🏀 NBA 2k15 - Plutît Mayo ou Curry ?

Tkt nickel man

NĂ© Ă  Oslo, Nordsberg, migre avec ses parents aux Etats-Unis en 1996, son pĂšre voulant exercer son mĂ©tier d’avocats aux USA, le rĂȘve amĂ©ricain en somme. Le pĂšre devient vite un avocat cĂŽtĂ© dans la citĂ© des anges, la famille finit mĂȘme par dĂ©manger dans le quartier de Beverly Hills, autant dire que les premiĂšres annĂ©es du jeune Mats sont heureuses. Mais le rĂȘve va vite devenir un cauchemar.
2000, Mats Ă  6 ans et tout Ă  bien changer, son pĂšre s’est laissĂ© embarquer dans la corruption et la dĂ©fense des mafieux de L.A
 Il ne le supporte plus, mis en cause dans plusieurs affaires sordides, il finit par se suicider. Sa mĂšre, une simple infirmiĂšre ne peut assumer seule les charges de l’appartement de luxe que payait le salaire de son dĂ©funt mari. Elle dĂ©mĂ©nage donc un quartier sensible de L.A., et cumule plusieurs boulots. Mats lui de son cĂŽtĂ© se retrouve un peu livrĂ© Ă  lui-mĂȘme, et commet quelques dĂ©lits. Il joue de temps en temps sur le terrain pourri du quartier. Le coach de l’équipe du collĂšgue qui voit en lui du talent, lui pose un ultimatum. Soit il continue ses conneries, et il finira sĂ»rement en prison comme les ordures que dĂ©fendaient son pĂšre, soit il arrĂȘte tout et devient un joueur de l’équipe. Mats pris finalement la dĂ©cision de jouer au basket, un sport qu’il adorait. Il finit par exploser tous les records et se retrouve avec toutes les universitĂ©s Ă  ses pieds. Il choisit UCLA, universitĂ© prestigieuse de sa ville qu’il intĂšgre grĂące Ă  une bourse. LĂ  aussi il se fait remarquer et Ă  la fin de son cursus; il est draftĂ© par l’équipe de ses rĂȘves, les Los Angeles Lakers.

Mats dĂ©barque dans une Ă©quipe au passĂ© plus que prestigieux mais au futur plus qu’incertain. Il sera en concurrence directe avec un autre jeune prodige en la personne de Jordan Clarkson. Un avenir plus radieux se dessine peut-ĂȘtre dans la citĂ© des Anges


Rapport des Scoots : Pourrait percer dans la Ligue Ă  force de travail

Pascal est nĂ© dans une belle clinique privĂ©e de Paris en 1997. Issus d’une famille d’aristocrate, il ne se sent pourtant pas Ă  sa place. Il dĂ©cide alors de rejoindre sa tante Ă  New York et dans un moment de folie, trouve une Ă©cole de Hip Hop oĂč il s’entraĂźne dans le mĂȘme temps sur les cours de basket prĂšs de Washington Square. S’il se rend rapidement compte que le Hip-Hop ne sera jamais qu’un rĂȘve pour lui, il se souvient soudainement qu’il est riche !
Il dĂ©cide donc d’intĂ©grer la fac de New York. Pendant ses annĂ©es de fac oĂč il apprend l’archĂ©ologie (??!), il intĂšgre l’équipe de Basket universitaire. Ses premiĂšres annĂ©es sont compliquĂ©es. Heureusement pour lui, son QI basket est hors-norme. Et lors d’un match face Ă  l’un des principal rival de son Ă©quipe, il rentre pour prendre le dernier shoot. AprĂšs un rapide calcul durant le temps-mort, son 3 points est parfait et le voilĂ  qui rentre dans le cƓur des supporters ! Il en profitera pour se tisser des relations et malgrĂ© son physique (et son courage) « limitĂ©s », il est draftĂ© lors de la derniĂšre draft par les NY Knicks en 6Ăšme position.

