Haha t’inquietes avec la saison des Flyers on est dans le meme bateau !!
Content d’avoir des nouvelles en tout cas !
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Moi j’aimerais savoir où tu es rendu dans ta partie avec Aston Villa sur FM 2016 
Vous aurez la réponse dans un an 
Julian et son taff - chapitre 39
Pour rappel, fin novembre/début décembre l’une de mes cheffes m’avait appelé et m’avait en gros expliqué qu’un retour à mon ancien poste était possible. Parce que j’avais pas l’air motivé à faire les permanences le WE (j’en ai jamais fait déplacer ou loupé une) et que j’avais demandé à échanger juste mon 24 décembre (j’avais finalement bossé, une jeune s’était suicidée le matin, j’avais fini à 19h, super journée).
Bref, du coup j’avais hésité, parce que ce taff ne me plait pas et que je me disais que ça valait pas le coup de me tuer à la tâche pour quelques centaines de CHF. Finalement, après discussion avec ma copine, vu qu’en ce moment ça se passe plutôt bien, j’ai que des retours positifs des Procureurs, je me suis dit que j’allais continuer jusqu’à mon congé paternité non rémunéré du mois de mai, puis que j’irai voir ailleurs ensuite, mais à un poste de ma classe actuelle, si possible à 80%.
Entre temps, j’ai eu le COVID et mon intervention pour retirer mes 39 polypes, soit quasiment trois semaines d’arrêts. Juste avant mon intervention, soit lundi dernier, l’autre chef de secteur me dit dans les couloirs « t’as pu parler avec Jean-Marc (le chef de mon ancien secteur)? ». Je réponds que non, mais que j’ai changé d’avis. Il m’écoute à moitié et redit « tu devrais le faire, je t’y encourage fortement en tout cas! ». Avec un petit sourire et il m’a laissé. Je suis resté un peu sur le cul, c’était quoi cette façon à peine voilée de me dire « tu devrais te barrer »?
Bref, je laisse couler, j’ai mon intervention, je suis out une semaine, je reviens hier. Hier aprèm, la première cheffe qui m’avait parlé me fait revenir dans son bureau. « T’as pu réfléchir du coup? Tu as parlé à Jean-Marc? ».
Bon, autant vous dire tout de suite, j’ai bien compris qu’on voulait me pousser vers la sortie, sauf que la raison c’est mes soucis de santé + congé paternité, et qu’ils ont pas le droit. Du coup j’ai répondu tranquillement que j’avais bien réfléchi et que je continuais. J’ai vu tout de suite que c’est pas la réponse qu’elle espérait
Du coup elle m’a dit "ah ok. Bon, sache si jamais que la fin de ta période probatoire (je savais même pas que j’étais en période probatoire puisque je suis nommé depuis plus d’un an, mais comme j’ai changé de poste…) va être repoussée. Ca devait être juin mais ce sera la fin de l’année vu les absences. « Ok, pas de souci ».
Du coup je réagissais pas, donc elle en rajoute une couche « si à la fin les experts et référents estiment que ça va pas, mais y’a pas de raison hein, on devra te retrouver un poste de commis-greffier (mon ancien grade), mais ce sera pas forcément ici par contre à ce moment-là… ». « Ok, pas de souci, je comprends ».
Grosse déception pour elle de ne pas me voir réagir du tout je pense, j’ai pas bronché
Derrière je profite pour lui poser une question sur mon congé paternité non rémunéré, et là : « Ah non mais on te l’a pas validé ».
Là j’ai fait un ENORME effort pour prendre sur moi. Vous me connaissez à force, mais j’ai du mal à pas réagir quand un truc me plait pas. 
