Et il y a de fortes chances que tu en aies profité, si tu n’as pas eu une mention bien. ^^
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Non. On ne fabrique pas “des nuls et des médiocres”. C’est dingue qu’en 2018 y’en ait encore pour penser ça.
Le fait est que le bac, c’est pas ça qui prouve tes connaissances ou ton savoir-faire. Ce qui compte, c’est la formation. Le voyage, pas la destination.
J’en cottoie des collègues qui, sous couvert de l’exigence, sont des frustrés qui font passer leurs nerfs sur la notation et les commentaires. Et heureusement que, pour un examen si important, on ait une harmonisation pour éviter ça. Ce n’est jamais qu’un examen, on peut se planter sans pour autant avoir raté son année.
Il y a des problèmes à l’EN, mais certainement pas une baisse d’exigences. Il y a une multiplication des matières qui en diminue la spécialisation, mais les élèves d’aujourd’hui ne savent pas moins de choses que nous à leur époque, clairement pas.
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Je pense que j’ai du en profiter : pas de mention. 
Et si j’en ai profité, tant mieux 
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Bah mention AB avec 13.55 de générale.
J’avais la crève pendant les épreuves en plus. Je me souviens avoir fait de la bonne merde en philo, résultat 9 sa mère.
@Revizor : Ce que tu dis va contre l’enquête. Je doute pas qu’il y ait des cons parmi les profs.
En revanche le rééquilibrage des écarts et le fait de ne pas sanctionner l’orthographe, t’appelles pas ça une fabrique à naze ?
Je fais réviser le brevet à mon petit frère. C’est une burne en orthographe. Je lui met des coups de pression à chaque aberration qu’il peut écrire.
Mais il n’as aucune connaissance, je vais lui demander si l’orthographe est sanctionné tout au long de l’année, tiens.
Si ça ne l’est pas. Beh alors on laisse volontairement les élèves dans la merde.
Si ça l’est, il s’en mangera une pour être une daube.
T’as une capacité étonnante a passer pour un reac de première à chaque fois, pour un mec de gauche placé tellement loin de la fachosphere c’est perturbant.
Sérieusement ? Un article et on fabrique des nuls ? Et si tu réfléchissais : on n’a jamais eu autant de diplômés (quel qu’il soit) et si un diplôme n’est pas une forme d’intelligence certaine, il marque néanmoins une culture obligatoire. Donc médiocres tu peux oublier. Ensuite, on le sait très bien le BAC est aujourd’hui avant tout un passage, plus qu’une finalité, dans cette période de surenchère des diplômes. Donc même si c’est vrai (ce dont je doute fortement), et ALORS ? En quoi c’est grave et en quoi cela mérite t il une attaque gratuite envers toute une génération ? T’as pas vu passer genre 149 sujets plus graves où y avait des nuls et des médiocres (avec des conséquences cette fois).
Pour finir, si c’est si facile, je te laisse 4h pour nous faire le sujet d’hier : Peut on être insensible à l’art ?
Haha : “Si c’est si facile”.
Ouais donne moi les cours et je te le torche ton truc, c’est pas le soucis si ?
On a jamais eu autant de diplômés. C’est sur qu’avec les pratique citées dans l’enquête c’est pas étonnant.
Et je trouve de toute façon qu’il y a un manque de fond. Les minots ont moins de recul, moins d’envie de bien faire, moins de crainte de l’autorité du prof…
Des gens médiocres oui.
Je sais plus qui parlait de ça ici récemment mais quand tu lis des profs dire qu’ils y sont pour rien dans la réussite ou l’échec des minots, t’en penses quoi ?
L’orthographe c’est la science des ânes. Déjà.
Et l’enquête interview 4 profs, ça n’en fait pas une vérité. L’harmonisation est juste puisque sur un volume aussi énorme de copie, il est normal que la moyenne soit 10 justement. Un prof qui a un paquet à 7 note trop sévère, c’est une évidence.
Nos élèves ont déjà suffisament peu confiance en eux pour que des réacs leur claquent ça, alors que sur ceux qui critiquent, combien savent la date de la chute du mur de Berlin ou les spécificités du mouvement romantique ? C’est pourtant au programme de notre “fabrique à médiocre”.
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Mais j’en pense que ça a toujours été. Et que si tu ne l’as pas vu c’est peut être que tu étais entouré de ce milieu qui réussira toujours car on lui offre tout ce qu’il doit avoir pour qu’il n échoue pas (et parfois ça rate pourtant).
Tu te bases sur un diplôme, un article et des pratiques (apparemment) utilisées pour faire un constat sur toute une génération, naze et médiocre. Quand dans le même temps tu refuses d’être catalogué dans la fachosphere en la citant et en défendant ses grands chevaux de batailles, bien inutile pour la plupart.