De nombreux observateurs dĂ©crient complĂštement ce choix, en affirmant que NY a encore une fois prĂ©fĂ©rĂ© la hype au talent. Quant Ă  Pascal, le pauvre dĂ©barque dans une Ă©quipe Ă  la ramasse et en plus, il sera en concurrence la seule star de l’équipe : Carmelo Anthony. Autant dire que les minutes devraient ĂȘtre plutĂŽt limitĂ©es pour le jeune français


Rapport des Scoots : Deviendra probablement l’un des plus beaux bides de l’histoire des Knicks

Luka Rorchak est originaire d’une petite banlieue de Saint-Etienne. Issu d’une famille aux revenus assez modestes, il poursuit nĂ©anmoins de belles Ă©tudes Ă  la fac de droit. AttirĂ© par le sport en gĂ©nĂ©ral, il se consacre en premier lieu au football, sport qu’il pratique pendant de nombreuses annĂ©es. En parallĂšle, il s’inscrit Ă  l’ñge de 12 ans dans le club local de basket. Ses aptitudes explosent rapidement au grand jour, et avant de finir sa licence, il reçoit une proposition de l’Asvel. Mettant de cĂŽtĂ© son Ă©go stĂ©phanois, il dĂ©barque dans le club lyonnais et signe des premiĂšres performances intĂ©ressantes.
Malheureusement, il Ă©tait Ă©crit qu’il ne pouvait en ĂȘtre ainsi : un derby perdu, un bar et des coĂ©quipiers qui chambrent. Mauvais cocktail. L’Asvel fait la une des faits divers avec ce pugilat. On se dit alors que Luka Rorchak est perdu. Et contre toute attente, il rebondit directement en Espagne. AprĂšs une saison magnifique avec Valence, il s’inscrit Ă  la Draft NBA. Son profil complet et son agressivitĂ© tapent dans l’oeil de Doc Rivers qui dĂ©clare : « On manque un peu de rage », quelques semaines avant cette fameuse Draft.

DraftĂ© en 28Ăšme position par LA, il arrive dans une Ă©quipe avec de nombreuses ambitions, au moins aussi grande que les siennes puisqu’il a dĂ©clarĂ© : « je serai titulaire avant la fin de l’annĂ©e ! ». L’espoir fait vivre.

Rapport des Scouts : Devra probablement quitter LA s’il veut tñter autre chose que des oranges

NĂ© Ă  Buenos Aires, d’un pĂšre irlandais et d’une mĂšre argentine, Federico Liam Stevens n’a que peu connu son pays natal. En effet, la grave crise Ă©conomique argentine obligea sa famille Ă  migrer en 2002, vers la Caroline du Nord Ă  Charlotte. Ses deux parents trouvĂšrent un poste Ă  Wells Fargo pendant que le gamin commença Ă  apprendre le basket et Ă  montrer du talent pour ce sport. Son potentiel fut remarquĂ© par Coach K bien que la plupart des experts ne voyait en lui qu’un talent moyen + (ndlr : classĂ© 86Ăšme potentiel Ă  la sortie du lycĂ©e).
Sa premiĂšre annĂ©e permit d’entrevoir son QI basket. VĂ©ritable couteau suisse, il joua un rĂŽle de sixiĂšme homme particuliĂšrement brillant lors de son annĂ©e rookie oĂč il tourna Ă  11.6 points, 4.2 passes et 6.1 rebonds. Coach K le persuada de rester une annĂ©e en plus. Il explosa dĂšs lors, montrant un niveau proche de la Nba et emmena Duke au titre avec une moyenne de 21.2 points, 5.8 passes et 6.3 rebonds.
Arriva le moment tant attendu des entretiens. Federico se montra sur de lui et arrogant mais derriùre cette facade, il n’avait qu’une ambition : Gagner et encore gagner. Danny Ainge la remarqua et lui assura que son choix de draft se portera sur lui.
Federico Ă©tait heureux d’avoir attirĂ© le regard des Celtics. La Green Army ne rĂȘvait que de victoires et avait trouvĂ© un nouveau soldat pour son objectif.

