🌍 ActualitĂ© et politique internationale

Si tu Ă©coutes nos mĂ©dias mainstream et les personnes apolitisĂ©es qui ont un avis sur tout, c’est pourtant une colombe blanche qui se dresse en martyr face Ă  Vladimir Poutine :hoho: Alors qu’en creusant un minimum (c’est dur dans la presse française !), il serait traitĂ© comme un dangereux extrĂȘmiste dans notre spectre politique.

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Et le pire, c’est que c’est de l’incompĂ©tence plus que de la vraie volontĂ© de mentir. Les mecs se disent « Opposant Ă  Poutine = Gentil Â».

Manichéisme de base.

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Tu voudrais dire que les journalistes qui nous servent la soupe dans les « journaux de rĂ©fĂ©rence Â» n’ont pas plus d’esprit critique qu’une poire Ă  lavement ? :shock:

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Je voudrais bien t’y voir toi avoir l’esprit critique quand on a le nez dans la merde :no:

#jesuispoireĂ lavement

:sac:

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Source: le monde

:heart:

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Scandale du lait concentré sucré au Brésil : https://www.lemonde.fr/international/article/2021/01/30/au-bresil-jair-bolsonaro-se-debat-dans-un-scandale-de-frais-de-bouche-fastueux_6068209_3210.html

Pour Jair Bolsonaro, la note est salĂ©e
 mĂȘme si c’est de sucre qu’il s’agit. Le prĂ©sident du BrĂ©sil est depuis quelques jours plongĂ© dans un important scandale mĂ©diatique Ă  la suite de la rĂ©vĂ©lation par la presse des dĂ©penses alimentaires fastueuses engagĂ©es par son gouvernement au cours de l’annĂ©e 2020.

Selon le journal en ligne Metropoles, il y en aurait en tout pour plus de 1,8 milliard de reais (270 millions d’euros) d’aliments et boissons, en hausse de 20 % par rapport Ă  l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente. Dans le dĂ©tail, l’administration fĂ©dĂ©rale a dĂ©pensĂ© pour 2,4 millions d’euros de frites, 750 000 de raisins secs, 330 000 de chewing-gum, 250 000 de chantilly ou encore 270 000 de bƓuf en gelĂ©e


Mais le chiffre qui a le plus retenu l’attention des mĂ©dias concerne les desserts : 2,3 millions d’euros de lait concentrĂ© sucrĂ© achetĂ© en 2020. Ce mets est certes trĂšs apprĂ©ciĂ© des BrĂ©siliens, mais les dĂ©penses astronomiques du gouvernement de Brasilia sur le sujet laissent perplexe. Car 2,3 millions d’euros, c’est en effet assez pour acheter entre deux et trois tonnes de lait concentrĂ© par jour : l’équivalent de 7 000 boĂźtes de conserve quotidiennement ouvertes
 Ce qui fait tout de mĂȘme beaucoup de lait concentrĂ© sucrĂ©.

Face au scandale, le pouvoir se justifie comme il peut, entre honte penaude et hystĂ©rie. Le ministĂšre de la dĂ©fense, Ă  l’origine de l’essentiel des achats de lait sucrĂ©, a pĂ©niblement soulignĂ© le « potentiel Ă©nergĂ©tique » de cet ingrĂ©dient ultracalorique. Furieux, Jair Bolsonaro n’a quant Ă  lui pas pris de gants : « Allez vous faire foutre chez votre putain de mĂšre, presse de merde ! Vous pouvez vous la mettre au cul, cette conserve de lait concentrĂ© ! », a lancĂ© le prĂ©sident du BrĂ©sil le 27 janvier lors d’un dĂ©jeuner filmĂ© Ă  Brasilia, entourĂ© de ses partisans et de ses ministres.

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Si l’on parle de donnĂ©es critiques, c’est notamment parce que la base contient le « Cadastro de Pessoas FĂ­sicas » (CPF) des victimes, et mĂȘme dans certains cas une photocopie de la carte sur lequel ce numĂ©ro est inscrit. En France, l’équivalent du CPF serait le numĂ©ro fiscal, l’identifiant liĂ© au paiement des impĂŽts. La seule prĂ©sence du CPF suffit Ă  envisager des risques de fraude ou d’usurpation d’identitĂ©.

