Apple TV+

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2 mois et 7 jours d’essai gratos pour les nouveaux comptes.

J’ai finis Severance également.

J’ai vraiment bien kiffé. Incroyable cliffhanger, hâte de voir la suite !

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Très beau deal d’autant que les séries Apple sont franchement sympa.
Je regarde Mythic Quest en ce moment c’est très cool !

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Pensez-vous que je serai éligible avec cette offre ?

J’ai fini la première saison de Mythic Quest.
Si les épisodes sont assez inégaux, on s’attache très vite aux personnages et on en finit presque à avoir envie d’aller « bosser » avec eux.
Le cast est excellent, j’avais des réserves sur l’actrice qui joue Poppy mais au final elle tient parfaitement le rôle et ça fini même par un épisode 10 très très touchant.
Je recommande la série à tous ceux qui aiment le JV en règle général, car je pense qu’il y a pas mal d’épisodes qui tirent leur scénario de faits réels, bien que ce soit traité avec légèreté.

Ce n’est clairement pas la comédie du siècle, mais je comprends son succès et pourquoi Apple l’a renouvelé pour une 4ème saison.

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Perso je me suis arreté au milieu de la saison 2. C’est pas mauvais mais ça ne décolle jamais à mon goût.

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C’est aussi ma crainte, même pas sûr que j’enchaine sur la saison 2. Pas tout de suite en tout cas.
L’impression, avec cette saison 1, que j’ai fais le tour du truc.

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“The Big Door Prize”, une comédie de SF existentielle et attachante à voir sur Apple TV+

À partir d’une machine dévoilant le potentiel de vie de ses usagers, “The Big Door Prize” compose une méditation douce-amère sur la prédestination et le libre arbitre.

Il paraît difficile, ces jours-ci, d’allumer la radio sans tomber sur un débat concernant les dangers de l’intelligence artificielle. Ses progrès fulgurants dessinent-ils un horizon sinistre où l’humanité aurait abandonné son libre arbitre aux machines ? Adaptée du roman de M.O. Walsh par David West Read (Schitt’s Creek), la série The Big Door Prize nourrit ces questionnements en croisant la comédie de science-fiction et la fable philosophique.

Dans une “petite ville américaine où tout le monde se connaît” (traduction de “Dans un pays lointain” au royaume cathodique), une machine nommée MORPHO apparaît entre les rayons d’une épicerie. Moyennant un numéro de sécu, des empreintes digitales et deux pièces d’un dollar, cet oracle rétrofuturiste délivre aux usager·ères une carte révélant leur “potentiel de vie”. Ébranlé·es par ces prédictions personnalisées, les habitant·es vont, à différents degrés, remettre en question leur existence et agir en conséquence.
Amertume discrète

Influencée par Black Mirror, The Big Door Prize ne cherche pas à expliquer son concept, mais à en explorer les conséquences individuelles et collectives. Un prof d’histoire guetté par la crise de la quarantaine craint de ne pas être exceptionnel, un prêtre doute de sa vocation et regrette son ancienne vie, une antiquaire renoue avec sa passion pour la danse… Glissant d’un personnage à un autre, les épisodes tissent une communauté humaine aux trajectoires imbriquées. Pour peu que l’on soit rompu aux séries d’anticipation pessimistes et cruelles, la bienveillance qui enveloppe The Big Door Prize a quelque chose de déstabilisant. Saisies dans un régime de comédie proprette et un décor à l’artificialité revendiquée, les vibrations existentielles de ses personnages distillent une légèreté d’ensemble à première vue inoffensive. Un vent de folie douce souffle sur la ville, les cartes influant la vision que les personnages ont d’eux-mêmes comme des autres. De la même façon qu’un tirage de tarot, les petites cartes bleues valent autant comme augures que comme grilles d’auto analyse.

Il faut progresser dans la série pour goûter à son amertume discrète et comprendre comment elle entre en résonance avec nos aspirations et angoisses contemporaines. Écaillant le vernis du quotidien pour révéler les regrets et frustrations en sourdine, elle manipule l’air de rien des notions aussi vastes que le déterminisme ou le libre arbitre.

A-t-on plutôt besoin d’être déplacé·es ou conforté·es dans ses certitudes pour avancer ? L’affirmation de ses désirs est-elle une injonction comme les autres, et le besoin de “se réaliser” une chimère néolibérale ? Doit-on se contenter de ce que l’on a pour espérer être heureux·euses ? Si ces sujets très bac philo vous travaillent, et que vous n’avez pas deux dollars à insérer dans le MORPHO, The Big Door Prize peut valoir quelques heures de votre temps et consoler vos angoisses joyeusement humaines !

Source: les inrockuptibes

Source: le parisien

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On a commencé ça aujourd’hui et franchement je suis hypé.

