đŸ‡«đŸ‡· Olympique de Marseille

Je reste persuadĂ© que Wahi va exploser. Peut ĂȘtre pas Ă  l’OM mais il a du talent

Ça parle de plus en plus de Pogba.
Mais mĂȘme en mettant de cĂŽtĂ© l’aspect financier, je vois pas comment on peut Ă©voluer tactiquement avec lui ?

Il ne peut pas jouer avant mi-mars (il ne restera que 9 matchs de championnat et, potentiellement, demi et finale de CDF si on est encore en course, donc 11 match tout au plus). Si on le fait, c’est surtout dans l’optique de l’avoir l’annĂ©e prochaine Ă  mon avis.

Sachant qu’il y a 99% de chance que Rabiot ne soit plus lĂ  l’annĂ©e prochaine. (Le seul scenario possible, c’est d’ĂȘtre champion et de lĂącher du lourd ensuite, mais bon, on ne va pas trop rĂȘver)

En rotation pour finir la saison et lui refaire la santĂ© et il prendrait la place de Rabiot dans le milieu l’annĂ©e prochaine. Et ça reste intĂ©ressant pour entourer nos jeunes, vendre du maillot, faire parler du club etc.

À voir à quel point il est gourmand par contre.

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Pourquoi ça ?

Il n’a signĂ© que deux saisons.

Mais aussi parce que c’est Rabiot et qu’on est encore loin d’ĂȘtre un club de son niveau. (Et qu’il a fait des efforts salariaux important malgrĂ© le fait qu’il est notre joueur avec le plus gros salaire)

Le mec est supposé jouer à United, Arsenal, Juve, Milan, Real etc. Les gros gros clubs.

Je pense que suivant notre classement et les promesses de recrutement pour l’annĂ©e prochaine, il restera.

MĂȘme chose pour Greenwood.

S’ils Ă©taient vraiment autant demandĂ©s, ils seraient pas ici de base.

On recrute des gros noms, de trÚs bons niveaux mais qui sont indésirables ou en manque de forme.
Typiquement les joueurs que les gros clubs ne veulent pas risquer de recruter.

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Griezmann qui fait une saison dans son club de cƓur avec deux potes de l’EDF avant de partir à LA ? :eyes:

Selon RMC : Passage devant la DNCG sans aucun soucis. Aucune mesure.
Ça annonce aussi un dĂ©but de rapprochement entre Pogba et le club. Pogba veut l’OM.

DĂ©tail important, on a dĂ©calĂ© beaucoup de fric Ă  l’annĂ©e prochaine sur les achats. Donc Ă  mon avis, on a BESOIN de la LDC sans quoi, ca risque de piquer.

Pourquoi il n’y est pas alors ?

Je pense que vous le voyez bien trop beau Rabiot.

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C’est tout ce que j’ai à dire à propos de cette opinion. :sac:

Je ne dis pas qu’il doit y ĂȘtre en tant que titulaire indiscutable, mais le mec n’était pas juste titulaire Ă  la Juve, il Ă©tait aussi co-capitaine.

Il y a beaucoup de circonstances qui font qu’il a glissĂ© entre les doigts de certains gros clubs.

Les nĂ©gociations avec Manchester United n’ont pas abouti (son clan voulait trop selon le club). Le Real ne l’avait qu’en option trĂšs trĂšs secondaire


De ce qui Ă©tait sorti, il a voulu signer au Milan, mais ça ne s’est pas fait parce qu’ils n’ont pas pu se sĂ©parer de Bennacer Ă  temps parce qu’on n’a pas pu sortir Veretout Ă  temps. Sinon, Rabiot serait au Milan AC actuellement et Bennacer serait chez nous. Une fois que ces clubs ne pouvaient plus lui offrir de place pour les coupes d’Europe, aucune raison ni pour eux ni pour lui d’y aller (remise en forme, salaire, rotations, etc) comparĂ© Ă  notre offre de le remettre dans le bon sens, retrouver un poste de titulaire et l’EDF facilement.

