Ayant flingué mon adolescence à jouer à Counter Strike (plutôt que de jouer avec des meufs ), je suis bien placé pour connaitre l’addiction que procure ce type de jeu.
Par contre aujourd’hui pour moi c’est l’effet inverse. Je n’aime pas les jeux en ligne. Je prend bien plus de plaisir à faire des aventures solos qui sont au final bien moins chronophage (tu t’arrêtes quand tu veux), là où dans les jeux en ligne faut jouer jouer jouer pour être au niveau.
J’ai aussi un problème de synchro, jouer avec mes potes ou mon frère c’est impossible. Toujours quelqu’un de pas dispo au moment de jouer (et ce quelqu’un c’est souvent moi ).
Ma femme dort, ma fille dort, mon chien dort.
Je suis seul, dans le salon. Je me suis fait un thé, j’y trempe des biscuits dedans. Je m’apprête à lancer Elden Ring.
Est-ce qu’il existe quelqu’un de plus heureux que moi pour cette heure à venir ? Je ne pense pas.
J’ai fais 2 heures d’elden ring pendant que Madame est au travail et que le petit était a la sieste. Avec café et chocolats.
Bon, je suis toujours aussi nul, mais je me balade et c’est bien sympa. Et tu sens le coup de stress quand tu t’approches trop près d’un mini-boss bien au dessus de ton niveau.
Je suis dégouté putain j’ai à peine eu le temps de tuer 3 mobs.
Détails
« Et là le renard géant sort ses grandes dents et avec sa queue enflammée et il essaie de tuer papa. Heureusement armé de sa grande épée il lui coupe la queue et le transperce en plein cœur.
Il ramasse son loot et repart à l’aventure. Fin. »
Il faut retourner de nuit a l’eglise du vendeur pere noel et y.a une nana qui pope. Tu lui causes elle te file les incantations et les loups à appeler qui t’aident bien.
De mon côté, je me suis trop occupé à level up et retenter Margit que j’en oublie juste de jouer. Quand j’aurais le temps de jouer pepere je me baladerai comme il faut pour découvrir des camps et looter leur bordel.
), je suis bien placé pour connaitre l’addiction que procure ce type de jeu.
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Impie