Le livre me faisait de l’oeil depuis un moment, j’ai pris les deux premiers tomes pour lire pendant mes vacances dans deux semaines. Je resterai la série après

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J’avais lu le premier il y a quelques années.
Petite ambiance Fallout, c’est excellent.

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Première fois que je vois une série ou un film après avoir lu l’œuvre originale #erudit

L’auteur est producteur exécutif de la série, Graham Yost aux manettes, un casting impeccable, apple TV, niveau bouquins y a de quoi faire, les planètes sont alignées normalement !

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La série “Silo” vue par ses créateurs : “Les habitants du Silo ne réalisent pas qu’ils vivent dans une prison”

Après l’apocalypse, ce qu’il reste de l’humanité survit dans un immense bunker souterrain. Un monde à l’image de nos sociétés, selon le showrunner Graham Yost et l’auteur Hugh Howey, créateurs de la série, disponible sur Apple TV+.

Ils sont un peu plus de dix mille, entassés depuis plusieurs générations dans un immense bunker de cent quarante-quatre étages sous terre. Personne ne sait exactement pourquoi ni depuis combien de temps, mais tous sont convaincus d’une chose : le monde extérieur n’est pas vivable. Silo, adaptation de la trilogie éponyme du romancier et navigateur Hugh Howey (éd. Actes Sud), suit la quête de vérité de deux d’entre eux, le shérif Holston (David Oyelowo) et Juliette Nichols (Rebecca Ferguson), cheffe mécanicienne. Un thriller de science-fiction post-apocalyptique très allégorique que décryptent pour Télérama son créateur Graham Yost (Justified) et Hugh Howey lui-même, impliqué dans sa réécriture pour le petit écran.

Hugh Howey J’ai conçu le Silo avec en son centre un immense écran qui couvre le mur de sa cantine, sur lequel s’affiche une vidéo en direct du monde du dehors, apocalyptique. Ses résidents ne voient pas les ombres de la réalité, mais sa pire version. Ils sont sidérés par cette vision comme nous face aux informations toujours plus violentes qui défilent dans les médias. Cette histoire questionne l’impact de ce regard catastrophiste sur notre humanité.

Graham Yost « Nous sommes prisonniers d’un royaume qui a la forme de notre esprit », écrivait le romancier américain David Foster Wallace. Silo réfléchit à notre perception du monde quand nous sommes enfermés dans des cases — communautés, réseaux sociaux, etc. Durant toute leur vie, Holston et Juliette, héros en rupture, n’ont perçu que cette version tragique de la réalité, mais ils croient malgré tout en des lendemains meilleurs.
Une société pyramidale

G.Y. En apparence, le Silo n’est pas un monde si inégalitaire. Tout le monde a un job, un rôle dans la société, un appartement… mais c’est comme remonter un avion depuis l’arrière jusqu’à la cabine du pilote. Tout y est progressivement plus raffiné, plus confortable, même si au final tout le monde est dans la même carlingue.

H.H. C’est une version gigantesque des yachts sur lesquels j’ai travaillé comme technicien. Je vivais au niveau de la mer, les mains dans la graisse à réparer les machines pendant que les propriétaires sirotaient des cocktails sur le pont supérieur. Nos sociétés sont construites de la même façon. Les plus pauvres ramassent ce que les plus riches laissent tomber d’en haut.

G.Y. Le gouvernement du Silo est une sorte de dictature douce, bienveillante en apparence, mais autoritaire dans les faits, avec un petit côté Berlin Est du début des années 1980.

H.H. Il y a dans la série une réflexion sur la façon dont on arrive à pousser le peuple à se surveiller et à se censurer. Les habitants du Silo ne réalisent pas qu’ils vivent dans une prison, car ce bunker est leur seule réalité. Pourtant, ils sentent que quelque chose cloche. Comme si leur nature humaine les poussait vers cette liberté dont ils sont privés depuis toujours.
Le tabou de l’Histoire

H.H. J’ai écrit les premières lignes de mes romans au moment des cent cinquante ans de la guerre de Sécession. À l’échelle de l’humanité, ce n’est pas très lointain. Mais déjà nous n’avions plus qu’une vague idée de ce qu’était le quotidien des Américains à cette époque — au-delà de ce que relatent les livres d’histoire, bien sûr. On oublie vite. Je trouve ça aussi fascinant que terrifiant.

G.Y. Les habitants du Silo ont aussi oublié le racisme et le sexisme. Ils travaillent tous main dans la main pour une cause commune : entretenir leur bunker et survivre. C’est un idéal séduisant, mais on ne peut pas construire une société saine en effaçant sa mémoire. Il faut se souvenir des souffrances passées pour aller de l’avant. Les dirigeants du Silo ont fait une erreur en négligeant cela…

Source: télérama

Vu les 2 premiers épisodes de SILO, c’est très prenant. Plutôt convaincu pour le moment!

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Par contre un épisode par semaine, qu’ils aillent dse faire foutre.