Je suppose que tu ne te sens pas personnellement naze et médiocre, pourtant qui te dis que tu n’as pas eu tes notes gonflés ?
C’est un débat encore inutile qui te ramène une fois de plus à un rôle de reac que tu sembles chérir : génération pourrie, de fainéants, d’assistés, manque plus que le couplet sur la consommation pharaonique de drogue et tu auras le parfait costume. Tu te plais à dénigrer et c’est tant mieux pour toi, mais essaye de le faire avec arguments, pas juste : Tiens, le Point le dit, et on le voit bien hein, les jeunes ils ont plus envie, ils sont ci et ça aussi.
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Tu pourrais répondre à ma question aussi camarade. ^^
Moi je réponds à ton post :
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Premièrement, sur mon entourage : Je suis un mec qui à grandi dans un univers particulier. J’ai pas eu des parents présents et je trouve que la majorité de ma famille sont des abrutis absolument pas digne d’intérêt. Je suis loin de tout avoir eu. Et quand tu vois le niveau de mes parents, quand j’étais plus jeune, je me disais que j’avais été adopté tant j’étais différent d’eux.
Bref, raté donc. -
Deuxièmement : Je me bases sur ce que je vois et lis, oui. Comment faire autrement ? Pour ton information, je m’occupe de la scolarité de mon petit frère. J’ai un autre petit frère qui est lourdement handicapé et dont ma mère s’occupe à temps plein, de fait, elle ne peut pas gérer mon autre petit frère. Mon père s’est barré et puis il est tellement naze qu’il ne pourrait rien faire. ^^
Je me base sur mes 6 ans d’éducateur aussi, au contact de U15/U10/U8 … Le coaching, c’est pas que apprendre à faire des passes avec l’intérieur du pied, ça va plus loin, j’y tiens. De fait, on parlait beaucoup de l’importance de la scolarité, et leur visions de la scolarité. Je me base sur ce que dit mon petit frère, ce que disent ses potes aussi sur l’école.
Je me base sur ce que je vois dans les livres d’écoles. Les programmes sont largement moins fouillés que mon époque, et pourtant c’est pas si loin…
Donc je te pose la question : Sur quoi faut il se baser pour émettre un avis ? -
Troisièmement : Quel rapport entre jugé la génération actuelle par ce que je vois/connais et être catalogué fachosphère ?
Je te le dis copain, si, dans ton monde, être de la fachosphère c’est avoir un avis différent du tiens, alors je serais fier d’en faire partie. ^^ -
Quatrièmement : Je suis nul et médiocre sur pleins de sujets. En revanche à l’école : Très honnêtement, je pense pas avoir eu mes notes gonflées. J’ai toujours été plus bon élève, j’ai toujours bossé au minimum pour m’assurer plus que la simple moyenne. Je tâchais, d’avoir un raisonnement, une idée. Quitte à être différent des autres « mouton de Panurges ». D’ailleurs ça m’as plutôt réussi, j’ai réussi l’oral et l’écrit de Français par exemple. (15 écrit, 17 oral).
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Enfin, tu me fais marrer à me dire que je n’ai pas d’arguments. Maintenant, faisons le processus inverse : Qu’est ce qui te fait affirmer que je dis de la merde ? Parce que j’ai pas vu d’argument de ta part, si ce n’est tenter de dénigrer en associant mes propos au camp que tu considère être le méchant. Ce qui est tout sauf un argument valable. ^^
Techniquement, si t’as eu ton bac, c’est que tu es dans la capacité, même des années après, de faire cette exercice. A moins d’être bien sûr, de faire partie de ces médiocres dont tu te plains…
En parlant de frustré qui passe ses nerfs, une petite anecdote personnelle.
En seconde, on avait eu le droit à un test commun à toutes les classes en SVT (je ne sais pas pourquoi).
J’y suis allé confiant, comme j’avais une bonne moyenne en SVT (à peu près la seule matière de sciences dures où je m’en tirais), et non seulement j’ai eu une très sale note (7), mais en plus, le mec s’était répandu en commentaires désobligeants dans sa correction (ou bien extrêmement maladroits vu que croire que l’ironie grinçante fera rire un élève qui se tape une sale note).
Le résultat, c’est que non seulement je me suis servi de sa copie pour faire du basket sous les yeux de la prof habituelle (pas sur le coup, à la fin du cours après avoir bien attendu que les autres sortent, donc c’était pas de la colère, je tenais à marquer mon mépris envers cet enculé), mais qu’en plus je ne me suis plus jamais intéressé à sa matière.
Alors peut-être que j’ai bénéficié d’une certaine complaisance avec les notes au moment du bac (j’avais eu 10,00, donc je pense qu’il y a du y avoir des points un peu généreux).