EDIT : l’Equipe →

Selon la presse anglaise, Liverpool se serait positionnĂ© pour enrĂŽler Adrien Rabiot, Ă  l’instar d’Arsenal et de Newcastle. L’AS Rome, qui avait dĂ©jĂ  failli recruter le joueur en 2014, se serait aussi mis sur les rangs, tandis que le Bayern Munich, avec sa tradition française, resterait Ă  l’affĂ»t.

AprĂšs, le coup des nĂ©gociations, c’est fou parce que c’est super bien passĂ© avec nous. :hoho:

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J’essaie de me mettre au niveau de certains du forum en troll de l’OM, mais c’est trĂšs peu Ă©vidant. On a de gros concurrents avec ceux sur l’OL ici.

Mais j’apprends de jour en jour. :longoria:

Je pense que vous le voyez bien trop nĂ©gativement Ă  cause de son extrasportif. Il n’est pas parfait sur le terrain mais en EDF typiquement on voit bien pourquoi c’est toujours un cadre de Deschamps, il apporte vraiment beaucoup dans la majoritĂ© des domaines du jeu.

Il n’est pas titulaire dans un top club europĂ©en mais il a certainement sa place dans un rĂŽle de sub/supersub. C’est justement ce qui coince d’ailleurs dans les nĂ©gos, il se voit comme un titulaire.
Perso au Real je le prends tous les jours.

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Le gros coup de clim de Benatia dans LaProvence sur sa prolongation faite Ă  99% selon RMC. :clim:

Article 1 - Medhi Benatia, sans filtre

Article 1 - Ici, ce n’est jamais simple

le club est donc toujours repli de :snake: :snake: :snake: 



ITW de Nasri - Avec Medhi, on s’est connu dans la galùre...

J’ai vu/lu l’article de Benatia qui parle de nettoyage interne, mais concrĂštement, c’est quoi comme problĂšmes d’intĂ©rĂȘts qui vous parlent le plus en tant que suiveurs du club ?

Car il y a des citations qui sont dingues quand mĂȘme :

"Il y a peut-ĂȘtre des gens qui ont des crĂ©dits sur 20 ans, qui sont Ă  l’OM, qui voient des transferts de 15 ou 20 M€, ça peut monter Ă  la tĂȘte. Je n’accepte pas de travailler avec des gens comme ça. Peut-ĂȘtre que je ne gagnerai rien avec l’OM, mais j’aurai servi Ă  nettoyer tout ça, Ă  l’amĂ©liorer. Aujourd’hui, avant mĂȘme de parler de contrat, je veux donc savoir si on peut travailler correctement, si c’est sain, si on est sĂ»r que chacun veut bosser dans l’intĂ©rĂȘt de l’OM "

« Dans ce club, quand tu fais un pas en avant, tu en fais deux en arriĂšre. Ce n’est jamais simple, spĂ©cialement ici, dans le bĂątiment administratif. Â»

« Ă‡a se passe partout, mais ici peut-ĂȘtre un peu plus qu’ailleurs. Ça, je ne peux pas. Personne n’en parle en principe, mais moi je vous le dis car je n’en ai rien Ă  cirer. Â»

Les rumeurs, c’est que c’était surtout dirigĂ© envers la directrice gĂ©nĂ©rale.

Il se dit que c’est elle qui aurait contactĂ© des politiciens et personnalitĂ©s pour mettre de la pression afin d’annuler les venus de Greenwood et Attal.

Ça parle aussi de divergences sur l’utilisation des voitures de fonction, des tenues officielles, de certains postes sportifs qu’on a ajoutĂ© avec l’arrivĂ©e de RDZ et d’autres sujets
 Il parait qu’elle veut prendre de plus en plus de place en voulant placer des proches Ă  des postes clĂ©s. Ça a parlĂ© de « StĂ©phane Tessier bis Â» cotĂ© RMC.

