Le joueur incarne un gangster dont le but principal est de se faire un nom dans le milieu du grand banditisme en effectuant diverses missions attribuées par des malfrats. Dans ces diverses missions, le joueur doit commettre des vols à main armée tout en parcourant une ville dans divers véhicules terriens, marins ou aériens, incluant voitures, motos, avions, ou bateaux. L’action se déroule successivement dans trois villes que sont Liberty City, Vice City et San Andreas. Graphiquement, le jeu mélange des éléments 2D et 3D.
Grand Theft Auto II (1999)
Le jeu se déroule dans une ville rétrofuturiste appelée Anywhere, aux États-Unis bien que le manuel et le site du jeu avancent « trois semaines dans le futur ». La ville se divise en trois secteurs — centre-ville, quartier résidentiel et quartier industriel. Dans chaque quartier, se trouvent trois gangs, donnant des missions au joueur via des téléphones publics. Chaque district possède un niveau maximum de recherche par la police que le joueur peut atteindre. Le joueur peut gagner du respect pour un ou plusieurs des gangs. Il pourra en gagner en tuant un ennemi du gang rival, mais il perdra du respect pour le gang qu’il a attaqué. Si le respect du gang pour le joueur est trop bas, alors il sera attaqué dès que le gang le verra. Le respect est aussi gagné par des missions spécifiques données par les gangs, missions qu’il pourra avoir seulement s’il a un niveau de respect assez élevé, mais l’argent qu’il gagnera sera plus élevé.
Grand Theft Auto III (2001)
Le joueur de GTA III incarne un criminel évadé qui doit se faire un nom dans la ville fictive de Liberty City. À l’instar des opus précédents, le jeu offre une grande liberté d’action au joueur qui peut se déplacer dans la ville comme il l’entend et y accomplir différentes activités. Le joueur peut se déplacer dans la ville à pied ou en voiture. À pied, il possède en plus la capacité de sprinter quelques secondes (mais ne sait toujours pas nager). Le joueur peut conduire la plupart des véhicules du jeu qui sont nombreux et basés sur des modèles réels. L’absence de moto est néanmoins déplorée par de nombreux joueurs, et cette absence est due à une programmation difficile. De plus, l’interface de cet opus est entièrement revue. La boussole est remplacée par une mini-carte de la ville indiquant les endroits clés. Un indicateur de santé et d’armure ainsi qu’une horloge indiquant l’heure dans le jeu font aussi leur apparition.
Grand Theft Auto : Vice City (2002)
L’histoire se déroule en 1986 à Vice City. Tommy Vercetti, ancien homme de main d’un des parrains de la mafia de Liberty City, Sonny Forelli, sort d’un séjour de quinze années de prison. En guise de réintégration dans la famille Forelli, Sonny, qui craint le retour de Tommy dans les rues de Liberty City, envoie celui-ci à Vice City afin de lancer la famille dans le trafic de drogue auquel la Mafia ne se livrait pas jusque là. À son arrivée sur place avec ses deux hommes de main, il est accueilli par Ken Rosenberg, un avocat travaillant pour les Forelli qui a organisé un deal dans le port de la ville. L’échange avec le fournisseur, Victor Vance est interrompu par l’apparition de mystérieux hommes armés qui tuent Vance et les deux hommes de Tommy qui réussit à s’enfuir avec Rosenberg, laissant sur place l’argent et la drogue. Furieux de cet échec, Sonny Forelli ordonne à Tommy de récupérer son argent et sa drogue (cependant, la cinématique apprend au joueur que Sonny est déjà en possession des deux, et qu’il a donc commandité la fusillade, ce que Tommy ignore). Seulement, pour découvrir qui s’est enfui avec l’argent et la drogue, Tommy doit d’abord mieux se rapprocher du milieu du crime de la ville. Avec l’aide de Rosenberg, Tommy est invité à une fête où il rencontre la jet set de Vice City et certains trafiquants de drogue. Sur sa route, il rencontre également Lance Vance, également désireux de retrouver l’argent et se venger. Ils décident donc de s’allier.
Grand Theft Auto : San Andreas (2004)
L’histoire se déroule en 1992, dans l’État de San Andreas déchiré par le crime. Carl « CJ » Johnson, qui a passé sa jeunesse dans un quartier afro-américain de la ville de Los Santos, était parti pour Liberty City dans l’espoir d’une vie meilleure. Cinq ans plus tard, il retourne dans son quartier d’enfance afin d’assister à l’enterrement de sa mère qui vient d’être assassinée. Toute la progression de l’histoire se fait par le biais des multiples rencontres que va faire Carl et des services (missions) qu’il va rendre aux différents protagonistes. Ainsi ce sont autant d’ennemis que d’amis potentiels qui permettront à Carl, et donc au joueur, de découvrir une plus grande partie de l’intrigue. Au début du jeu, Carl se fait rattraper par son passé où trois policiers corrompus tristement familiers lui expliquent clairement qu’ils n’ont aucune envie de le revoir se balader dans les rues. Ainsi dans un premier temps, CJ se trouve bloqué à Los Santos, surveillé par l’officier Frank Tenpenny associé de Eddie Pulaski et Jimmy Hernandez. Flics pourris, ils chargeront Carl de plusieurs sales boulots pour éviter de se mouiller…
Grand Theft Auto IV (2008)
Grand Theft Auto IV suit l’histoire de Niko Bellic, un vétéran serbe de la guerre de Bosnie, trahi par un ancien membre de son unité. Dix ans plus tard, Niko quitte l’Europe de l’Est pour échapper à la colère de son employeur, Raymond Bulgarin. Persuadé par son cousin Roman, Niko quitte son pays d’origine pour rejoindre la ville de Liberty City dans le but de réaliser le rêve américain; mais son ancien collègue d’unité l’ayant probablement trahi, Florian Cravic, tente lui aussi, de son côté, de réaliser ce rêve. Lors de son arrivée, cependant, Niko apprend rapidement que les histoires de son cousin Roman n’étaient que mensonges et que celui-ci croule en réalité sous les dettes.