Mais tout d’abord, je pense que vous êtes ici tous témoins du fait que je ne suis pas franchement un inculte, et ensuite il semblerait que mon parcours dans le supérieur ne soit pas véritablement celui d’un nullard à qui on donne tout.
C’est une anecdote personnelle, donc pas de valeur scientifique, mais je pense que ça donne un bon exemple de pourquoi il y a besoin de bienveillance à ce niveau là.
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Oui, bon si tu veux, même sans cours effectivement je le torche quand même, en effet.
Et après ?
C’est toujours pas le soucis Messieurs. Répondez aux questions à la limite plutôt que de tenter de dénigrer l’interlocuteur.
EDIT : @Gino : Super intéressant ton anecdote. Rien n’est plus parlant qu’un exemple personnel à mes yeux, nul besoin de pseudo valeur scientifique. ^^
Effectivement, y a un juste milieu à avoir. Inutile de foutre une sale note, pour mettre une sale note, aucun intérêt, et tout autant destructeur que l’harmonie et le rééquilibrage cité dans l’enquête.
En revanche, si l’élève fait de la merde, n’as rien glandé de l’année, fait des fautes à toutes les lignes, bah pour moi, ça me semble aberrant que le système ne lui donne pas la bulle qu’il mérite.
Là, on nous explique que les élèves ne peuvent pas avoir moins de 6. Pourquoi ? Comment ?
On peut même pas écrire « léger » parce que c’est trop méchant. Non mais ou on va ?
Déjà que ce diplôme n’est plus crédible … on prépare pas les minots aux études supérieurs. Et voyons plus loin s’vp. Comment ils vont trouver du boulot ? Comment ils vont comprendre le monde qui les entoure ? Comment développer la culture de l’apprentissage dans ces conditions ?
Non mais moi, je m’en fiche de ce sujet, je trouve juste honteux de faire du c’était mieux avant, alors que l’harmonisation vise avant tout d’éviter un particularisme de notation comme l’effet de contraste et les biais cognitifs du type le professeur qui corrige les copies, a énormément travaillé le sujet avec ces élèves, de ce fait, il va être inconsciemment plus “dur” avec ces copies externes qu’un autre qui aura consacré moins de temps avec sa classe. L’harmonisation visera donc à réduire l’écart de perception sur l’effort fourni par les élèves sur le même sujet. Et l’harmonisation des notes n’est pas nouvelle, l’étude de la notation et ses répercussions datent d’un siècle maintenant…
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Le bac est une épreuve nationale commune. A ce titre, si on veut garantir l’équité parfaite dans la correction, il y a deux solutions :
- le même enseignant corrige toutes les copies de France
- on harmonise les copies pour faire en sorte que la correction soit la plus équitable possible dans tout l’hexagone.
Quelle est la solution la plus simple à mettre en place selon toi ? 
Justement, si tu faisais ton métier consciencieusement, ce dont je ne doute pas, tu sais alors que ce n’est pas en traitant un élève de nul qu’il va s’améliorer. Ce genre de truc, ça marche sur les plus forts mentalement, mais une classe n’est pas composée que de Rambo en puissance.
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Technique super efficace j’en suis sûr
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Wow, tu m’as reproché mon manque de clarté, là, je suis dans l’obligation de te demander un effort similaire. Désolé du coup si j’ai compris de travers :
- Je suis désolé mais dans l’enquête, on parle bien de profs qui se font sanctionner car ils ont osés dire “Non” à une harmonie inutile de leurs “paquets” de copies. Tout ça pour éviter les gros écarts entres les élèves et compagnie.
Alors oui, une mauvaise note inutile ça a des répercussions sur les élèves, ok. On le voit très bien avec Gino.
Mais quand les notes sont justifiées, à quoi bon vouloir une harmonie quand même ?
Pourquoi on a supprimé le barême sur l’orthographe ? Quand on voit l’importance que ça a plus tard. Même si c’est la “science des ânes” (lol), moi qui ai déjà fait de nombreuses sessions de recrutement : Tu prends jamais des mecs qui écrivent avec leur fion hein.
Non, le but, c’est de maintenir le taux de réussite, en tout cas, aux vues de l’enquête. Et dans ce cas, je trouve ça révoltant, et de fait, oui, on fabrique des médiocres. ^^
Oh ça, je peux répondre facilement. Prends l’épreuve de l’EPS au bac, et imagine qu’on dise que pour avoir la moyenne, il faut faire moins de 8’ au kilomètre en course de fond. Est-ce que c’est juste et équitable pour toute la classe ? Tu me diras que non, et tu auras raison, puisque tout le monde ne démarre pas avec les mêmes aptitudes physiques. Ce qu’on va juger donc, c’est la progression et l’implication. Je pense que ça, tout le monde est d’accord.
