D’un point de vue purement méta ça deboite.
Même de Vinci a peint plusieurs fois la Cene
Dans les précèdent Matrix, le « filtre » en question était majoritairement ( quand il était dans la Matrice ) un gros filtre « vert » ; Justement pour appuyer le propos.
Il y avait aussi des filtres jaune par moment ( Notamment chez la voyante je sais plus le nom exacte ).
J’ai trouvé les CGI de la BA moins bon que ceux des films originaux, mais bon, ça doit encore être en travaux. Il est pas rare de voir des effets spéciaux d’une BA pas encore finis quand celle-ci sort.
Sur la Ba, le filtre Vert n’est pas présent sans doute pour mettre en erreur le téléspectateur, savoir si Néo aka Thomas Anderson est oui ou non dans la Matrice.
Après vu la profondeur des Matrix en sous-terme etc, je ne pense vraiment pas qu’elle reviendrait sur sa licence phare pour la bâcler, du moins j’espère ^^ !
D’ailleurs je recommande fortement les vidéos de durandhal : Pourquoi j’ai raison et vous avez tord sur la filmographie des Sœurs Wachowski notamment les Matrix ! Impressionnante analyse !
Détails
Cette photo : filtre vert car dans la matrice :
et ici dans le monde véritablement vrai : pas de filtre :
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Bon le film va être lourd normalement !
Rien qu’a voir cette vidéo d’analyse de la BA par durendhal qui comme je l’ai expliqué plus haut connait très bien la franchise, on peut voir que c’est ultra poussé sur les détails !
The Matrix Resurrections (2021)
La première demi-heure du film ne m’a pas dérangé du tout. Il y a un aspect meta très prononcé mais la façon dont c’est fait m’a pas mal plu. Comme Thomas, on sent des gens fatigués. Fatigués avec la vingtaine d’années de plus, fatigués du lourd héritage du film, des références partout, tout le temps. L’appropriation de certains fans avec les analyses définitives du film sont un peu tancées aussi.
Le soucis c’est qu’après cette demi-heure, on continue les références et ça commence à fatiguer. Surtout quand on reprend des scènes en les faisant moins bien (le kung fu de Morpheus et Neo par exemple).
Ensuite, le film enchaîne un tunnel assez difficile dans le monde réel avec du blabla très technique dont on se fout un peu. On aurait pu faire sans Niobe et certains passages. J’étais en train de décrocher. Et j’étais déçu par le manque d’envergure dans l’action (le premier combat en groupe est assez triste), et même un manque d’imagination terrible.
Mais quand la mission finale se met en place, le film m’a rattrapé, et j’ai bien aimé la dernière ligne droite. La simplicité de l’objectif du film, récupérer Trinity m’allait très bien. La tension n’est pas folle au début mais ça monte doucement, et ça commence à passer un cap avec la bonne séquence en moto. Entre les pouvoirs de Neo pour écarter la menace, puis les corps qui tombent des immeubles, le reste de l’équipe aux prises avec les dizaines de figurants, j’ai retrouvé le frisson et l’originalité du film dans ce passage.
Après un début de déprimé qui ne m’a pas déplu et cette fin réussie à mon goût, la déception n’est pas là. Mais je n’oublie pas ce coeur du film qui était assez pénible.
Au niveau du cast, je ne suis pas objectif, le fait de revoir plein de sensates me fait très plaisir (pas de Bae Doona 
). Groff fait le taf en Smith, ça a été une bonne surprise, Neil Patrick Harris ne m’a pas dérangé non plus. J’ai trouvé Keanu en blasé moyen au début, mais il retrouve un peu la forme au fil des minutes. Carrie Ann Moss est au top dans ce film.
L’absence du filtre vert ne fait pas de mal, il y a des fausses notes dans certains effets, comme je l’ai dit, il n’y a pas une grosse claque comme dans la première trilogie, mais Lana nous a bien piégé en anticipant ça dans le team meeting des développeurs qui attendent une nouvelle invention, un « nouveau bullet time », pas bête !
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Un nouveau film Matrix en préparation, co-écrit et produit par Drew Goddard (Cloverfield, The Cabin in the Woods, Daredevil) et Lana
Un duo solide