Il y a souvent eu des personnes dans le club qui tentent de place untel et untel pour glaner du pouvoir et de l’argent, en oubliant totalement que le sportif doit passer en premier. Là apparemment, toujours selon RMC, pas mal de monde devrait sauter et le club se resserrera autour du quatuor Longoria, Benatia, De Zerbi, Ravanelli.

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Merci à lui d’avoir mis de vrais mots sur les jeunes et les proches du centre de formation, ça fait du bien.

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:newspaper_roll:Neal Maupay : « Je pense que si j’en suis lĂ  aujourd’hui, c’est en grande partie grĂące Ă  mon caractĂšre. Ici, si tu n’as pas de personnalitĂ©, tu peux vite ĂȘtre mangĂ© quand ça se passe mal. En tant que footballeur, ce serait une perte de temps de jouer un rĂŽle. Je vois des anciens coĂ©quipiers qui ne sont jamais eux-mĂȘmes. Le football est aujourd’hui trĂšs aseptisĂ©, c’est triste. Je n’ai pas envie de changer qui je suis, un mec normal. »
:point_right:t3:Neal Maupay sur Elye Wahi : « Il a toujours le sourire aux lĂšvres et s’entraĂźne bien. Il a d’énormes qualitĂ©s, j’en parlais avec lui rĂ©cemment. Il n’a que 21 ans et vient d’arriver Ă  l’OM, avec ses qualitĂ©s, la rigueur inculquĂ©e par le coach et les joueurs du groupe qui poussent tout le monde vers le haut, je suis sĂ»r qu’il va rĂ©ussir. » (@lequipe)

La compo probable de l’OM face à Lille:
Rulli - Murillo, Balerdi, Kondogbia - Luis Henrique, Hojbjerg, Rongier, Merlin - Greenwood, Maupay, Rabiot (@flogermain)

Quelle compo surprenante. 11_gif

DE ZERBI BOUGE LES LIGNES

À l’OM comme dans ses prĂ©cĂ©dents clubs, l’entraĂźneur italien impose son style particulier sur l’équipe. Comment s’y prend-il au quotidien ?

Avant mĂȘme qu’il ne pose un pied Ă  la Commanderie, Ă  la fin du mois de juin dernier, la rĂ©putation de Roberto De Zerbi avait fait le tour de Marseille. L’Italien charrie avec lui une certaine idĂ©e du jeu et quelques Ă©tiquettes aussi, le roi des sorties de balle parfaitement soignĂ©es, l’amoureux de l’offensive, le gros caractĂšre capable de hausser le ton d’un coup si l’entraĂźnement ne se dĂ©roule pas comme il le voudrait, l’énorme travailleur passionnĂ© par son mĂ©tier. PrĂšs de six mois plus tard, les Marseillais peuvent confirmer que beaucoup de ces concepts se vĂ©rifient de visu, eux qui ont dĂ©couvert au quotidien cet entraĂźneur Ă  la philosophie bien arrĂȘtĂ©e et Ă  la personnalitĂ© entiĂšre, qui prĂ©fĂšre dire les choses clairement, comme on claque une passe qui va casser les lignes adverses. Sur le terrain, l’effet est Ă©vident et se confirme au fil des semaines.

