Je m’y suis mis l’air de rien, pour patienter entre les épisodes de Westworld.
Réalisation : parfait. Impeccable. Tout est soigné. Certains plans sont magnifiques (je pèse mes mots).
Rythme : c’est lent sans l’être. Le rythme est très maîtrisé, on ne se fait jamais chier. Pas de scène imbitable, pas de contemplation dégueulasse, pas de « je filme d’une main, je me tripote de l’autre ». C’est pas lent au début et ça pète ensuite. C’est cohérent. Y’a juste ce qu’il faut quand il faut.
Acteurs : Jude Law est parfait et j’adore Silvio Orlando. Globalement, c’est très bon.
Histoire : c’est pas un House of Cards de la religion. C’est juste l’histoire d’un jeune pape conservateur qui se fait élire.
Musique : je crois que c’est ce que je préfère la série. Ca me fout vraiment sur le cul. Du générique de départ (Jimmy Hendrix remixé) qu’on peut regarder à l’infini, jusqu’à certains délires (I’m sexy and I know it quand il s’habille ).
Si je devais la comparer, je la comparerais à Rectify, pour sa beauté. J’ai pas d’autre terme. C’est une belle série.
Rien à voir au niveau de l’histoire, du côté dramatique, mais quand je la regarde, ça me fait le même effet.
D’ailleurs, si @Steven n’a pas encore jeté un oeil à cette série, je serais prêt à parier un cheveu roux de @Tyler qu’il aimerait.
Mention spéciale pour les 10 dernières minutes de l’épisode 8, qui m’ont presque fait autant d’effet que les 10 dernières minutes de la saison 1 de Rectify (presque, faut pas déconner).
Série à voir. Vraiment.