meier, 26 points, 6 rebonds, 4 passes, 1 interception
• Dejounte Murray, 23 points, 8 rebonds, 6 passes, 1 interception, 1 contre
• R.J. Barrett, 16 points, 8 rebonds, 6 passes, 1 interception

Dans une salle chauffée à blanc, l’équipe n’a pas franchement existé défensivement en première mi-temps où elle a encaissé la bagatelle de 70 points pour rentrer aux vestiaires avec un retard de plus de 15 points. Un déficit que l’on ne parviendra jamais à refaire malgré un énorme dernier quart. Globalement, le banc aura été défaillant dans cette défaite au contraire de celui des Sharks, dominant comme annoncé. On notera le réveil de Jens Meier tout en saluant -encore- le gros boulot de Dejounte malgré un Trae Young qui tourne encore à plus de 30 points.

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Game 4 :

BADGERS @ SHARKS : 114 – 133

• Luka Doncic, 41 points, 7 rebonds, 6 passes, 1 interception
• R.J. Barrett, 14 points, 3 rebonds, 13 passes, 1 contre
• Jimmy Fowlkes, 14 points, 4 rebonds, 1 passe, 1 interception
• Matyas Kaffka, 13 points, 9 rebonds, 2 passes, 1 interception, 2 contres

Une rencontre équilibrée et sous haute tension jusqu’au dernier Quart où les hommes de Tampa se sont tous enflammé dans le sillage d’un Pyromane : Trae FUCKIN’ Young ! 51 points et 15 passes pour le meneur qui continue son incroyable campagne avec un 12/16 à trois points qui a fait planer l’ombre du Chef sur la Triple A Arena. Abandonnés par notre adresses et punis de loin, l’on s’en est remis à la classe de Luka pour ne pas finir décrochés trop vite mais la défaite est là et les Floridiens reviennent à égalité dans la série. Le retour au Canada va faire du bien…

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Game 5 :

SHARKS @ BADGERS : 99 – 106

• Luka Doncic, 35 points, 11 rebonds, 12 passes
• Dejounte Murray, 19 points, 10 rebonds, 6 passes, 5 interceptions
• R.J. Barrett, 13 points, 5 rebonds, 5 passes, 2 interceptions, 1 contre
• Matyas Kaffka, 12 points, 7 rebonds, 3 passes, 2 contres

Le duel est toujours aussi intense dans un Air Canada Centre et tourne en faveur des locaux emmenés par un Luka décidé à montrer qu’il n’a pas été MVP par hasard ! Malgré les coups de chaud de son adversaire direct, Dejounte Murray a encore livré une très grosse prestation des deux côtés du terrain avec sa défense et ses ballons volés comme ses nombreux paniers en attaque. En feu derrière l’arc (49%), les Sharks se sont accrochés jusqu’au bout et ont terminé d’ajuster notre stratégie en impliquant beaucoup moins un Rudy en délicatesse pour défendre au large. L’avantage est là, mais la série est encore loin d’être gagnée…

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Game 6 :

BADGERS @ SHARKS : 105 – 106

• Luka Doncic, 27 points, 16 rebonds, 9 passes, 1 interception, 1 contre
• Jimmy Fowlkes, 21 points, 3 rebonds, 2 passes, 1 interception
• Jens Meier, 12 points, 4 rebonds, 2 passes
• Matyas Kaffka, 12 points, 13 rebonds, 3 passes, 1 interception, 4 contres

Un match arraché lors du dernier shoot d’un Trae Young limité mais terriblement clutch sous les hurlements du buzzer ! Ca aura, encore une fois, été une sacré bataille où les deux équipes se sont rendues coup pour coup et où notre raquette aura step-up -avec un Gobert dominant dans la protection de l’arceau sur son temps de jeu restreint- pendant que notre adresse extérieure aura été défaillante. R.J. Barrett n’aura rentré qu’un tir de loin sur ses neuf tentatives, notamment… Mais quel duel entre les deux équipes d’expansion qui tissent là les débuts d’une rivalité à même de s’étirer dans les années futures ? Il reste une dernière marche à gravir et les deux équipes tenteront de le faire sur le territoire canadien…