Grand Theft Auto IV : The Lost and Damned (2009)
La scène d’introduction débute avec Jonathan Klebitz, en virée sur les routes d’Alderney durant la nuit à Liberty City, en compagnie de tous les membres du gang de motards, The Lost Motorcycle Club. Niko Bellic, le principal protagoniste de Grand Theft Auto IV, apparaît brièvement sur un trottoir insulté par un piéton qu’il a malencontreusement bousculé. Le groupe, dont Johnny Klebitz, partent rejoindre Billy Grey, leur chef, de retour d’une période de sevrage, et reviennent par la suite dans leur club en sa compagnie. Après avoir été libéré de sa période de sevrage, Billy se convertit de nouveau dans une vie de crime et les tensions montent rapidement entre lui et Johnny, ce dernier étant convaincu que le gang pourrait vivre différemment et sereinement. Jason Michaels, l’homme de main du groupe, prévient que des motards de leur gang rival, les Angels of Death, attendant à la sortie de leur club demandant des explications concernant la fin de leur trêve. Billy ne regrette rien et tire dans le dos du leader, déclenchant ainsi la fin de la trêve entre les deux gangs rivaux.
Grand Theft Auto IV : The Ballad of Gay Tony (2009)
La première scène du jeu montre le protagoniste Luis Fernando Lopez pris en otage lors d’un braquage mené dans une banque, localisée à Algonquin, quartier de la ville fictive de Liberty City, impliquant Niko Bellic, les frères Packie et Derrick McReary, ainsi que Michael Keane. Un membre d’un club de tir local également pris en otage, Eugene Reaper, tire à l’arme à feu et touche Keane, mais Packie McReary répond rapidement à son tour et tue Reaper. Peu après l’incident, Luis est interrogé par la police avant de retourner voir Anthony « Gay Tony » Prince à son appartement. Sur son chemin, il croise les deux autres protagonistes des précédents opus, Niko Bellic en voiture, de retour du braquage de banque avec ses complices, et Johnny Klebitz roulant sur sa moto. Rocco Pelosi, un membre affilié à Gracie Ancelotti, et son complice, Vince, accèdent à l’appartement de Tony pour y prendre ses revenus financiers. Par la suite, Tony fait part à Luis de la situation financière désastreuse de ses deux boîtes de nuit, Maisonette 9 et Hercules. Tony et Luis sont envoyés par Rocco à Chinatown pour conclure un marché avec un membre chinois d’une triade, et croisent sur leur chemin Billy Grey, le meneur du groupe de motards The Lost qui s’arrange de son côté pour tendre une embuscade à Johnny Klebitz et Jim Fitzgerald par la triade26. Aucune négociation n’est conclue, et Tony et Luis tentent de s’échapper de Chinatown. Un peu plus tard, Luis rend visite à sa mère, qui a quelques difficultés financières, et à ses amis d’enfance Henrique Bardas et Armando Torres. La mère de Luis n’apprécie pas le mode de vie que mène son fils, et voudrait qu’il fasse des études. Henrique et Armando, eux, sont des amis de Luis qui ont été entièrement impliqués dans les trafics de drogues.
Grand Theft Auto VI se déroule dans l’État fictif à monde ouvert de Leonida, basé sur la Floride, qui comprend Vice City, une version fictive de Miami. Vice City a déjà été présenté dans Grand Theft Auto (1997) et comme décor principal de Grand Theft Auto : Vice City (2002) et Grand Theft Auto : Vice City Stories (2006). Le jeu suit un duo criminel : Lucia, la première femme protagoniste de la série depuis 1999, et son partenaire ; la première bande-annonce montre Lucia comme une détenue.
Pour ma part j’ai commencé avec le 2 avec sa vue horrible de haut! Une vraie plaie! Puis je suis passé directement au Vice City, puis au San Andreas. Tous sur console.
Le trailer est très sympa, par contre je ne vois pas vraiment ça tourner sur une console. C’est réellement du rendu via moteur du jeu ? Si oui c’est fou.
Par contre au niveau du reste un poil déçu dans le sens où on est dans du GTA classique. J’aurai aimé une ambiance à la GTAIV qui est celui qui m’a le plus marqué par son scénario et son ambiance (avec San Andreas).
Oui. Jet set, bitch&beach, fêtes, alcool, démesure etc…
Je préfère large une ambiance plus terne, sale, comme les 2 cités plus haut. Je m’attache plus aux personnages dans ces conditions. Niko Bellic