đŸŽ™ïž On refait le foot !

Il y a un classement du Ballon d’Or qui aurait fuitĂ©.

1 « J'aime »

Ne pas le donner Ă  Messi mais le donner Ă  Lewy qui martyrise les clubs affiliĂ©s du Bayern toute l’annĂ©e mais n’en glande pas une Ă  l’euro c’est quand mĂȘme un concept Ă©trange.

J’en fais trop ? :sac:

3 « J'aime »

Messi et Ronaldo ont tellement pĂ©tĂ© ce qu’était le ballon d’or je trouve
 DĂ©jĂ  anormal qu’aucun espagnol ne l’ait eu pendant leur domination mondiale et lĂ  il Ă©chapperait Ă  Jorginho qui a tout gagnĂ© cette saison


2 « J'aime »

Mais le BO c’est pas juste le donner au mec qui se retrouve avec le plus de trophĂ©es :no:

Jorginho Ă©tait ni le meilleur joueur de Chelsea, ni de l’Italie. Le sacre italien est avant tout collectif, et si un nom devait ressortir ce sera Gigio ou Chiesa. A Chelsea un mec comme KantĂ© a Ă©tĂ© bien plus en vue.

Si Varane l’a pas eu, il n’y a pas de raison que lui non plus.

Enfin pour moi de toute façon il est pour Messi encore. Et si Lewan l’a, ce sera compensation de l’an dernier


Je le donnerai Ă  Declan Rice.
Et je suis totalement objectif et neutre :no:

2 « J'aime »

Ou à Lucas Paqueta, étant aussi totalement neutre.

Luiz Araujo me semble plus méritant les gars :no:

Navas doit le gagner tellement il a portĂ© l’équipe.

Magnifique. :laporte:

1 « J'aime »

Ca va encore lui revenir en pleine tronche en mode racisme anti-blanc, mais j’ai le sentiment que ce qu’il dit, on est encore nombreux à avoir besoin de l’entendre.

Et au passage, j’avais pas vu passer les diffĂ©rentes prises de positions de Jordan Henderson. C’est chose faite. Cap’tain. :tophat:

3 « J'aime »

Lens, Lyon, Reims, Clermont
 comment l’acadĂ©mie Jean-Marc Guillou
exporte ses talents vers la Ligue 1

Plusieurs clubs de L1 se tournent vers l’acadĂ©mie basĂ©e au Mali et en CĂŽte d’Ivoire pour parfaire leur recrutement. 20 joueurs Ă©voluent dans l’élite.

Avec l’Afrique, la Ligue 1 a une connexion historique. L’AlgĂ©rie, le SĂ©nĂ©gal, le Mali ou la CĂŽte d’Ivoire et bien d’autres pays envoient depuis de nombreuses annĂ©es leurs talents en France et cela devrait durer encore de nombreuses annĂ©es.

Dans ces anciennes colonies françaises, et un peu partout sur le continent, de nombreuses acadĂ©mies se sont dĂ©veloppĂ©es pour former les talents de demain. Diambars, Dakar SacrĂ© Coeur au SĂ©nĂ©gal ou JMG Mali et CĂŽte d’Ivoire sont les plus connues.

Cette derniĂšre exporte chaque annĂ©e de plus en plus de talents vers l’Europe et l’Hexagone : Sinaly DiomandĂ© et Habib Keita Ă  Lyon, Cheick DoucourĂ© et Mamadou Thiam Ă  Lens, Alidu Seidu, Salis Abdul Samed et Gnalega Ă  Clermont ou encore FodĂ© DoucourĂ©, Saiba Dabo, Moussa Doumbia, Kamory Doumbia, Bourama Diarra Ă  Reims. Sans oublier Hamary TraorĂ© (Rennes), Cheick Niasse (Lille) ou Hishem Boudaoui et Youssef Atal (Nice), entre autres.

Au total 20 joueurs formĂ©s dans les acadĂ©mies Jean-Marc Guillou Ă©voluent dans des clubs de l’élite entre l’équipe premiĂšre et la rĂ©serve. Comment expliquer cela ? D’abord parce que les premiĂšres promotions du projet malien ont Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©es Ă  partir de 2014 et qu’entre 2019 et 2021, 75% des joueurs de la formation ont trouvĂ© un club professionnel.