PAS DE TEMPS À PERDRE

Les joueurs ont vite compris qu’il allait y avoir du boulot avec celui qui est dĂ©crit selon ses proches comme obsĂ©dĂ© par son sport matin, midi et soir : « Il vit pour le football et il n’y a rien de plus important pour lui, Ă  part sa famille et ses cigarettes », sourit l’un d’eux. Le nouveau coach (45 ans) n’avait pas encore rencontrĂ© physiquement son effectif que chaque membre de l’effectif avait reçu un court montage vidĂ©o personnalisĂ© de plusieurs minutes, pour indiquer le chemin Ă  suivre. Le staff avait compilĂ© pour chacun des images de joueurs au mĂȘme poste, dont certains anciens des Ă©quipes de De Zerbi, pour un premier aperçu de ce que seraient les consignes et les points Ă  travailler, le systĂšme de jeu et les rĂ©flexes Ă  prendre. L’Italien, qui savait l’ampleur du chantier Ă  l’intersaison avec un groupe largement remaniĂ©, ne voulait pas perdre de temps, convaincu que l’OM pourrait viser le trĂšs haut du tableau du Championnat dĂšs cette saison.

AuprĂšs du prĂ©sident Pablo Longoria, au-delĂ  des Ă©changes quotidiens sur le mercato estival, De Zerbi a une demande prioritaire pour ses sĂ©ances d’entraĂźnement : l’achat d’un rĂ©troprojecteur, aujourd’hui installĂ© prĂšs du terrain principal, pour montrer prĂ©cisĂ©ment aux joueurs ce qu’il souhaite, une mĂ©thode qu’il avait mise en place lors de son passage au Chakhtior Donetsk, quand la barriĂšre de la langue rendait l’utilisation de l’image plus efficace. À l’OM, oĂč la communication est plus simple, l’écran est dĂ©roulĂ© au moins une fois par semaine pour travailler les placements sur coups de pied arrĂȘtĂ©s.

UNE EXIGENCE MAXIMALE À L’ENTRAÎNEMENT

Pour les rescapĂ©s de la saison derniĂšre, le changement a Ă©tĂ© radical avec le passage de Jean-Louis Gasset (fĂ©vrier-juin 2024), surtout occupĂ© Ă  redonner confiance et sourire Ă  des joueurs Ă©prouvĂ©s. De Zerbi ne plaisante pas avec les entraĂźnements, qu’il veut aussi intenses que les meilleurs matches. Si le staff est plĂ©thorique et qu’il dĂ©lĂšgue beau- coup, les sĂ©ances sont toujours animĂ©es par le « Mister » lui-mĂȘme. Il se place au cƓur du jeu, comme le milieu de terrain qu’il Ă©tait, et peut montrer les beaux restes de son pied gauche pour initier les circuits de passes qu’il applique avec une prĂ©cision millimĂ©trique. Ces sorties de balle depuis la surface sont rĂ©pĂ©tĂ©es et rĂ©pĂ©tĂ©es encore jusqu’à devenir des automatismes, dans des longues sĂ©ances sur terrain rĂ©duit ou bien de « onze contre zĂ©ro », c’est-Ă -dire une opposition contre personne, un exercice cher aux entraĂźneurs italiens pour peaufiner les rĂ©glages et donner aux joueurs les bons rĂ©flexes dans toutes les situations de jeu.

Chacun doit ĂȘtre au bon endroit au mĂštre prĂšs, sinon il se fait littĂ©ralement attraper par le coach, qui corrige sa position et peut s’énerver si, par exemple, une passe n’arrive pas sur le bon pied du coĂ©quipier. Alors, il lĂąche quelques jurons en italien, qui ont parfois choquĂ© certains de ses jeunes joueurs.

