Genre : Action, super-héros Diffuseur : Netflix Date de sortie : 2015 - 2018 (3 saisons - 39 épisodes)
Série créée par Drew Goddard
Avec Charlie Cox (Matt Murdoch), Elden Henson (Foggy Nelson), Deborah Ann Woll (Karen Page), Rosario Dawson (Claire Temple), Vondie Curtis-Hall (Ben Urich), Vincent D’Onofrio (Wilson Fisk), Toby Leonard Moore (James Wesley)
Daredevil, c’est quoi ?
Matt Murdock est aveugle depuis qu’il a été victime d’un accident durant son enfance. Aujourd’hui, il ouvre un cabinet d’avocat dans le célèbre quartier de Hell’s Kitchen pour aider des gens en difficulté.La nuit, il devient Daredevil, un justicier qui excelle en combats grâce à ses autres sens sur-développés.
2.01 - BangY a pas à chier, ça me parle quand même beaucoup plus que Jessica Jones.
Retour on ne peut plus solide, on replace aisément le contexte de la Hell’s Kitchen, la situation du cabinet, on remet l’alchimie du trio en place (j’aurai aimé plus de scènes entre les trois d’ailleurs) et on lance déjà les éléments de la saison. L’incarcération de Fisk a créé un vide et tous les gangs veulent prendre la place. Classique mais efficace.
Si la révélation n’est pas une menace tant le casting a été détaillé, The Punisher s’impose avec ces scènes très Terminatoresques. Bon retour, bien rythmé et prometteur.
The Punisher un peu plus développé, pour voir ses principes, ses limites. L’acteur a des dialogues limités pour maintenir le charisme au max
Les soucis d’oreille droite de Matt est franchement prometteur, je me doutais que ça allait partir et revenir. Là ça sert de cliff pour une capture. Mais j’espère que ça va pas en rester là et que ça va le forcer à s’adapter en combats.
J’aime bien l’idée d’avoir des dialogues un peu plus poussés entre Matt et Foggy ou Matt et Karen, mais pour l’instant ça fait un peu déjà vu. Le super-héros qui ne veut pas les impliquer… Karen donne l’impression d’en savoir un peu plus et ne s’arrête pas au problème d’alcool, mais pas sûr qu’elle ait fait le lien avec Daredevil encore.
2.03 - New York's FinestCertains dialogues peuvent sembler sans surprise, un justicier qui tue contre un justicier qui en a fait sa limite, ce n'est pas très original, une série de la CW en a fait des caisses dessus. Mais les acteurs font du bon taf, la dynamique entre les deux fonctionne, les scènes ne sont donc jamais trop lourdes, trop répétitives.
À l’hôpital, en plus des retrouvailles avec Claire, on a le plaisir de voir un Foggy s’affirmer un peu plus. Ce n’est si fréquent en fait qu’on voit ça dans ce genre de séries, et ça me plaît bien.
Le plan séquence (ou succession de plans séquences), rappelle forcément la première seconde. L’effet de surprise en moins, la fatigue de Matt en moins, mais des complexités avec la chaîne, la lumière et le décor en plus. Cela reste impressionnant.