Netflix

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Ca a l’air pas mal.

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Awake (2021)

Ma culture ciné étant trop faible, je ne pourrais pas affirmer quel film a lancé cette vague de films à concept à la Quiet Place où il ne faut pas faire de bruit, Bird Box où il ne faut pas regarder n’importe qui. Awake joue sur le sommeil, ou plutôt l’absence de sommeil. Ces films cartonnent et tout le monde tente son idée.

Netflix arrive avec Awake qui a une idée moins alléchante. Néanmoins le film pose assez vite sa promesse : on ne peut pas rester en vie très longtemps sans dormir. On détaille même qu’après x heures des barrières morales sautent, du coup on devine assez vite le déroulé du film.

Le film a deux bonnes idées: il y a un compte à rebours, dans quelques jours tout le monde va mourir, sauf Matilda. Et pendant ce temps-là, Jill doit accélérer l’apprentissage de Matilda pour qu’elle s’en sorte quand elle ne sera plus là. On pourrait rajouter qu’avoir des acteurs avec des gueules de déterrés qui errent comme des zombies après quelques jours offre un petit bonus qui est sympa.

Mais derrière ça, on a un enchaînement de scènes qui marchent moyennement, on s’ennuie parfois, à d’autres moments l’action monte mais on s’en fout un peu. La tension ne fonctionne pas vraiment, des personnages passent mais ne sont pas vraiment intéressants ou bien développés. C’est assez fade en gros.

La solution était assez vite évidente mais on peut comprendre que les personnages, après quelques jours sans sommeil aient du mal à trouver.

J’en attendais rien, ça sentait le projet opportuniste, le début m’a agréablement surpris mais on décroche au fil des minutes.

 

Source: le parisien

Fini Atypical avec cette saison 4

La série a été moins inspirée en terme d’humour, on se marre beaucoup moins de saison en saison, mais le drama est devenu plus supportable de saison en saison aussi. C’est pas parfait, mais ça s’enchaîne bien pour se détendre.

Le dernier épisode rempli le contrat avec des adieux simples mais touchants.

Ok pour L’homme de l’Eau.

Très belle aventure philosophique fantastique. Ca tarde à se déployer, un peu ennuyeux au début mais la deuxième partie est bonne, les acteurs très bons et le scénario original. Très bonne réalisation et interprétation de David Oyelowo.

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"Sophie", l’affaire Toscan du Plantier

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Documentaire en trois parties, disponible depuis le 30 juin qui revient sur le meurtre de la femme du producteur de cinéma en 1996. Elle dresse un portrait déchirant de la victime et donne également la parole au principal suspect. Tout simplement, Sidérant pourquoi ? Ian Bailey, le principal , condamné en France mais non extradé par l’Irlande, est l’un des principaux intervenants à l’écran, presque 25 ans après les faits ?
Sophie Toscan du Plantier, mondaine mais aussi solitaire, est venue se ressourcer dans sa maison irlandaise face à la mer. On sait que ce soir-là, elle a ouvert la porte à quelqu’un. Ses clés sont restées dans la serrure, à l’intérieur, quand la porte s’est refermée pour toujours derrière elle. Le livre qu’elle lisait est resté ouvert sur la table de la cuisine. Elle a été traînée dehors, massacrée, après s’être défendue.
Une part du mystère tient à l’incompétence de la police locale irlandaise, qui n’a pas sécurisé la scène de crime, et a perdu certains éléments clés (un portail oui oui le portail d’entrée). Le Comté de Cork n’avait pas connu le moindre meurtre depuis un siècle… On entre ensuite dans le roman noir : le premier journaliste sur les lieux, celui qui accueillera très vite ses confrères français, s’appelle Ian Bailey, un Anglais ombrageux qui s’est retiré dans ce coin d’Irlande si sauvage qu’il en est difficile d’accès. Très vite, tout confond le journaliste local. Il en sait trop. Il a des marques profondes sur le visage et les bras. Pourquoi nettoie-t-il son long manteau noir dans un seau d’eau un 24 décembre ? Et ce feu où il a fait disparaître des vêtements ? La série nous fait aussi entrer dans le cerveau d’un pervers narcissique sans remords, qui jouit de sa propre médiatisation.

Portrait déchirant d’une femme médiatique tuée là même où elle aimait fuir le monde, récit du combat d’une famille, thriller qu’aucun auteur n’aurait pu imaginer, « Sophie » provoque aussi une énorme colère à l’heure où la violence faite aux femmes choque bien plus qu’il y a vingt ans.

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J’ai séché la saison de Close enough, par le créateur de Adventure Time, très bon si vous aimez l’humour débile.

je m’y suis finalement mit, il me manquait quelques détails mais j’avoue qu’entre les journalistes et le commissaire de police sans parler du juge ça donne quelques envies de violence

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J’ai trouvé le doc vachement bien foutu et hyper immersif aussi.
Par la suite je me suis lancé dans l’affaire Maddie et c’est tout de suite moins bon.

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Le docu sur l’affaire Maddie, c’est pas le moins bon qui prédomine, c’est le part pris qu’on découvre qui rend le documentaire un peu moins immersif.

Le mec de Paris Match il est juste insupportable

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J’ai commencé il y a quelques jours Tiger King. J’en avait pas mal entendu parler. C’est juste dingue.
Les gars sont COMPLETEMENT BARJOTS. Et il n’y en a pas un pour rattraper l’autre. C’est un monde.

Au départ, j’ai eu du mal à cerner le positionnement du producteur, mais à force on comprend mieux comment il a vu et voit les choses.

C’est super bien fait. Il y a des moments d’une violence certaine, c’est pas anodin.

Il me reste 2 épisodes, je vais mater ça ce midi.
N’empêche, je savais qu’il y a des jobards dans ce bas monde, mais à ce point c’est velu.

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ce sera day one pour moi

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Fini. Bordel qu’ils sont barrés. Je m’étais spoilé l’histoire complète mais quand on voit les interview, les mecs expliquer ce qu’il s’est passé, on se dit que c’est une belle brochette de barjot prêts à toutes les magouilles, shootés a tout ce qui existe et qui vont rouler des patins a des chats de 400kg comme si ils jouaient avec des peluches.
N’importe quoi de bout en bout.
Si c’était une fiction je me serai dit que les créateurs avaient une putain d’imagination. Mais comme c’est vrai, bon, bah c’est des vrais tarés.

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Source: le parisien