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Game 7 :

SHARKS @ BADGERS : 107 – 116

• Luka Doncic, 38 points, 11 rebonds, 13 passes, 3 interceptions, 1 contre
• R.J. Barrett, 20 points, 12 rebonds, 6 passes, 2 interceptions, 1 contre
• Jimmy Fowlkes, 17 points, 5 rebonds, 3 passes
• Dejounte Murray, 12 points, 6 rebonds, 11 passes, 4 interceptions, 2 contres

Dans un match survolé par un Luka Doncic sublime, l’équipe arrache sa qualification pour les finales NBA pour la seconde saison de suite lors d’un Game 7. C’est la première fois de la série que Trae Young tourne à moins de 25 points pour magnifier une prestation défensive complète de Dejounte Murray sur la série. Ça devait être plus simple sur le papier mais ce fut, encore une fois, des finales de conférences épiques pour un collectif plus soudé que jamais dans la perspective d’aller chercher ce titre NBA comme point d’exclamation sur l’aventure de ce groupe amené à exploser dès la prochaine intersaison…

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NBA Playoffs 2024 :

A l’Ouest, les Rockets les Clippers se sont livré une bataille incroyable finalement remportée par les Angelinos sur un dernier tir de Kawhi ! Pas de revanche féroce contre Houston donc, mais le défi du Big Three Kawhi Leonard, Paul George et Zion Williamson dans une production qui n’a rien à envier aux plus gros blockbusters Holywoodiens. Let the games begin !

Memories and mountain tops, Drunk on Sunset Boulevard, With the city of angels singing on !

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[douante]

Détails

[Potaval]

Le rendez-vous manqué de l’an dernier dans toutes les têtes, l’équipe s’avance donc vers ses deuxièmes finales NBA avec la ferme intention de faire main basse sur le titre cette fois-ci. Plutôt qu’une revanche explosive face aux Rockets, l’histoire nous offre une opposition tout aussi ardue avec des Clippers dorénavant emmenés par Dwayne Casey.

Emmenés par du Big Three toujours aussi impressionnant, les californiens ont terminé la saison régulière avec un bilan de 53-29 qui les a placé à la troisième place de la Conférence Ouest. Ils ont fait parler tout leur talent et toute leur expérience pour remporter deux séries à l’extérieur lors de Matchs 7 où Kawhi Leonard a rappelé à tout le monde à quel point il était un joueur aussi incroyable que Clutch !

Parlons un peu de l’ancien Spurs qui a vu son rôle évoluer depuis le titre de 2021 des Clippers. Longtemps Mâle Alpha du dense collectif des Clippers, quelques blessures l’ont forcé à passer la main alors qu’il reste toujours un défenseur d’Elite et un attaquant redoutable (20.4 points, 5.6 rebonds, 6.3 passes, 1.8 interception, 0.7 contres cette saison). L’héritier -dans un autre registre- se nomme Zion Williamson, premier choix des Clippers lors de la Draft 2019, et ce n’est pas peu dire que le garçon est un des meilleurs joueurs du monde désormais. Sa ligne de statistique parle pour elle-même : 25.7 points, 13.6 rebonds, 3.7 passes, 1.4 interception et 2.5 contres en moyenne cette saison ! C’est désormais le Leader des Californiens épaule de Kawhi et d’un Paul George toujours présent (14.5 points, 3.9 rebonds, 2.4 passes, 1.4 interception) bien que régulièrement blessé lors des dernières saisons.

Autour du trio, d’excellent joueurs se sont également développés pour former ce qui ressembler à une formidable armée ! Georgios Papagiannis et Will Snow (31ème choix de la 2021 en provenance de Baylor) tournent avec Zion sur les postes 4 et 5 en apportant plus de 20 points, 15 rebonds et 2 contres en moyenne ! Beaucoup de vétérans se sont rendus dans la cité des anges pour espérer décrocher une bague et l’on retrouve sur le banc l’expérience comme le talent de Delon Wright, Cody Zeller, Iman Shumpert et Miles Bridges. Reste le poste de meneur qui a été une faiblesse lors des dernières saison mais qui illustre, désormais, la capacité des floridiens à bien drafter comme excellement développer des jeunes joueurs à l’image d’un Montrezl Harrell en son temps. C’est donc Ky Bowman (15.1 points, 3.0 rebonds, 8.7 passes, 1.5 interception) qui mène le jeu des Clippers, lui l’Undrafted de Boston College arrivé dans la Grande Ligue il y a deux saisons.

