Comme le dit @Tyler les gens ne sont pas cons et ont été formés.
Le mieux ça serait que ça n’ait jamais existé
Ah oui ça j’en doute pas qu’ils ne leur ont pas juste filé les clefs la veille, mais c’est un sport très particulier pratiqué par des pros qui font ça depuis des années. J’irai pas au premier rang en tous cas !
Sur les 2 premiers GP il y a un seul vrai accident donc il n’y a pas eu énormément de casse matériel
Les voitures sont bridés à 80%, les commissaires + mécano sont des pros, et il y a pas mal d’entraînement
C’est moins dangereux qu’un mec blindé qui se lance tout seul je pense
D’ailleurs la présence de Squeezie a Singap dans le stand Alpine montre l’importance qu’a pris cet évent, incroyable
Le mec part de video dans ses chambres pour organiser des évents à 60k personne, c’est comme Inoxtag qui est maintenant sponso Nike pour l’Everest
Et les f1 de 2012 pour un passionné comme moi, c’était juste le meilleur cadeau possible
Pourquoi?
Je dirais que ramener 60 000 personnes pour faire tourner des voitures en rond c’est pas assez écolo
Ou alors pour la sauce que la fille qui a fait l’accrochage s’est prise mais je pense pas
Encore une victoire du wokisme
oh bah merde alors les retraités et proche de la retraite seraient la cible principale de Cnews
Le trafic de drogues n’épargne plus campagnes et villes moyennes. Frédéric Ploquin et Julien Johan dévoilent les ressorts d’une expansion récente, difficile à endiguer. Une enquête saisissante.
Un policier revient sur les lieux d’une opération dans la Beauce, près d’une grange où était cultivé du cannabis.
L‘année 2023 détient déjà un triste record : celui du nombre d’homicides liés au trafic de drogue. Autrefois cantonnés aux banlieues et quartiers déshérités des grandes agglomérations, les règlements de compte par arme à feu frappent désormais dans les rues des villes moyennes. Dreux, Vierzon, Châteauroux, Blois, Rennes : les exemples ne manquent pas dans l’édifiante enquête menée par Frédéric Ploquin, journaliste spécialiste du banditisme et de la police, et Julien Johan. Leur documentaire, La drogue est dans le pré, diffusé sur France 5, met en lumière les ressorts souterrains d’une déferlante sans précédent sur l’ensemble du territoire national : « Les trafiquants raisonnent comme de bons capitalistes. Ils ne restent pas sur leurs acquis : depuis une dizaine d’années environ, le marché des grandes villes est saturé, observe Frédéric Ploquin, alors ils ont changé leur business plan et sont partis à la conquête de nouveaux territoires. »
Fin observateur des milieux criminels depuis une trentaine d’années, le journaliste met à profit son épais carnet d’adresses pour entrecroiser les témoignages éclairants de policiers, de gendarmes, de magistrats mais aussi d’une poignée de trafiquants particulièrement loquaces. Le film dessine ainsi la nouvelle cartographie d’un marché parallèle qui trouve ses appuis logistiques dans les territoires isolés, et brouille les pistes en naviguant entre les zones de compétence de la gendarmerie et de la police. Cette implantation dans les régions rurales marque un changement de paradigme : c’est désormais le dealer qui va au client.
Au tournant des années 2020, une autre évolution majeure a contribué à « hystériser le marché », constate Frédéric Ploquin : « Les autorités ont mis du temps à comprendre pourquoi et comment les zones rurales étaient inondées de cocaïne. Pour l’expliquer, nous avons remonté la filière guyanaise jusqu’à la frontière avec le Suriname, à Saint-Laurent-du-Maroni. Poussés par la misère sociale, des jeunes gens sont venus au trafic car ils avaient accès à un produit de meilleure qualité, abondant et moins cher. Les petites mafias de métropole ont vu d’un mauvais œil l’arrivée de cette concurrence. Et cela a généré des vagues de violences inédites. »
Impossible de saisir l’ampleur du phénomène sans tourner la focale vers la masse toujours plus grande des consommateurs. Au constat géographique et économique dressé par La drogue est dans le pré se greffe une alarmante réalité sociétale : « Si la France est aujourd’hui un des eldorados de la drogue, poursuit le journaliste, c’est qu’il existe un terrain favorable aux addictions dans ce pays détenteur de records en matière de consommation de neuroleptiques. » Longtemps considérée comme la drogue des élites, de la jet-set et du show-business, la cocaïne s’est largement popularisée.
Au-delà du palmarès des saisies impressionnantes, et des images chocs, La drogue est dans le pré peut être vu comme un amer bilan de la guerre menée depuis quarante ans contre le trafic de stupéfiants. Méthodes de plus en plus brutales, mannes financières intarissables, capacités d’adaptation… Les puissantes organisations internationales qui contrôlent les filières semblent avoir toujours un coup d’avance. De quoi relativiser l’impact des mesures récentes annoncées par le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, parmi lesquelles la création d’une « unité d’investigation nationale ». « L’objectif est surtout d’éteindre les feux médiatiques. Pour les policiers, le lancement d’une telle unité est incompréhensible car il existe déjà un office anti-stupéfiants (Ofast) créé il y a trois ans dans le but de coordonner toutes les énergies disponibles. Et promettre une action “rapide” n’a aucun sens : démanteler un trafic de stupéfiants demande du temps. »
La drogue est dans le pré, documentaire de Frédéric Ploquin et Julien Johan, dimanche 1er octobre à 21.05 sur France 5.
C’est un délire connu mais bordel que c’est mal exécuté c’est triste
C’est son style de faire le débile malaisant, donc dans un sens c’est très bien exécuté
https://x.com/theo_audace/status/1709643130398474261?s=20
Ça partait bien au départ mais franchement essayer de gratter une invitation à TPMP après avoir troll l’émission il a pas de face en fait…
Il cherche juste le buzz à tout prix et du coup finalement il est plutôt raccord avec l’émission.
C’est un plagieur notoire, il vole beaucoup de concepts à des américains. Pas de pitié pour les guignols comme ça.