Rapport des Scouts : Un joueur solide qui devrait pouvoir obtenir quelques minutes dÚs cette année

Si tu connais High School Musical t’as sa vie. Sinon franchement tu perds pas grand-chose.

Rapport des Scouts : Je sais pas, j’ai pas vu la suite

Il arrive de Cleveland. Il a eu quelques dĂ©mĂȘlĂ©s judiciaire, apparemment suite Ă  quelques dĂ©bats houleux sur des forums internets. Sinon, bah il joue meneur. Enfin je crois.

Rapport des Scouts : Apparemment il aime bien perdre. Surtout qu’il se retrouve en concurrence avec un autre rookie en la personne de l’acteur. Aïe.

Jordan a vĂ©cu une enfance difficile. Avant d’ĂȘtre draftĂ© par les Sixers en 2015, un GĂ©nĂ©ral Manager disait de lui « Son histoire est une des plus incroyables que j’ai pu voir durant toute ma carriĂšre dans le monde du basket. Il y a eu tellement de fois dans la vie oĂč il a Ă©tĂ© poussĂ© vers le bas. À chaque fois il a remontĂ© la pente. À chaque fois que vous lui parlerez, bien qu’il n’aime pas parler de sa vie privĂ©e, vous avez le sentiment que ce gamin a de la grandeur en lui.».
Le pĂšre de Smith a abandonnĂ© la famille alors qu’il n’était un nourrisson. À 13 ans, vivant dans la banlieue de Chicago, sa mĂšre le chassa de chez lui. Lors d’une interview Jimmy disait que les derniers mots de sa mĂšre ont Ă©tĂ© « Je n’aime pas ton regard, va-t’en». Il passera toute son adolescence Ă  aller de maison en maison, souvent recueilli par des amis. Jusqu’à ce qu’à ses 17 ans, lorsqu’il croise Franck Chasing, un jeune joueur de basket et de football amĂ©ricain sur les terrains de basket-ball. Les deux lycĂ©ens s’affrontent dans un concours Ă  trois points et deviennent amis. Jimmy Butler en profite pour rester dormir le plus souvent possible chez Franck. D’abord rĂ©ticents, la mĂšre et le beau-pĂšre de Chasing, Ă  la tĂȘte d’une famille de sept enfants, finiront par l’accepter et il obtiendra une vraie place dans la famille. Il fait ses corvĂ©es et finit par devenir le huitiĂšme enfant de la famille.

Rapport des Scouts : Pourrait vite faire son trou en NBA. Mais aux 76ers


Zlatan ou l’homme qui vient de la banlieue
 souvent raillĂ© Ă  cause de sa taille (il faisait deja 1m70 en CM1, et a Ă©tĂ© virĂ© en 6Ăšme aprĂšs avoir dunkĂ© avec la prof de math 
), il a trouvĂ© sa voie grĂące au basket
 Avec un physique Ă  la Big Shaq il est dominant sous la raquette. DraftĂ© Ă  l’age de 19 ans du cotĂ© des Lakers il va dĂ©couvrir cette annĂ©e la franchise aprĂšs avoir Ă©tĂ© prĂ©tĂ© 2 ans Ă  nanterre. Il a une place Ă  prendre dans cette franchise mythique.
Hors football, Zlatan aime la bonne bouffe mais n’aime pas trop les pĂątisseries. Du coup, quand un bridĂ© presque aussi grand que lui l’aborde pour un Ă©clair au chocolat, Zlatan le prend mal et lui casse le nez. Cette histoire relayĂ© par les mĂ©dias a bien failli coĂ»ter sa place du cotĂ© de L.A. mais Kobe himself a voulu qu’il intĂšgre la franchise cette annĂ©e. N’en dĂ©plaise au pivot bridĂ© des Pacers, Zlatan jouera du cotĂ© de la franchise mythique cette annĂ©e !

Rapport des Scouts : Un taré de plus en NBA. Une trajectoire à la Crittenton en prévision.

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Non mais c’est hilarant, mon joueur avait cette gueule sur 2k14 :kobe:

Bien cette présentation.