Maintenant, dis-toi que l’orthographe c’est la même chose. Les élèves n’arrivent pas en seconde avec le même niveau, de part leur vie, de part leur capacité cognitive, de part leur mémoire. Alors juger sur un barème commun quelque chose qu’on ne travaille pas (je rappelle qu’à partir de la seconde, les cours de maîtrise de la langue sont marginaux et intégrés à toutes les matières, pas qu’au français), et bien ce serait injuste. Ce qui compte, c’est le fond, pas la forme, en tout cas au bac.
Parce que les profs de l’enquête confondent liberté pédagogique et devoir didactique. La liberté pédagogique, c’est le fait de pouvoir évaluer et travailler comme tu l’entends dans ta classe. Quand tu es convoqué pour corriger le bac, tu n’es plus un enseignant mais un fonctionnaire, et c’est ton devoir didactique qui s’applique, c’est à dire le respect des normes fixées par la commission, même si elles te paraissent trop faibles ou trop larges. Nous sommes des fonctionnaires comme les autres, on ne fait pas ce qu’on veut, heureusement.
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Ça fait ses preuves.
Attention à ne pas interpréter à sa sauce Max. Y a énormément de bienveillance dans mes propos avec mon petit frère. ^^
@Revizor : Sinon, on fait confiance aux profs correcteurs. On sélectionne les volontaires sur des critères précis par exemple ? Ainsi on évite les gros nazes qui vont saquer les minots et on aurait limite plus besoin de relecture (plutôt qu’une « harmonisation » qui porte bien son nom, on harmonise à notre sauce les notes vu l’enquête).
Les solutions les plus simples ?
Je pense pas qu’en matière d’éducation on doivent se contenter de solution rapide et/ou peu chère. Il faut complètement réformer l’éducation.
Ensuite sur mon boulot (j’étais bénévole) : A quel moment je parle que je traiter les minots de nul ? A quel moment ça semble être le problème que je soulève ? ^^
Quelle partie de ma phrase n’as tu pas compris ?
Je m’en vais faire de même avec toi.
Je suis désolé mais dans l’enquête, on parle bien de profs qui se font sanctionner car ils ont osés dire “Non” à une harmonie inutile de leurs “paquets” de copies. Tout ça pour éviter les gros écarts entres les élèves et compagnie. (Ici, la cause à effet n’est pas explicitée dans l’article, il est sous entendu mais en aucun cas, prouver. C’est donc un sophisme, une facilité de logique qui n’a donc aucune valeur, car c’est une affirmation non prouvée. T)
Alors oui, une mauvaise note inutile ça a des répercussions sur les élèves, ok. On le voit très bien avec Gino.
Mais quand les notes sont justifiées, à quoi bon vouloir une harmonie quand même ? (Il n’a jamais été question d’harmoniser les notes justifiées dans l’article mais de rendre ces justifications claires, précises et sans contestation, nuance)
Non, le but, c’est de maintenir le taux de réussite, en tout cas, aux vues de l’enquête. Et dans ce cas, je trouve ça révoltant, et de fait, oui, on fabrique des médiocres. ^^ (Tu tires une conclusion qui n’a pas été prouvé et en tire un constat moral. L’enquête laisse sous entendre que ce serait pour maintenir le taux, en ne prenant que le point de vue des profs mécontents du système, il est largement biaisé mais n’affirme pas ta conclusion. Si tu veux que je te concède cette conclusion, il faudra me prouver par a+b que le but est de maintenir le taux de réussite et que maintenir le taux de réussite entraîne la fabrique de médiocre et d’autant plus, m’expliciter le sens du mot médiocre dans ce contexte)
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Et comment tu fais ? Et je parle pas de nazes, mais tout simplement du fait que nous sommes humains, donc il y a des choses qu’on va tolérer, d’autres non. Et inversement pour un autre correcteur. C’est pour ça qu’on harmonise. Toutes les études ont montré que c’était la seule façon juste de faire, après si tu les refuses, c’est ton droit. Mais l’EN se base sur de la science, pas du ressenti.
Non. On ne fait pas table rase, y’a plein de choses qui marchent. Il faut sans cesse l’améliorer, ça on est d’accord, mais y’a rien à totalement réformer. C’est contre productif de repartir à zéro.
Et bien quand tu dis qu’on « fabrique des nuls et des médiocres ». Les nuls et les médiocres, ce sont bien les élèves, je ne pense pas que l’EN fabrique autre chose ? Donc c’est pas en leur collant une étiquette sale que ça va avancer.
Quand à l’enquête, je rappelle que ça vient du Point. Le Point mec. C’est un peu comme si je sortais une enquête de l’Huma sur les bénéfices des patrons, ça sera forcément un peu biaisé ^^
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