Globalement, l’équipe de Los Angeles ne présente pas de faiblesse évidente et peut se reposer sur la meilleur défense statistique de la ligue ! Lors de la saison régulière, chaque équipe a remporté son match à domicile dans des rencontres serrées autour de la barre des 110 points. Ces finales ont donc tout du spectacle alléchant en perspective !

On a beau sortir d’une série en sept matchs, on termine de resserrer les rotations pour cette finale en n’impliquant pleinement que 9 joueurs. Les remplaçants voient leurs minutes se réduire au maximum alors que nos stars Luka et R.J. vont passer plus de 40 minutes sur le parquet pour essayer de prendre le meilleur sur le duo P.G. / Kawhi ! L’opposition direct sent la poudre. C’est illusoire de se dire l’on va arriver à arrêter Zion mais on va faire tout notre possible pour le diminuer en lui imposant un marquage serré par Jens et Matyas pendant que Dejounte tâchera de diminuer les qualités de passeur de son adversaire direct. Le roster est là et tout aussi talentueux que celui de nos adversaires. A nous d’aller cherche ce titre que l’on a manqué de peu la saison passée… !

Game 1 :

CLIPPERS @ BADGERS : 128 – 138

• Luka Doncic, 54 points, 6 rebonds, 7 passes, 3 interceptions, 3 contres
• Matyas Kaffka, 18 points, 3 rebonds, 8 passes, 2 interceptions, 2 contres
• R.J. Barrett, 17 points, 2 rebonds, 4 passes, 3 interceptions
• Jens Meier, 14 points, 12 rebonds, 2 passes, 1 contre

Eclipsé par Trae Young lors du tour précédent, Luka Doncic n’a pas tardé à marquer ces finales de son empreinte malgré la défense d’un Paul George dépassé sur la partie. Dans son sillage, le 5 majeur a fait front face aux 35 points de Zion pour une victoire décidée dans le dernier quart-temps. La campagne commence idéalement à domicile avec un Kawhi éteint par la très grosse défense d’R.J. Barrett sur le maitre. Réaction attendue des Clippers, évidemment…

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Game 2 :

CLIPPERS @ BADGERS : 121 – 123

• Luka Doncic, 34 points, 15 rebonds,11 passes, 1 interception, 2 contres
• R.J. Barrett, 21 points, 7 rebonds, 9 passes, 1 interception, 2 contres
• Matyas Kaffka, 21 points, 12 rebonds, 4 passes
• Dejounte Murray, 15 points, 9 rebonds, 6 passes, 3 interceptions

Dans le sillage du triple double de Luka, l’équipe a pris feu à trois points (56% !!!) pour répondre à l’adresse intérieure incroyable de nos adversaires toujours emmenés par un Zion à plus de 30 points. Kawhi est toujours sous cloche alors que Paul George est complétement dépassé dans son duel face à notre prodige slovène. Les Clippers doivent leur résistance à l’apport de leur banc au scoring quand le nôtre est en difficulté. Pour l’instant, la confrontation n’est en rien défensive et l’on va voir si la tendance se poursuit loin du Canada !

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Game 3 :

BADGERS @ CLIPPERS : 110 – 117

• R.J. Barrett, 27 points, 7 rebonds, 13 passes, 2 interceptions
• Luka Doncic, 20 points, 7 rebonds, 7 passes, 1 interception
• Jens Meier, 18 points, 7 rebonds
• Matyas Kaffka, 16 points, 5 rebonds, 3 passes, 1 interception, 1 contre

Dans un Staples Center tout acquis à la cause des Angelinos, Kawhi a mené la révolte en survolant les débats alors que Zion continuait de marcher sur notre raquette avec une facilité déconcertante. Très (trop ?) peu de points en sortie de banc pour des remplaçants qui n’ont pas vraiment le temps de se mettre en rythme mais difficile de changer de stratégie avec un 5 majeur aussi flamboyant. On savait que ce ne serait pas facile et qu’il faudrait tout donner pour triompher de cet adversaire-là !