NĂ© au coeur du grand ouest amĂ©ricain, Graham dĂ©bute le Basket Ă  la Lake City High School de sa ville natale. JugĂ© trop frĂȘle physiquement Ă  sa sortie de lycĂ©e pour les grandes facs, il se voit nĂ©anmoins offrir une scolarship par Boise State. AprĂšs une saison freshman discrĂšte, il se transforme physiquement et sa prĂ©cision longue-distance permet Ă  son Ă©quipe de se qualifier Ă  la March Madness lors de sa saison sophomore oĂč il est Ă©liminĂ© dĂšs le premier tour. SĂ©lectionnĂ© au 2Ăš tour de la draft par le Magic, il sera le back-up de Tobias Harris dans un premier temps. Bourreau de travail, il espĂšre bousculer la hiĂ©rarchie trĂšs rapidement.

Rapport des Scouts : Un mec Ă©quilibrĂ©, qui devra tout de mĂȘme travailler son shoot Ă  pour exploser.

Au dĂ©but il Ă©tait pas pris. Y’a eu des magouilles, paraĂźt mĂȘme qu’il est passĂ© sous le bureau. Et il est lĂ .

Rapport des Scouts : Rien de génial en lui, mais suffisamment de solidité pour espérer devenir un joueur NBA sur le long terme.

Murasakibara est nĂ© de l’union entre un ancien joueur professionnel japonais de J League et une joueuses expatriĂ©e. Elle passera par la franchise des Portland Fire en WBA pendant la saison 2001 avant de retourner au pays du soleil levant. ExtrĂȘmement grand, il dominait dans toutes les catĂ©gories de jeune au pays et claqua mĂȘme quelques records au niveau scolaire. Chose assez surprenante parce qu’il n’a pas vraiment d’amour pour ce jeu, y jouant simplement parce qu’il y est « assez bon » selon ses dires !
AprĂšs une premiĂšre annĂ©e sur le Campus de Hongƍ, Atsushi dĂ©crochera une bourse pour jouer chez les Washington Huskies dans la confĂ©rence PAC-12. Sauf que
 Bah c’est un peu la cata parce qu’il en a pas grand-chose Ă  foutre ! La bouffe dans le Washington lui rĂ©ussit pas des masses et il s’ennui au milieu de types qui ne parlent pas sa langue. Sur le terrain, Murasakibara utilise principalement sa taille pour attraper plusieurs rebonds, contrer et dunker, mais il est tellement dilettante qu’il prĂ©fĂšre rester en dĂ©fense et est Ă  la rue quand il s’agit d’amorcer la moindre contre-attaque !
Mais, lors de la March Madness, il est forcĂ© de jouer un peu plus sĂ©rieusement et devient un vĂ©ritable monstre pour UN match oĂč il claque son unique triple double : Points – Rebonds, Blocks. Un flash de talent qui interesse les recruteurs NBA en vue de la Draft Ă  venir
 Mais il foirera toutes ses interviews ! DĂšs que ça ne concerne pas le basket, il lui manque une case. On rencontre parfois des sportifs comme lui. Tout en possĂ©dant un talent Ă©vident dans un domaine, il est totalement incompĂ©tent pour tout le reste !
Hors basket, Murasakibara adore Ă©normĂ©ment les pĂątisseries. Du coup, il a cherchĂ© Ă  abordĂ© Zlatan Maestro pour connaitre le secret des français en pĂątisserie. Mauvais anglais ou « fucking bi gnose » qui ne comprend pas, son homologue de l’intĂ©rieur ne lui en ramenera jamais de Paris et çà Ă  frustrĂ© notre nippon qui n’a plus eu qu’une envie : lui Ă©craser la face ! A lui et Ă  tous les intĂ©rieurs français de la ligue d’ailleurs. Et çà commence par foutre Mahinmi sur la touche. Il n’avait qu’à partager les pĂątisseries !