À chaque contrariĂ©tĂ©, il interrompt la sĂ©ance et cela peut s’éterniser, du coup. « J’ai dĂ©couvert pas mal d’exercices que je n’avais jamais faits avant, tĂ©moigne Neal Maupay. Ce n’était pas aussi prĂ©cis, aussi poussĂ©, dans mes clubs prĂ©cĂ©dents. Ça se voit, d’ailleurs, ça commence Ă  prendre forme. On passe du temps, on peut trĂšs bien s’entraĂźner pendant deux heures, deux heures trente sur le terrain, parce que le coach veut mettre en place quelque chose. Et tant que toute l’équipe n’a pas compris, on continue, on rĂ©pĂšte. » Cela pourrait ĂȘtre rĂ©barbatif, mais les joueurs adhĂšrent, parce que De Zerbi a une Ă©nergie, une passion et un charisme qui donnent envie de le suivre, et parce que les sensations sont bonnes en match, surtout, comme lors de la victoire Ă  Saint-Étienne (0-2, le 8 dĂ©cembre), quand l’équipe a reproduit les schĂ©mas travaillĂ©s pendant la semaine. Et, s’il est trĂšs pointilleux sur les sorties de balle, l’Italien laisse leur libertĂ© aux joueurs dans les trente derniers mĂštres, oĂč la crĂ©ativitĂ© peut s’exprimer sans limite. « Je n’ai pas envie de contrĂŽler mes joueurs avec une manette de console de jeux, expliquait-il il y a deux semaines. Je veux qu’ils aient de la libertĂ©. Mais une Ă©quipe, ce sont onze joueurs, donc il faut des rĂšgles que tout le monde doit suivre, sinon cela devient l’anarchie. »

UN FRANC-PARLER QUI SECOUE

De Zerbi a des idĂ©es claires sur ce qu’il dĂ©sire mettre en place, et il a aussi une maniĂšre assez directe de l’exprimer. CaractĂšre entier et transparent, il peut surprendre par des dĂ©clarations for-tes, comme quand il lançait Ă  ses dirigeants, puis en confĂ©rence de presse, aprĂšs la dĂ©faite Ă  domicile contre Auxerre (1-3, le 8 novembre) : « Si c’est moi le problĂšme, je suis prĂȘt Ă  partir. »

Les joueurs ne sont pas mĂ©nagĂ©s, eux non plus, ils peuvent ĂȘtre fĂ©licitĂ©s ou tancĂ©s, et les Ă©changes sont nombreux avec l’entraĂźneur, qui assure un retour trĂšs rĂ©gulier sur les performances des des uns et des autres. DĂšs ses premiers matches, De Zerbi a Ă©tonnĂ© par sa franchise juste aprĂšs la rencontre, quand il expliquait Ă  la presse que tel ou tel joueur n’avait pas rĂ©ussi sa soirĂ©e. Mais les intĂ©ressĂ©s avaient dĂ©jĂ  Ă©tĂ© prĂ©venus, Ă  chaque fois, car l’Italien mĂšne souvent un premier dĂ©briefing Ă  chaud, dans le vestiaire, et pas toujours pour distribuer les bons points. Amir Murillo, Jonathan Rowe, Mason Greenwood, remplacĂ© dĂšs la pause contre le PSG au VĂ©lodrome (0-3, le 27 octobre), Elye Wahi, Leonardo Balerdi


Ils sont nombreux Ă  avoir eu droit aux bretelles remontĂ©es, et Lilian Brassier se souviendra longtemps de ses premiers mois avec De Zerbi. L’ancien Brestois avait Ă©tĂ© encouragĂ© aprĂšs le match remportĂ© Ă  Toulouse fin aoĂ»t (« Ă©coute-moi, et tu deviendras un international, tu n’es qu’à 30 % de tes capacitĂ©s », lui avait dit, en substance, son entraĂźneur), et il est tombĂ© de quelques Ă©tages pendant la trĂȘve d’octobre, lors d’une sĂ©ance. De Zerbi l’a pris Ă  partie en dĂ©signant un jeune venu renforcer le groupe en l’absence des internationaux : « Tu le vois lui ? Il est avec nous depuis trois jours et il comprend mieux mes consignes que toi qui es avec moi depuis trois mois ! » Le dĂ©fenseur a eu du mal Ă  digĂ©rer, mais il devrait : De Zerbi peut changer d’avis et n’est jamais fermĂ©, comme le montre son nouveau schĂ©ma tactique. Il ne veut qu’une chose : gagner, Ă  sa maniĂšre.


Wahi → :cartman: