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Je me rĂ©gale devant Shƍgun.

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J’ai regardĂ© le premier Ă©pisode ! TrĂšs trĂšs bonne sĂ©rie.

J’etais maxi hypĂ© Ă  la bande annonce. Si tu confirmes je vais sauter dessus!

J’ai fait l’erreur de regarder les 2 premiers Ă©pisodes et maintenant j’attends comme un c**


Source: le parisien

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Source: télérama

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Source: l’Equipe

Jean-Xavier de Lestrade : “Nous sommes prĂȘts, collectivement, Ă  voir une fiction sur le Bataclan”


Le scĂ©nariste et rĂ©alisateur de “Sambre” et “LaĂ«titia” prĂ©pare une sĂ©rie sur les attentats du 13 novembre 2015. PrĂ©sent ce dimanche au festival SĂ©ries Mania, Ă  Lille, il nous dĂ©voile les grandes lignes de son projet.

En trente ans de carriĂšre, Jean-Xavier de Lestrade n’a cessĂ© de se confronter au rĂ©el, d’abord dans des documentaires multirĂ©compensĂ©s comme Un coupable idĂ©al (Oscar en 2002) et Soupçons (2004-2018), puis dans des fictions trĂšs documentĂ©es comme 3 × Manon (2014), LaĂ«titia (2019) ou Sambre (2023). Il termine ces jours-ci l’écriture d’une nouvelle sĂ©rie pour France 2, provisoirement intitulĂ©e Des vivants, inspirĂ©e des attentats du Bataclan de novembre 2015 et d’un groupe de survivants. Un sujet dĂ©licat, qu’il approche Ă  nouveau avec un grand souci de rĂ©alisme et l’envie, Ă  travers la fiction, de susciter une rĂ©flexion collective. Il nous en dit plus, Ă  l’occasion d’une confĂ©rence sur les liens entre documentaire et fiction donnĂ©e ce dimanche au festival SĂ©ries Mania.

De quoi parle plus précisément cette série sur les attentats du Bataclan ?
Elle met en scĂšne sept survivants des attaques, qui ont Ă©tĂ© retenus en otage au premier Ă©tage de la salle, dans un petit couloir, pendant plus de deux heures. Ce sont les seules personnes qui ont eu, pendant cette nuit du 13 novembre, un contact et des Ă©changes avec les terroristes. La sĂ©rie couvre une pĂ©riode de sept ans, des attentats au lendemain du procĂšs, en juin 2022. Pendant tout ce temps, ces « potages » (pour « potes » et « otages », le nom qu’ils se sont donnĂ©) se retrouvent une ou deux fois par mois pour dĂźner et construire ensemble une mĂ©moire collective de cette nuit.

Comment avez-vous conçu cette histoire ?
Avec Antoine Lacomblez, mon coscĂ©nariste [et partenaire d’écriture sur la plupart de ses projets de fiction, ndlr], nous avons longuement rencontrĂ© ces sept personnes. Le point de dĂ©part du scĂ©nario de la sĂ©rie, c’est leur rĂ©cit, sans fioritures. Nous ne travaillons avec aucun autre document que leur vie et la façon dont ils la racontent. Nous conservons mĂȘme leurs vrais prĂ©noms. Mais notre mĂ©tier, c’est de transcender ce matĂ©riau pour y trouver un sens plus profond. Quand ces tĂ©moins regarderont la sĂ©rie, je veux qu’ils ne se sentent pas trahis, mais idĂ©alement qu’ils dĂ©couvrent aussi une vĂ©ritĂ© sur eux-mĂȘmes
 C’est l’objectif de la maĂŻeutique fictionnelle, un travail presque psychanalytique : aider Ă  ordonner le rĂ©el et Ă  mettre du sens dans quelque chose qui a l’air absurde.

Vos sĂ©ries sont toujours porteuses d’une rĂ©flexion sociĂ©tale. Quelle est-elle ici ?
Le 13 novembre est un drame Ă  la fois intime et collectif. C’est toute une nation, la RĂ©publique, pour employer de grands mots, qui a Ă©tĂ© agressĂ©e. Qu’est-ce qu’on met en place pour apporter rĂ©paration Ă  celles et ceux qui ont Ă©tĂ© victimes de cette attaque ? La sĂ©rie met en scĂšne des trajectoires intimes, mais questionne aussi la façon dont notre pays s’occupe de ses victimes. C’est pour ça qu’il est important que l’on montre aussi ce procĂšs de plus de neuf mois organisĂ© par la RĂ©publique, symbolique des moyens que l’on met pour que justice soit faite.

Vous ĂȘtes-vous demandĂ© s’il n’était pas trop tĂŽt pour rĂ©aliser une sĂ©rie sur un sujet si sensible ?
La sĂ©rie sera vraisemblablement diffusĂ©e sur France 2 en novembre 2025. Ça fera dix ans. Je crois que cela nous donne assez de recul. Symboliquement, la plus grande association de victimes des attaques du 13 novembre, Life for Paris, va s’autodissoudre Ă  cette date. Nous sommes prĂȘts, collectivement, Ă  voir un rĂ©cit fictionnel sur le Bataclan. Il existe des documentaires, mais pas encore de sĂ©rie sur les victimes. L’heure de la fiction est venue. Elle contribue Ă  construire un imaginaire, Ă  faire rĂ©cit commun. C’est important d’y venir.

Avez-vous déjà réfléchi à ce que votre série pourra concrÚtement montrer des attaques ?
Il est hors de question de mettre en scĂšne la fosse du Bataclan. Jamais on ne verra des victimes se faire abattre. C’est infilmable. Les sĂ©quences de la prise d’otages se dĂ©roulent aprĂšs l’essentiel des coups de feu. Mais il faut malgrĂ© tout montrer la barbarie Ă  l’Ɠuvre. C’était dĂ©jĂ  un des enjeux du procĂšs. Pendant toute sa premiĂšre partie, le prĂ©sident du tribunal ne voulait montrer aucune photo, aucune image, ne faire Ă©couter aucun son. Les victimes ont in fine exigĂ© de le faire pour tĂ©moigner de l’horreur. À force de la masquer, on finit par l’oublier
 Il y a un Ă©quilibre trĂšs dĂ©licat Ă  trouver. Nous avons Ă©crit des scĂšnes oĂč l’on voit les terroristes mettre en joue les otages, les menacer, les frapper, faire preuve d’une violence extrĂȘme. Comment vais-je les filmer ? C’est une question qui sera au cƓur de mon travail de rĂ©alisation


Source: télérama

AnnulĂ©e il y a 14 mois par TNT, la saison 4 de Snowpiercer, qui sera la derniĂšre saison donc, sera diffusĂ©e au dĂ©but de l’annĂ©e 2025 sur AMC.

Du coup, @max a retrouvé du travail !

Le tacle :sob:

Faut une sacrée force pour lancer Max. :sac:

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Et encore j’ai perdu poids

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J’en suis Ă  6 episodes sur 8 de Constellation. Toujours interessant mais hĂąte de finir, je comprends pas l’interet d’avoir fait 8 episodes pour l’instant, tout Ă  l’air d’avoir Ă©tĂ© devinĂ© asez vite :/

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Source: le parisien