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Game 4 :

BADGERS @ CLIPPERS : 113 – 112

• Luka Doncic, 33 points, 7 rebonds, passes, 1 contre, 1 interception
• R.J. Barrett, 21 points, 5 rebonds, 8 passes, 4 interceptions, 1 contre
• Dejounte Murray, 16 points, 5 rebonds, 6 passes, 4 interceptions
• Matyas Kaffka, 16 points, 7 rebonds, 4 passes, 1 interception, 2 contres

Dans un match âpre et haché, l’équipe arrache la victoire au buzzer d’un dernier tir incroyable de Luka pourtant suivi par Kawhi sur toute l’action ! Possiblement plus émoussés que nous à la vue de leur parcours, les Clippers craquent donc à la toute fin sur leur parquet alors que nous nous sommes rendu coup pour coup sur toute la rencontre. De retour au Canada, l’on éprouve la première d’une de nos trois chances pour enfin soulever le titre alors que les Clippers sont toujours aussi décider à nous barrer la route.

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Game 5 :

CLIPPERS @ BADGERS : 101 – 102

• Luka Doncic, 31 points, 11 rebonds, 7 passes, 2 interceptions
• R.J. Barrett, 22 points, 9 rebonds, 3 passes, 3 interceptions
• Jens Meier, 21 points, 6 rebonds, 3 passes, 2 interceptions, 1 contre
• Dejounte Murray, 15 points, 14 rebonds, 12 passes, 1 interception

Voilà… Dans un match défensif incroyable poussé en prolongation, l’équipe résiste à un dernier assaut de la bande à Zion pour s’emparer de la victoire et décrocher le premier titre de son histoire ! Leader incroyable sur toute la série, Luka hérite logiquement du titre d’MVP des Finals et soulève le titre dans une salle qui exulte. C’est l’aboutissement d’un travail de construction par la Draft d’où nous avons accueilli 4 des 5 joueurs de notre 5 majeur. Le point d’exclamation pour une franchise jeune qui voit doucement se fermer sa fenêtre avec les fins de contrat de Dejounte, Jimmy et Rudy. Mais pour le moment, place à la liesse : nous sommes champions NBA !

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Game 6 :

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Game 7 :

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[ElKun]

@Potaval

apportant plus de 0 points

Pas mal comme stat ça

Félicitations

[Potaval]

C’est corrigé Mon clavier fait un peu des siennes avec les chiffres, mon mauvais

Plus globalement, merci à tout le monde pour les likes et les réponses tout au long de l’aventure ! C’est la première fois que j’arrive à terminer un objectif dans une de mes narrations -je t’avais prévenu @RilletteDuQuintal !- et maintenant je sais pas trop quoi faire…

Est-ce que je continu au fil de l’eau en condensant plus les résumé (Pré-saison, Saison, Playoffs ?) un peu sur le format de ce que fait Val en NFL pour voir comment tout ça évolue ou bien c’est pas la peine de s’entêter et on part sur d’autres histoires à raconter (j’ai quelques vielles idées échangées avec @Tyler à ce sujet )

Je suis preneur de vos avis, même de votre ressenti rapport à tout ce qui s’est passé dans cette aventure commencée l’an dernier mine de rien

Et, quoi qu’il en soit, pour l’éternité :

[Tyler]

@Potaval

NFL pour voir comment tout ça évolue ou bien c’est pas la peine de s’entêter et on part sur d’autres histoires à raconter

Ceci pour moi.

[Androquest]

Idem !

[Potaval]

Merci les mecs

Mais… Je suis probablement un peu con parce que j’ai pas vraiment compris ce que vous proposiez en relisant la quote

[Tyler]

@Potaval

on part sur d’autres histoires à raconter

Ceci pour moi.