🎮 Salon des gamers

[Ghoul]

Chope la démo, tu te feras une idee. En plus, il est compatible steam deck.
Je suis dessus et ça tourne bien.

[20100]

[Potaval]

Ce qui me donne de dire qu’il ont remasterisé Pharaon et que je m’en vais y perdre moult et moult heures de ce pas

[20100]

Alors ça je veux bien que tu me dises ce que tu en penses.

[Xso]

2.7 bordel

[Tyler]

Ubisoft ?
Exclu temporaire Epic ?
Utilisation frauduleuse du nom d’une franchise pour en faire autre chose ?
5 ans de « development hell » ?
Microtransactions ?

C’était pourri dans l’œuf.

[d0nald]

Instant reflexion.

Ce midi dans le bus j’entendais 2 jeuns discuter d’Hogwarts Legacy. Ils semblaient filer à l’école et ils se disaient qu’ils étaient pressés de rentrer pour jouer au jeu.
Je me suis revu dans mes plus belles années, cette époque où t’avais pas d’obligation, tu rentrais chez toi et… bah t’avais rien d’autre à foutre que jouer en fait.

Et là je me suis fais cette reflexion : Jadore Hogwarts Legacy, le jeu me hype et je prend beaucoup de plaisir dessus MAIS, suis-je pressé de terminer ma journée (de taff, de papa et de concubin ) pour me remettre sur le jeu ? Bah non en fait. Je ne saurai pas dire pourquoi, je n’ai plus cette excitation qu’ils semblaient avoir et que j’ai connu par le passé pour beaucoup de jeux. Je ne sais pas quand je l’ai eu pour la dernière fois, mais je me rend compte que je ne joue plus qu’aux jeux de la même façon que je consomme les séries.
Est-ce que certains sont dans le même cas ici ? Suis-je devenu aussi aigri qu’un Guigui lorsqu’il regarde le PSG ?

C’était la reflexion du jour

[Forza]

Perso je suis toujours aussi pressé de rentrer pour jouer des que je le peux. En parler avec des collègues qui jouent aussi est forcément un facteur qui me donne envie de jouer plus quand on compare nos avancées et découvertes.

[Julian]

Difficile à dire, car c’est aussi un phénomène que je rencontre, mais c’est d’autant plus vrai depuis la naissance de mon fils. Je pense aussi que la fatigue a un impact à ce niveau. Aujourd’hui typiquement je sais que je ne pourrai pas jouer avant 20h30-21h par exemple, le temps de s’occuper du petit puis de manger, faire la vaisselle, etc. Et qu’arrivé à cette heure, je vais avoir plus de mal à me lancer pour jouer une heure ou deux. Et j’avoue que je me vois pas lancer Hogwarts Legacy pour trente minutes.

Par contre, j’ai quand même une petite hype pour le jeu et comme l’a dit Forza, j’aurais tendance à dire que ça vient du partage. Le fait que ma copine y joue aussi fait qu’on peut partager un peu notre vécu du jeu et notre exploration.

Bon, là elle est en vacances, donc je sais que d’ici vendredi j’aurai pris 15 heures de jeu dans les dents et qu’on en sera plus du tout au même point, donc ça risque de limiter le partage

Mais en ce moment je suis dans une phase où j’ai pas mal envie de jouer et à plusieurs jeux : Hogwarts Legacy, Football Manager, Hearthstone… même une petite envie de tester la nouvelle mise à jour de Warzone II, voire un petit FIFA.

Problème, je n’ai absolument pas le temps Du coup j’alterne un peu entre tous, mais j’ai l’impression que je n’avance vraiment nul part, c’est assez frustrant

[Ghoul]

T’es un Guigui-like.

Je vois ce que tu veux dire, et ça me le fait sur certains jeux où j’ai envie de connaître la fin sans excitation particulière. Et, y’a des jeux comme Elden Ring en son temps, Scarlet Nexus, Lost Judgment, Yakuza 0, Tinykin, Like a Dragon: Ishin!, et dans une moindre mesure Sakuna et DQXI qui m’ont procuré cette excitation de se dire, vivement que je me pose pour y jouer.

Clairement, ça ne me le fait pas pour tant de jeux que ça, mais je le ressens encore.

Et tu m’offres l’opportunité de parler de 2 jeux pour lesquels je n’ai pas connu cette excitation, mais qui sont tout de mêmes très bons: Sifu et Xenoblade Chronicles 3.

Sifu: Dispo sur toutes les plate-formes. Je l’ai fait sur Switch.