Rapport des Scouts : No comment

NĂ© Ă  MontrĂ©al, QuĂ©bec, la famille de Wade dĂ©cide de bouger dans l’Ontario Ă  Toronto. C’est lĂ  qu’il dĂ©couvre le basket et se forge une rĂ©putation de jeune joueur talentueux et extrĂȘmement dĂ©terminĂ©, marchant sur les pas d’une autre star de “The Six” : Andrew Wiggins.
AprĂšs avoir fait son high school Ă  Vaughan, il change une nouvelle fois de ville, cette fois-ci pour Louisville oĂč il participera rĂ©guliĂšrement aux derniers tours du March Madness. Sa derniĂšre saison fut la plus prometteuse et lui a permis d’ĂȘtre sĂ©lectionnĂ© par la franchise de sa ville natale : les Raptors. Attendu comme le Messi, il aura fort Ă  faire dans une franchise jeune, mais encore tendre


Rapport des Scouts : Encore un Canadien. Il a tous les atouts pour faire de gros dĂ©gĂąts Ă  l’avenir !

Dam Kun est nĂ©. N’importe quoi. Et il a Ă©tĂ© draftĂ© aux Rockets.

Rapport des Scouts : Un profil trĂšs atypique pour un meneur, ça lui permettra peut ĂȘtre de s’imposer quelque part !

TJ est nĂ© Ă  Phoenix dans une famille de niveau social plutot faible, admiratif des richesse de la ville, il a su dĂšs le plus jeune age que seul le sport pourrait l’aider Ă  ne pas sombrer dans la dĂ©linquence et pouvoir conduire lui aussi les grosses cylindrĂ©es qui parourent les rue de la ville.
AttachĂ© Ă  sa ville natale, il porta les couleurs des Wildcats de l’Arizona pendant sa pĂ©riode universitaire.
Agressif en dĂ©fense et prĂ©cis au shoot il se fit une place de luxe dans le 5 universitaire et devient vite de symbole de cette universitĂ© en quĂȘte de “star”.
MalgrĂ© tout TJ garde les pieds sur terre et la chance fit qu’il fut draftĂ© au premier tour par la franchise de sa ville natale, les Suns.
Proche de sa famille, il se servit de ses premiùres paies pour mettre sa famille à l’abri dans les quartiers “riches” de la ville.

Rapport des Scouts : Un gars bien, lisse, qui travaille pour l’équipe : bonne pioche pour les Suns !

Elias est nĂ© Ă  Paris d’un pĂšre militaire qu’il n’a jamais connu et d’une mĂšre NorvĂ©gienne qui a fait carriĂšre au cĂ©lĂšbre cabaret du MOULIN ROUGE.
Le petit Elias s’est passionnĂ© trĂšs tot pour le basket en voyant les exploits de Jordan et compagnie. DĂšs qu’il l’a pu,il s’est inscrit dans le club de son coin. Ses anciens entraineurs se souviennent d’un joueur assez douĂ© pour les shoot longue distance et sa capacitĂ© Ă  multiplier les passes fantasques.
Lors des annĂ©es collĂ©ges, sa mĂšre a trouvĂ© un nouveau job dans un cabaret du cĂŽtĂ© d’Oklahoma City .
Il a donc intĂ©grĂ© le pole espoir d’OKC avant de partir Ă  l’UO. Il fini major de sa promo et capitaine de l’équipe de Basket avec un titre de champion universitaire au moment ou il quitte l’universitĂ© pour rejoindre la DRAFT.
Sa devise : Come to me and i’ll shoot you.

Rapport des Scouts : Le mec différencie pas son nom de son prénom, franchement tu veux que je te dise quoi de plus ?

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Alors quelques petites précisions :

Y’aura 2 posts pour la saison rĂ©guliĂšre (en gros jusqu’à Janvier puis jusqu’au PO).
Ensuite un ou plusieurs selon si certains de nos gars vont loin.
Un petit Top / Flop de la saison.
Un post intermédiaire sur les trades et autres transferts.

Et ça recommence.