Mais en plus, il s’accompagne d’une variĂ©tĂ© de donnĂ©es d’une prĂ©cision effrayante. Prenez une grande respiration, voici une liste non exhaustive de ce que contient la base sur chaque individu, ou presque :

  • Nom, prĂ©nom, date de naissance, nom des deux parents, statut marital, niveau d’éducation.
  • Email, numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone, adresse (nom prĂ©cis de la rue, mais aussi coordonnĂ©es GPS).
  • Plusieurs Ă©quivalents du numĂ©ro de sĂ©curitĂ© sociale, et le dĂ©tail de certaines prestations rĂ©guliĂšres, similaires Ă  celles de la caisse d’allocation familiale française.
  • Des dĂ©tails sur le foyer : nombre de personnes, niveau de revenu.
  • Des dĂ©tails sur le travail : nom et identifiant lĂ©gaux de l’employeur, type d’emploi, statut du poste, date d’embauche, salaire, nombre d’heures par semaine.
  • Des estimations de revenu : ce calcul prend en compte le salaire, le loyer, ou encore la perception d’une Ă©ventuelle rente. Ces donnĂ©es servent Ă  classer les personnes par niveau de classe sociale (baisse, moyenne, haute) et par niveau de revenu.
  • Toutes sortes de donnĂ©es financiĂšres : le dĂ©tail du score de crĂ©dit ; le nom des dĂ©biteurs et le statut des dettes ; l’identifiant de la banque des mauvais payeurs.

Avec tous ces Ă©lĂ©ments, le fichier, bien qu’en format texte, pĂšse plus de 14 gigaoctets. Dans le dĂ©tail, il contient 37 bases de donnĂ©es distinctes, signe que le malfaiteur a eu accĂšs au systĂšme entier d’une entreprise, et non seulement Ă  une ou deux bases mal sĂ©curisĂ©es.
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Ça a l’air sympa le BrĂ©sil :hoho:

:fapfap:

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Source: le monde 13/02/21

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Source: le monde

Et quid du lait paternel ? :lemaire:

Pardon. :sac:

Pour parler du sujet, franchement
 on s’en branle un peu non ? :hoho: Ça ne change absolument rien Ă  notre vie et si en plus, ça peut permettre Ă  certaines personnes de se sentir plus acceptĂ©es et intĂ©grĂ©es, c’est plutĂŽt coolos non ?

Les langues, ca Ă©volue, on va pas faire les lourdos Ă  chaque fois que ca change, si ?

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L’aspect transphobe m’échappe un peu au premier abord, mais rien de choquant (edit: aprĂšs rĂ©flexion, c’est bon)

J’aime bien ces modifications, elles semblent logiques, c’est cool de la part de Marianne de saluer cette Ă©volution :

Je vois rien Ă  redire lĂ  dedans

Et pourtant
 Et de plus en plus jeune. J’ai dĂ» expliquĂ© Ă  mes 1Ăšres pourquoi j’écrivais « NĂ©nufar Â» et non pas « NĂ©nuphar Â», j’avais l’impression d’argumenter avec les sĂ©niles de l’AcadĂ©mie Française.

DĂšs qu’on touche au code, Ă  la langue, c’est psychologique chez beaucoup : on s’attaque Ă  un savoir ancrĂ©, et on le prend personnellement.

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C’est une bonne excuse je trouve pour ces gens lĂ , les traditions, la valeur de la langue française
 La langue Ă©volue constamment, on ne parle pas comme les gens des annĂ©es 60.

Les soucis remontĂ©s ces derniĂšres annĂ©es sont ceux sur l’inclusion, des femmes, des homo, des personnes transgenre. Bizarrement ça choque plus que les mots autocorrection, apprenant, buzz :sac:

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C’est sĂ»r que dans des cas d’inclusion, c’est la double peine. Mais de maniĂšre gĂ©nĂ©rale, il y a ceux qui acceptent de remettre en question leur savoir dit « fixe Â» et les autres.

Pourtant, quand on cherche un peu, ognon est beaucoup plus logique qu’oignon.

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Pour ces mots « rĂ©Ă©crits Â», l’ancienne orthographe est considĂ©rĂ©e comme une faute dans les Ă©coles ?

En voyant les commentaires de Marianne, je lis des trucs du genre « on veut m’empĂȘcher de dire lait maternel Â» ou « on veut nous effacer Â», non on inclut juste de nouvelles façons d’écrire
 et l’écriture utilisĂ©e officiellement est simplement la plus inclusive en fait.

Je fais un parallĂšle un peu bancal mais on avait pour habitude d’empĂȘcher les femmes de voter, on a rĂ©ussi Ă  leur donner le droit de vote sans perdre le nĂŽtre, on peut Ă©voluer sans supprimer quiconque :smart:

Non. Et c’est là l’erreur je trouve.

Le voilĂ  l’islamo-gauchiste qui gangrĂšne la sociĂ©tĂ© :blanquer:

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