Alors, c’est l’histoire d’un gars qui va venger la mort de son père. Le pitch est aussi bateau que celui des films de kung-fu des années 70 à 90… et c’est fait exprès.
C’est le jeu d’un studio français, SLOCLAP, qui rend un hommage vibrant, réel au genre, il lui témoigne tout son amour et en cela c’est absolument génial.
On parcourt 5 niveaux avec notre personnage dans lequel on va affronter des hordes d’ennemis à la manière des films en enchaînant les combos, les parades, esquives et coups spéciaux. Il s’agit donc d’un beat’em’all classique mais qui suinte le cinéma de kung-fu. Les références sont partout et à tout instant. On retrouve les codes, les clés, certaines scènes de kung-fu issues de films plus ou moins récents voire de films dont ce n’est pas le genre principal mais qui comportent certaines scènes mythiques du cinéma asiatique. Difficile d’en dire plus sans spoiler ces instants.
La particularité du système de jeu est que le personnage est quasi immortel. On décède, on recommence à l’exact endroit de sa mort… mais plus vieux.
On meurt une fois, le personnage prend un an. 2 fois, 2 ans, 3 fois 3 ans. Quand on est mort 3 fois, donc, on a déjà pris 6 ans. Ce qui fait que si l’on ne redescend pas le compteur de morts (ce qui est possible via certaines actions) chaque mort supplémentaire fait vieillir plus vite. Et vieillir impacte le gameplay. Plus on est jeune, plus on est vif et plus la jauge de vie est grande. A l’inverse, en prenant de l’âge, la barre de vie diminue mais les dégâts augmentent. Aussi, il n’est pas bon de trop vieillir même si on cogne plus dur.
Je trouve l’idée, l’hommage et le gameplay absolument génial d’inventivité et de fidélité à l’esprit de ce cinéma-là. Seul léger bémol, la difficulté. Placer les combos, esquives, parades et autres est particulièrement difficile. Ce qui fait que l’on peut rapidement enchaîner les morts contre les boss, notamment. Les mises à jour récentes ont intégrées 2 niveaux de difficultés à l’unique jusque-là, un niveau plus facile, un niveau plus difficile. Et c’est pas de trop tant c’est raide.
Dernier point, comme à l’accoutumé, la switch ne rend pas hommage au jeu. C’est poussif quand il y a un peu de monde et que les coups pleuvent. Il faut privilégier un autre support, clairement.
Pour les fans du genre, c’est un très bon jeu, et si on veut tout faire à 100% dans tous les niveaux de difficultés, cela demandera de la maîtrise, laquelle n’arrivera qu’au bout d’un paquet d’essais et de tentatives diverses de traverser les niveaux sans trop de morts.

Xenoblade Chronicles 3:
Uniquement dispo sur Switch.

Ca raconte l’histoire de copains qui sont nés dans un monde dans lequel ils ne vivent que pour une chose, la guerre, et pour une durée limitée, 10 cycles d’un an.
Bref, un monde idyllique. Et lorsqu’ils affrontent 3 membres d’une autre colonie et qu’ils font la rencontre d’un gars un peu chelou qui permet à ces 6 là de s’émanciper de cette contrainte de 10 cycles de vie, leur vie, justement, bascule et ils se mettent en quête de permettre à tout à chacun de s’affranchir de ces fameux cycles de vie. Mais cela ne se fera pas sans mal et sans révéler tout ce que cela implique, en réalité.

L’histoire est très bien écrite, comme un bon JRPG qui se respecte. Le système de combat est spécifique à la saga. Le personnage attaque automatiquement et le joueur appui, à certaines occasions, sur certaines touches pour activer d’autres attaques que les attaques automatiques. L’évolution de l’histoire permet d’intégrer d’autres gameplay qui rendent les combos et la tactique intéressante.
Comme tout bon JRPG, il existe un système de classes. Chaque personnage en possède une au départ. Il est loisible au joueur d’affecter un personnage à n’importe quelle classe. La rencontre de « héros » va permettre de débloquer de nouvelles classes que l’on pourra attribuer à un personnage qui, une fois qu’il l’aura appréhender totalement (c’est à dire atteindre le niveau 10 de la classe) permettra à un ou plusieurs autres personnages d’accéder à cette classe, et ainsi de suite. En somme, on peut avoir tous les personnages familiers au niveau 10 de toutes les classes dispos, si tant est qu’on prend le temps d’utiliser ces classes.
Il existe ainsi 3 grandes catégories de classes et une multitude de sous-classes. Ainsi, les persos peuvent être soit des soigneurs, soit des protecteurs, qui vont trigger l’ennemi pour qu’il se focalise sur eux pendant que les attaquants, la dernière grande catégorie, défoncent l’ennemi. Ensuite, il existe un paquet (30 de mémoire, peut-être plus) de sous-classes dans ces grandes catégories.
L’idée étant de construire une équipe de 6 équilibrée entre les attaquants, les protecteurs et les soigneurs.
Pour leurs attaques, chacun dispose d’arts, comprendre d’attaques avancées, qu’il faut débloquer et soigneusement choisir selon l’adversaire et le style de jeu et la classe affectée au personnage.
S’ensuit tout un système de gemmes (20 de mémoire, chacune pouvant aller jusqu’au niveau 10) que l’on fabrique et qui donnent des bonus aux personnages (plus de PV, plus d’attaque, etc…) que l’on affecte à chaque perso.
Bref, il y a un nombre conséquent de combinaisons possibles avec des effets différents que l’on peut adapter facilement à chaque combat. En effet, plusieurs emplacements de sauvegarde de la composition d’équipe sont prévus pour alterner facilement entre les compositions selon si l’on se bat en intérieur, en extérieur, contre un humain ou un animal, etc, etc…
Enfin, si cela n’est pas suffisant, il y a la possibilité de cuisiner pour obtenir des bonus (plus de loot, de meilleur qualité, des boosts d’xp, parfois un peu de tout ça réunis, etc…). Ce qui va permettre de pouvoir fabriquer plus de gemmes, de repas, de débloquer des compétences, de pouvoir affecter davantage de gemme sur un même personnage, etc, etc…
Si on veut explorer ce système à fond, il faut un temps certain pour maîtriser l’ensemble du système de jeu sur le bout des doigts. Mais, sans cela, on arrive malgré tout à aller au bout de l’histoire et prendre du plaisir.
D’ailleurs, pour aller au terme, en tout droit et quelques explorations ça et là, j’ai mis 81 heures pour en venir à bout. Et l’expression est sans doute adaptée. En effet, au 3/4 du jeu, l’histoire prend une tournure particulière, on comprend mieux l’enjeu et les personnages le comprennent mieux aussi. Mais cela se passe dans un tunnel de cinématiques. Et comme tout tunnel, y’a un moment où on a l’impression de ne pas en voir le bout. C’était intéressant, mais la phase était trop longue pour ne pas souler. Ce qui a cassé considérablement le rythme du jeu, même si la narration a pris une tournure importante. Cela a, légèrement, gâché le plaisir sur la fin du jeu qui, déjà, est particulièrement long.