De plus je pense prendre un ou deux gars par saison (ceux qui auront cartonnĂ© bien entendu, ou au contraire ceux en difficultĂ©). J’enverrai en MP 5-6 questions. Je compterai sur vous pour jouer le jeu et faire vivre le truc. ça sera une ou deux fois donc voilĂ  ^^ ! Merci d’avance ^^

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Cette coiffure!!! Classe ^^

La tĂȘte de @typon ! :aulas3:

Super prĂ©sentation pour l’heure ! Belle brochette de vainqueurs potentiels !

@Bnj : je vais te Zlatanner !

Et ça veut dire quoi ce “no comment” ? C’est parce que je suis jaune c’est ça ?

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C’est parce que t’es trop mauvais

Super propre :laporte:
J’aime assez la mention “teigneux” ça me va bien.

On touche pas à mes coéquipiers

Excellent cette prĂ©sentation !!! Je vais ĂȘtre un All-Star les scouts se trompent !!!..ou pas !

:sac:

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Belle présentation :clooney2:

Est ce que l’on aura droit d’éventuellement te soumettre des trucs par MP ? Genre interviews, faits divers, naissance de girafon qui porte le nom de notre personnage pour saluer sa gloire ?

Et plus important, est ce que @SPOW3 peut ĂȘtre mon agent ? :clooney2:

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Putain mais ce mec :hoho:.

Nom de film porno ou d’acteur porno qui remporte les Hot d’Or aussi ?

Je serai ton agent !

Enorme la prĂ©sentation, j’adore
@Potaval t’es mort

Tout joueur des Lakers doivent ĂȘtre humilliĂ©

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Sans problĂšme pour l idĂ©e! @Potaval juste pour la premiĂšre saison je mettrai qu’ un rĂ©sumĂ© vu le peu de minutes jouĂ©s par tous

Attends, je suis japonais moi ! Trois minutes en NBA et je suis une star au pays !

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Résumé de la premiÚre Season !

Retour sur les dĂ©buts des jeunes rookies de la NBA. Il y’a eu de belles histoires, une surtout qui nous emmĂšnera loin. Et puis, comme d’habitude, il y’a eu les recalĂ©s. Pour commencer, en milieu de saison, le jeune :arg: Dam Kun dĂ©cide que les Rockets se sont assez foutus de lui et de son talent. Et le voilĂ  qui fait ses valises, direction le Jazz, histoire de retrouver un peu de temps et de jeu et de rythme.

Dans cette saison il y’a eu 3 styles de joueurs :

Ceux qui n’ont (presque) pas eu leur chance :

Car mĂȘme au Jazz, :arg: Dam Kun n’a pas pu montrer son talent. Et pourtant, lors de son seul match le voilĂ  qui tape 5 points en 8 min. Mais la saison Ă©tait dĂ©jĂ  lancĂ©e, et le pauvre n’a pu rattraper le retard. EspĂ©rons que la prochaine saison soit plus intĂ©ressante.

Oui :us: TJ a eu du mal. Quelques petites minutes en fin de match, rien de bien folichon dans une équipe qui a eu du mal à faire valoir ses atouts dans une conférence trop dense pour eux.

Oui l’homme au nom imprononçable :jap: est devenu une lĂ©gende chez lui. En NBA, pas encore ça


AĂŻe
 Aucun match, aucune minute mĂȘme. Rien, rien rien
 :nor: Mats va devoir vraiment rĂ©flĂ©chir Ă  son avenir, en espĂ©rant qu’il puisse vite rebondir, aux Lakers ou ailleurs.

Et de deux. Deux hommes avec zĂ©ro minute. Le pauvre :us: Hugo pensait qu’en signant dans une Ă©quipe aussi faible que les 76ers, il aurait sa chance. Mais trop de concurrence car trop de “futurs talents”. Dur.

:us:Duane n’a pas fait mieux aux 76 ers. A croire que cette destination n’était pas la meilleure pour exploser.

Elias :fra: n’a pas eu sa chance non plus mais cela semble plus logique dans une Ă©quipe avec la densitĂ© d’OKC.

5 petits matchs, mais on a vu sur ceux-ci que :arg: Federico Liams avait clairement la hargne nĂ©cessaire pour s’imposer en NBA.

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