Un passage par les Ă©quipes rĂ©serves pour s’adapter

Ensuite par ce lien historique qui unit les deux continents. Mais aussi grĂące au nombre d’internationaux qui Ă©voluent en L1 depuis de nombreuses annĂ©es. « Que ce soit au Mali ou au SĂ©nĂ©gal, les gens ne regardent pas la Premier League ou la Liga mais le championnat de France. Il y a aussi un lien avec la langue française. Ce sont des critĂšres importants dans un objectif de post formation » , note Vincent Dufour, directeur des acadĂ©mies Jean-Marc Guillou.

Depuis plusieurs années, la politique de trading mise en place par de nombreux clubs français a aussi amené les scouts et les directions sportives à se tourner vers les académies africaines.

En Europe, le Red Bull Salzbourg a fait partie des premiers avec des joueurs comme Diadie Samassekou ou Amadou HaĂŻdara. Et trois autres prospects issus de JMG y Ă©voluent encore. Dans une optique de post formation, plusieurs clubs français ont choisi aussi de se tourner vers l’Afrique.

Reims en a fait l’un des piliers de sa stratĂ©gie pour le groupe pro 2 depuis quatre saisons. « Quand on recrute des joueurs Ă  JMG ou ailleurs, on leur donne un contrat pro mais on ne les jette pas dans le grand bain. On les met en couveuse pour qu’ils aient le temps de s’adapter puis on les fait monter petit Ă  petit » , explique Mathieu Lacour, directeur gĂ©nĂ©ral du Stade de Reims dont les Ă©quipes se rendent trois Ă  quatre fois par an en Afrique.

Des agents identifiés

Lyon a fait de mĂȘme avec Sinaly DiomandĂ© et Habib KeĂŻta avant de leur donner l’opportunitĂ© de jouer avec l’équipe premiĂšre, tout comme Lens avec deux autres joueurs. « Notre formation est notre prioritĂ© mais il y a une vraie attache avec les joueurs africains qui s’adaptent trĂšs bien et qui sont un trĂšs bon complĂ©ment pour la rĂ©serve, souligne le directeur sportif lensois Florent Ghisolfi. C’est dans cette optique que nous avons recrutĂ© Cheick DoucourĂ©, qui a fait six mois avec notre Ă©quipe B et Mamadou Thiam cet Ă©tĂ©, car on cherchait un latĂ©ral droit pour notre rĂ©serve. »

Comme eux, la plupart des recrues qui rejoignent la France n’ont jamais Ă©voluĂ© en pro mais sont arrivĂ©es moyennant un transfert. Et de leur bonne adaptation dĂ©pend un retour sur investissement.

Alors que certaines formations sont prĂȘtes Ă  mettre les moyens en faisant des offres trĂšs correctes, un autre point les a poussĂ©es Ă  se tourner vers l’acadĂ©mie Jean-Marc Guillou : la dĂ©signation par l’école de football d’agents rĂ©fĂ©rents qui prĂ©sentent les profils aux clubs et qui participent aux nĂ©gociations de transfert avec les clubs. « C’est plus simple que lorsque des clubs ont voulu travailler avec des agents sans foi ni loi, prĂ©cise Vincent Dufour. Notre collaboration avec Blackskill, elle est fiable, parce que les clubs savent Ă  quoi s’en tenir et on a beaucoup plus de sollicitation pour venir voir des joueurs qu’avant. »

Finis donc les nombreux intermĂ©diaires qui viennent promettre aux footballeurs africains monts et merveilles en Europe. « C’est un point positif Ă  partir du moment oĂč ils sont saints comme ça ce n’est pas la jungle autour des joueurs de l’acadĂ©mie et que la relation avec les clubs est fluide et honnĂȘte. C’est le cas aujourd’hui », explique Florent Ghisolfi. « C’est agrĂ©able d’avoir des interlocuteurs identifiĂ©s quand il s’agit de recruter un joueur qui nous intĂ©resse » , ajoute Mathieu Lacour. Dans ces conditions, d’autres joueurs de JMG devraient rejoindre la France l’étĂ© prochain. Et la liste de noms devrait encore s’allonger.

On dirait un article de 2004.

TrÚs intéressant.

2 « J'aime »
7 « J'aime »

:blink:

1 « J'aime »



f3

Source: le jdd

1 « J'aime »

foot.PNG

Source: l’Equipe

Et bien entendu il est pas dans n’importe quel club non plus :hoho:

Comment s’en sort Jonathan Hitler ? :sac:

3 « J'aime »

Mussolini Ă  la Lazio, c’est priceless quand mĂȘme.
Jonathan Hitler joue Ă  Nuremberg je suppose :sac:

KĂ©vin PĂ©tain Ă©tait trop bon pour Vichy, du coup l’OL c’était plus simple ?

2 « J'aime »