Pour conclure, j’ai quand même beaucoup aimé, mais je sais que je ne le referai pas car je connais le dénouement, et c’est une part importante de l’intérêt de l’intrigue, que c’est beaucoup trop long pour se le refaire en chill total et le tunnel de cinématique va me souler grave… à moins de zapper les cinématiques et de se concentrer que sur les quêtes annexes qui présentent un intérêt réel, elles se focalisent sur la vie, l’histoire de chacun des persos du jeu, donc permettent de mieux comprendre leurs attitudes, leurs rôles etc…

[Guigui]

@d0nald

Suis-je devenu aussi aigri qu’un Guigui lorsqu’il regarde le PSG ?

Etant donné que je ne regarde plus le PSG

Sinon je joue beaucoup mais vraiment beaucoup moins qu’avant.
J’ai pas touché FM depuis le 2020 il me semble, j’ai pas touché à Diablo 3 depuis plus de 3 ans, j’ai eu God Of War pour noel et FF 7 Crisis Core pour mon anniversaire, j’ai lancé God Of War pas plus tard que ce week-end et j’ai à peine joué 1h.
Vie couple, vie de papa + la fatigue font que jouer est plus compliqué. Quand le petit sera plus en âge d’être autonome pour jouer je serai plus tranquille… ou pas.

[d0nald]

Tu as fais les anciens Xeno ? Je ne me souviens plus.
Justement je viens de relancer Xeno2 (ma Switch me manque) en basculant le jeu en mode easy. Pourquoi ? Car ce jeu je l’adore, il a de nombreuses qualités mais un facheux défaut selon moi : les combats. Ils sont lonnnnnnngs et chiaaannnnnts.
Et un ami m’a conseillé récemment de passer le jeu en facile, pour avoir des combats bien plus rapides. Le problème c’est que ça perd l’intérêt du challenge et de bien stuff ses personnages, le point positif c’est que je n’ai plus le temps de faire une sieste pendant un combat contre une chauve souris.

[Ghoul]

J’avais commencé Xeno 2 et j’avais beaucoup aimé le début de l’histoire, la manière dont tout cela est raconté et tout mais les combats m’avaient littéralement refroidis. A tel point que j’avais revendu le jeu… et que j’envisages de le racheter maintenant ( )

Pour Xeno 3, j’ai passé les combats en full automatique. Ils ne le sont pas quand tu te tapes des boss ou des ennemis d’envergure. Ce qui limite le nombre de combat à se taper à la mano. Mais on perd en interaction. J’ai passé la toute fin du jeu en facile pour accélérer le délire car au bout de 70 heures et au sortir du tunnel j’étais plus motivé par connaître la fin de l’histoire qu’à jouer au jeu lui-même.

[JohnCarew]

@Potaval

Ce qui me donne de dire qu’il ont remasterisé Pharaon et que je m’en vais y perdre moult et moult heures de ce pas

Attendez quoi, ça remasterise Pharaon et rien pour le maître de l’Olympe ? bagarre

[Potaval]

J’imagine que ça viendra

[Bnj]

Vous parlez du jeu qui était un peu dans le même style que caesar IV ?

J’avais joué des heures et des heures à ca, si c’est le cas je vais le prendre direct

[JohnCarew]

Oui c’était le même éditeur. De mémoire dans l’ordre temporel Caesar, Pharaon, Maître de l’Olympe avant de faire une suite à Caesar.
Y a peu de choses plus belles dans la vie que de terminer le sanctuaire d’un dieu grec

[Bnj]

Ohhh on achète ça ou ?

Ça tourne sur Mac ?

[20100]

[Bnj]

J’y joue depuis 1 heure et c’est exactement comme dans mes souvenirs je vois pas la diff

J’ai fais 4 missions je crois déjà là