Je lui dis que oui, qu’elle m’a validé le tout et qu’elle l’a confirmé par e-mail. Que je n’avais plus qu’à envoyer un formulaire pour que tout soit en ordre administrativement. « Ouais mais tu l’as pas envoyé ». Oui, parce qu’elle m’avait dit qu’il n’y avait aucune urgence. Et elle reprend « non mais moi j’avais validé le congé rémunéré que t’as pris, pas l’autre, l’autre c’est un congé parental supplémentaire. Regarde, congé paternité article 65 du règlement, congé parental article 66, l’employeur n’a pas l’obligation d’accéder à la demande ».
Du coup c’était trop « Non, il s’agit du congé paternité. Article 65, alinéa 3 du règlement. L’employé est en droit de réclamer quatre semaines consécutives dans l’année qui suit la naissance de l’enfant. Et tu me l’a validé par e-mail le 15 octobre 2021 ».
Bref, elle a fini par me dire « ouais bah alors donne-moi rapidement le formulaire parce que normalement c’est trois mois à l’avance ». Cinq minutes après, c’était sur son bureau, signé, avec une copie de son mail validant ma demande. « Ah t’as fait vite », bah oui, je vais pas encore te laisser une chance de faire trainer le truc.
Bref, tout cela pour dire que j’ai très bien compris qu’ils veulent se débarrasser de moi, sauf que professionnellement parlant ils peuvent pas me reprocher grand chose, et que mes problèmes de santé sont la seule raison derrière, mais qu’ils n’ont absolument pas le droit de me dégager pour ça. Ils espéraient donc que j’allais me barrer de moi-même suite à leurs sous-entendus à peine voilés et bien les arranger.
Donc je vais rester, fermer ma gueule, être irréprochable dans mon taff, attendre gentiment mon congé paternité et chercher ailleurs. Par contre je sais déjà qu’on va tout faire pour me faire plier. Ca commence par le congé paternité là sur lequel elle revient, donc je sais que les futures vacances je vais jamais avoir les dates que je demanderai.
Le seul truc que j’accepterai pas, c’est si d’un coup elle me dit non pour le congé paternité du mois de mai. Là je vais vriller et aller beaucoup plus haut.
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Le groupe vit bien.
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En fait t’es le Umtiti du tribunal, ils veulent te virer mais tu t’accroches à ton rocher 
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Ça fait 5 mois (2 sous contrat 3 en formation pôle emploi) que je suis à mon taff et j’ai déjà envie de vacances. Bon déjà le fait que je sois en CDD longue durée au lieu d’un CDI ça me soûle, demain on sera que 2 en magasin avec la collègue que je supporte pas et je suis malade ça aide pas. Ça va me passer je pense mais au bout de 5 mois c’ est rapide
Ca dépend, si t’es du genre à avoir besoin de vacances plus régulièrement mais moins longue ou si t’es du genre à avoir besoin d’une seule coupure mais de 4 semaines à l’été.
Au bout de 5 mois consécutifs, c’est pas déconnant d’avoir envie de souffler un peu.
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Mignonne la collègue ? Ça part de la déjà
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Ça pourrait être ma mère
Oh, ça empêche pas 
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Et elle est pas mignonne non
Rien à foutre des collègues. Tu bosses pas pour eux, tu bosses pour toi.
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Visiblement je t’apprecierais autant au boulot que sur le topic Vie amoureuse.
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Moi je suis avec d’accord avec lui, on travaille d’abord pour soi, sinon c’est un coup à se retrouver au boulot à 7h52
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On travaille d’abord pour enrichir un patron 
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On était a Noirmoutier pour 3 jours avec Madame et la petite.
Déjà il pleuvait. Ensuite, tout était fermé. Mais sinon c’est joli. A croire qu’on s’était planté et qu’on avait atterri dans les Côtes d’Armor.
Puis par curiosité on a regardé le prix des baraques juste pour savoir.
C’est simple : entre 500 000 et 800 000€ dans les 100-130m².
Au calme 
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Putain le prix d’un 20m2
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40m² plutôt à Paris ?
À moins que ça ait fait x2 ?